Après des mois passés à me motiver, je poste enfin ma recherche de liens. Pour rappel et pour éviter à tous la lecture d’une loooooooooongue fiche déplaisante, j’ai essayé de résumer une partie de la fiche ci-dessous afin d’indiquer au mieux quels étaient les liens possibles avec un tel personnage et surtout en quelles circonstances.




Originaire des lieux et faisant d’une famille à la tradition martiale ayant eu son heure de gloire durant la guerre elfique contre les Titans, elle a connu de nombreuses personnes. Bien que timide à la base du fait de sa voix particulière, elle a essayé de s’affirmer progressivement. Elle  voulait que tous oublient la petite fille se cachant dans l’ombre de sa sœur et voient la femme resplendissante qu’elle s’apprêtait à devenir. De ce fait, elle n’a jamais manqué une occasion pour sortir et se tenir au courant de tous les ragots pour pouvoir pleinement faire partie de cette société qui lui faisait tant envie. Elle n’a pas non plus hésité à badiner avec ses congénères ce qui fait qu’une partie de la « bonne société elfique » la considérait comme une femme de peu de vertu et dont la décadence n’avait aucune limite.

De même, durant cette époque, elle a été entrainée par sa propre mère qui était, jadis, une garde de la cité, mais aussi par des camarades encore en poste (ou des connaissances) de sa génitrice. Concrètement, elle désirait faire la fierté de sa famille et protéger son peuple. Durant cette formation à Melorn, elle s’est illustrée par sa curiosité quant aux notions de stratégies et de tactique au point de lire tous les textes de la bibliothèque de la capitale elfique. Cette lecture assidue ainsi que sa grande curiosité et son perfectionnisme l’ont conduit à constater et souligner l’obsolescence des doctrines de guerre elfiques. Elle a insisté auprès des spécialistes de la cité quant à l’importance de mener des réformes à ce sujet et qu’elle était prête à le faire. Malheureusement, on lui a ri au nez.

--> En somme, vous pouvez très bien avoir fait sa connaissance lorsqu’elle était enfant et adolescente et vous êtes liés d’amitié avec elle (voire plus). Vous pouvez également faire partie des personnes qui l’ont critiqué pour son comportement licencieux ou pour son insistance au sujet des réformes ayant dû être apporté à l’appareil militaire melornois. Enfin, vous pouvez très bien avoir été l’un des instructeurs de Vaesidia et avoir fait d’elle une archère d’exception.

N. B. Les liens de cette époque sont essentiellement de nature elfique. Pour l’heure, en revanche, vu qu’il s’agit d’un personnage réincarné, je préfère éviter de m’intéresser aux liens remontant avant son incarnation actuelle.

Exploration du monde : de -98 à – 83

Durant environ 15 ans, Vaesidia va explorer toutes les contrées connues. Afin de subvenir à ses besoins, l’elfe s’est résolue à remplir des fonctions de mercenariat en accompagnant certaines caravanes dans le Royaume du Reike ou en servant de guide dans les Terres du Nord, une fois pleinement familiarisée avec les lieux. Elle va même tenter de visiter certains lieux, encore hantés, ayant appartenu à l’ancien Empire elfique.

--> Pour cette partie de sa vie, tout est possible ! Vous pouvez avoir été un de ses clients, un compagnon de voyage, un ami ou même un ennemi !

Soldat et Capitaine de l’armée rekoise: de -73 à Mars de l’An 0

Désirant réformer l’art de la guerre elfique, elle rejoint les rangs de la seule faction à être spécialiste dans ce domaine le Reike. Pendant quelque temps, elle va suivre la formation militaire du royaume et en baver. En effet, Vaesidia ne parlait pas un traitre mot de Shierak qiya à son arrivée. Vu qu’il s’agit d’une femme et d’une étrangère qui plus est, elle a été la cible de quelques quolibets de la part de certains. Ses instructeurs reikois lui ont très vite rabattu son caquet lors des entrainements, notamment lors des séances de combat au corps à corps où elle se retrouvait assez rapidement au sol. Le but était de lui démontrer qu’il lui était impossible de faire jeu égal avec un homme en matière de force physique.
Du fait de son caractère de suprémaciste elfique, elle a pris, à cette époque, un malin plaisir à  ridiculiser ses homologues avec son arc quitte à prendre des paris afin d’augmenter la difficulté des tirs qu’elle devait réaliser.

Au fur et à mesure, elle s’est retrouvée avec de jeunes reikois, avec qui elle a sympathisé et constitué un nouveau groupe d’amis qui, en dépit de ses différences, serait prêt à tout pour défendre l’un des siens. Au fil des décennies et grâce à son expérience, elle grimpe les échelons de la hiérarchie militaire rekoise au point de devenir militaire. Elle va voir certains de ses camarades mourir de vieillesse et leurs enfants venir les remplacer dans les rangs de l’armée. Durant ce laps de temps, elle consulte les écrits des anciens militaires du Reike, bien qu’elle dût demander, en certaines occurrences, à ses camarades reikois de traduire  certains termes  obscurs.

Elle en profite pour écrire ses propres carnets de tactique et de stratégie en tenant compte de ses lectures, mais aussi de son expérience sur le terrain lorsqu’elle devait partir combattre les barbares ou de ses conversations avec d’autres camarades officiers qui surent la présenter, parfois, à des chefs d’état-major avec qui elle put prendre plaisir à palabrer et récolter ainsi des informations.

Bien qu’en certaines occasions, Vaesidia se permît d’être d’humeur licencieuse avec certains de ses camarades, l’elfe incarna une forme de mémoire envers les jeunes générations qui désirait en savoir plus sur certains de leurs ancêtres avec qui elle avait pu notamment vivre des soirées de beuverie pour le moins spectaculaire.

En tant que capitaine au sein d’un escadron du Reike, on lui a accordé, du fait de ses prédispositions, la formation des futurs archers. Ce fut également à cette période qu’elle s’est occupée de certains elfes qui tout comme elle avaient quitté Melorn pour des raisons « personnelles ».  En voyant ces représentants de notre espèce, Vaesidia a eu la folle ambition de faire d’eux des dépositaires de son enseignement afin qu’ils puissent, à leur tour, former d’autres personnes.

Lorsque Tensai mène sa conquête du territoire reikois, Vaesidia et ses hommes participent à la défense du territoire. Du fait des évènements, ils enchainent de nombreuses défaites, sont l’un des derniers bataillons à défendre la capitale et mènent un véritable baroud d’honneur au cours duquel, ses compagnons seront tous tués sauf elle.

--> Ayant été citoyenne et capitaine de l’armée rekoise, de liens de nature différente sont envisageables : connaissance, ami, compagnon d’armes, instructeurs, amant d’un soir, supérieur hiérarchique, ennemi, subalternes, recrue ayant été formé par elle, officier avec lequel elle aurait conversé sur des notions tactiques et de ses carnets. En revanche, à l’exception des quelques elfes ayant obéi aux ordres de Vaesidia et de son officier supérieur (où rien n’a été défini pour l’heure en ce qui le concerne), tous les membres de son bataillon sont morts lors de la défense d’Ikusa.

Janissaire : de la chute d’Ikusa en l’An 0 à aujourd’hui

Pas besoin de rentrer dans les détails. Suite à la défaite du royaume et à son emprisonnement, on a torturé et brisé psychologiquement l’elfe pour en faire une janissaire fidèle à l’usurpateur. Sa position n’a pas évolué depuis ce jour et elle a participé aux conflits menés par l’Empire, notamment contre les Titans.

--> Encore une fois, au sein du Reike, tout est envisageable. Vous pouvez être un homologue janissaire (même si elle n’apprécie pas les nouveaux janissaires issus des rangs des armées titaniques), un supérieur hiérarchique, un ennemi, un représentant de l’Empire chargé de veiller à l’efficacité et l’état physique des membres de ce corps, un ancien compagnon voire même la personne qui a contribué à faire d’elle une janissaire.