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Noble de La République
Maria Donovan

Messages : 88
crédits : 696
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Elle ouvrit de grands yeux. Ainsi, leur situation n'était pas unique ? Quelque part, cela la rassurait. Néanmoins, la plaisanterie suivante la laissa dubitative.
- Des... Dragons ?
Comment cela était-il même possible ? À moins d'être eux-mêmes des dragons, c'était impossible... Du moins, elle le pensait. À moins que... Aurait-il du sang de dragon ? Elle lui prit une main et, du pouce, caressa doucement la veine qui y était visible.
- Il y aurait donc du dragon, là-dedans ?
Néanmoins, le temps ne fut plus à la plaisanterie lorsqu'il évoqua la possibilité de quitter son poste. Relâchant alors sa main, elle reprit, parfaitement sérieuse et avec un brin de panique :
- Oh non, pitié, ne fais pas ça ! Que je sois présente ou non, tu ne dois pas renoncer à ta vie. Reste qui tu es. Si ce poste te convient, garde-le. Je ne veux pas que tu te sacrifies. D'autant plus que dans ce cas précis, ce serait inutile.
S'il abandonnait ce qui faisait de lui qui il était, comment pourrait-il s'en relever ? Elle ne voulait pas l'entraver, bien au contraire.
- D'ailleurs... Ce ne sera peut-être pas d'actualité dans l'immédiat et je pourrais avoir besoin d'être formée, mais sache que j'accepterais de t'épauler si un jour tu as trop de travail. À partir d'aujourd'hui, je serai toujours là pour toi. Je te le promets.
Elle lui avait pris les mains en le fixant dans les yeux, sincère. Lorsqu'elle le réalisa, elle le relâcha. Elle ne voulait pas l'entraver, au contraire.
- Au lieu d'imaginer à ce que nous pourrions abandonner... Pensons à ce que nous pouvons construire. Avançons ensemble, désormais. Si tu l'acceptes, bien sûr.
Voilà une chose dont elle ne doutait pas. Lui qui semblait si pressé de l'épouser ne devrait pas avoir de problème à accepter un avenir à deux... Puisque, bien qu'il l'ait formulé différemment, il voulait la même chose.
Elle lui rendit alors son étreinte, posant la tête au creux de son cou, profitant simplement du moment. Il lui avait posé une question. Mais cela ne voulait pas dire qu'elle devait répondre immédiatement. Après tout, ils n'avaient pas besoin de parler en continu pour profiter de la présence l'un de l'autre. Elle sentait même qu'elle profitait bien mieux lors des silences. Dans ce type de situation, un silence n'avait rien de gênant, au contraire. Ce fut sans réfléchir qu'elle posa une question à son tour :
- Quel est ton parfum ?
Et voilà ! C'était à prévoir ! Elle que cette senteur environnait et enivrait depuis un moment maintenant n'avait pas pu s'empêcher de vouloir en savoir plus. Enfin, peu importait. Ce n'était pas une question gênante. Et s'il ne voulait pas répondre, elle ne lui en voudrait pas.
En parlant de répondre, voilà ce qu'elle devait faire. Du sport...
- Hum... Lors des tournées, oui, je cours partout, il n'y a jamais assez de temps. Mais du sport juste pour le sport... Non, pas vraiment. Et toi ?
Oh, maintenant qu'elle y pensait, il y avait une question qu'elle avait envie de lui poser depuis un moment. Et puisqu'il semblait qu'à présent, c'était à elle de mener l'interrogatoire, elle ne s'en priva pas :
- Au fait... Tu sais que j'ai un frère, mais, et toi ? Des frères, des soeurs ? Aucun ? Et quelles sont tes relations avec ta famille ?
Il irait certainement plus vite en lui récitant sa biographie, à ce rythme.
- Des... Dragons ?
Comment cela était-il même possible ? À moins d'être eux-mêmes des dragons, c'était impossible... Du moins, elle le pensait. À moins que... Aurait-il du sang de dragon ? Elle lui prit une main et, du pouce, caressa doucement la veine qui y était visible.
- Il y aurait donc du dragon, là-dedans ?
Néanmoins, le temps ne fut plus à la plaisanterie lorsqu'il évoqua la possibilité de quitter son poste. Relâchant alors sa main, elle reprit, parfaitement sérieuse et avec un brin de panique :
- Oh non, pitié, ne fais pas ça ! Que je sois présente ou non, tu ne dois pas renoncer à ta vie. Reste qui tu es. Si ce poste te convient, garde-le. Je ne veux pas que tu te sacrifies. D'autant plus que dans ce cas précis, ce serait inutile.
S'il abandonnait ce qui faisait de lui qui il était, comment pourrait-il s'en relever ? Elle ne voulait pas l'entraver, bien au contraire.
- D'ailleurs... Ce ne sera peut-être pas d'actualité dans l'immédiat et je pourrais avoir besoin d'être formée, mais sache que j'accepterais de t'épauler si un jour tu as trop de travail. À partir d'aujourd'hui, je serai toujours là pour toi. Je te le promets.
Elle lui avait pris les mains en le fixant dans les yeux, sincère. Lorsqu'elle le réalisa, elle le relâcha. Elle ne voulait pas l'entraver, au contraire.
- Au lieu d'imaginer à ce que nous pourrions abandonner... Pensons à ce que nous pouvons construire. Avançons ensemble, désormais. Si tu l'acceptes, bien sûr.
Voilà une chose dont elle ne doutait pas. Lui qui semblait si pressé de l'épouser ne devrait pas avoir de problème à accepter un avenir à deux... Puisque, bien qu'il l'ait formulé différemment, il voulait la même chose.
Elle lui rendit alors son étreinte, posant la tête au creux de son cou, profitant simplement du moment. Il lui avait posé une question. Mais cela ne voulait pas dire qu'elle devait répondre immédiatement. Après tout, ils n'avaient pas besoin de parler en continu pour profiter de la présence l'un de l'autre. Elle sentait même qu'elle profitait bien mieux lors des silences. Dans ce type de situation, un silence n'avait rien de gênant, au contraire. Ce fut sans réfléchir qu'elle posa une question à son tour :
- Quel est ton parfum ?
Et voilà ! C'était à prévoir ! Elle que cette senteur environnait et enivrait depuis un moment maintenant n'avait pas pu s'empêcher de vouloir en savoir plus. Enfin, peu importait. Ce n'était pas une question gênante. Et s'il ne voulait pas répondre, elle ne lui en voudrait pas.
En parlant de répondre, voilà ce qu'elle devait faire. Du sport...
- Hum... Lors des tournées, oui, je cours partout, il n'y a jamais assez de temps. Mais du sport juste pour le sport... Non, pas vraiment. Et toi ?
Oh, maintenant qu'elle y pensait, il y avait une question qu'elle avait envie de lui poser depuis un moment. Et puisqu'il semblait qu'à présent, c'était à elle de mener l'interrogatoire, elle ne s'en priva pas :
- Au fait... Tu sais que j'ai un frère, mais, et toi ? Des frères, des soeurs ? Aucun ? Et quelles sont tes relations avec ta famille ?
Il irait certainement plus vite en lui récitant sa biographie, à ce rythme.



Noble du Reike
Tagar Reys

Messages : 1585
crédits : 1857
crédits : 1857
Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Elle me demande ensuite si j’ai du sang de dragon et je lui dis, très fier de moi :
D’après la légende familiale, un de mes ancêtres d’il y a vingt générations à manger du dragon ! Donc, oui, j’ai un peu de sang de dragon dans les veines.
Elle me conseille de rester à mon poste et je lui dis :
Entre toi et le Reike, je te choisis toi. Le véritable sacrifice serait que je renonce à ta personne. J’ai déjà quitté mon poste quand j’étais contrôleur de travaux, suite à une véritable remise en cause de ma part. Je suis resté un mois gardien de caravane dans le désert et j’étais plutôt bon à mon poste. Mais lorsque les Titans ont débarqué, j’ai reçu une lettre du Cœur de l’époque me demandant de revenir pour l'aider à vaincre les Titans et je l’ai fait.
Elle me fait ensuite plaisir de nouveau en m’indiquant qu’elle m’épaulera et je lui dis avec un grand sourire :
C’est bien noté, mais si tu veux m’épauler dans mon travail, il te faudra prendre la nationalité Reikoise et travailler officiellement pour mon service. Les affaires que je traite le plus souvent sont top-secrète et je ne pourrais pas te les montrer sans cela.
Elle me demande ensuite qu’elle ait mon parfum et je lui dis :
C’est Millionnaire, le parfum des riches.
Je suis content de ma petite blague et mon sourire s’élargit. En plus, c’est vraiment ce que je porte.
Le reste des questions est simple et j’y honnêtement :
Je fais de l’équitation régulièrement, de l’escrime deux fois par semaine et je vais également à la salle de musculation une fois par semaine avec un couple d’amis homme. J’ai besoin de ça, car mon travail est pas mal sédentaire et j’adore manger de la bonne nourriture, surtout le sucré, je suis très gourmand. Pour ma famille, j’avais des frères et sœurs, mais ils sont tous morts très jeunes et je suis l’unique survivant. Je m’entends bien avec Mère, même si nous sommes légèrement en froid et j’ai beaucoup de cousins et cousines, de nièces et de niveau, d’oncle et de tante, que je vois régulièrement.
C’est à mon tour de lui poser une question :
Que font tes parents dans la vie et d’où vient votre richesse ?
D’après la légende familiale, un de mes ancêtres d’il y a vingt générations à manger du dragon ! Donc, oui, j’ai un peu de sang de dragon dans les veines.
Elle me conseille de rester à mon poste et je lui dis :
Entre toi et le Reike, je te choisis toi. Le véritable sacrifice serait que je renonce à ta personne. J’ai déjà quitté mon poste quand j’étais contrôleur de travaux, suite à une véritable remise en cause de ma part. Je suis resté un mois gardien de caravane dans le désert et j’étais plutôt bon à mon poste. Mais lorsque les Titans ont débarqué, j’ai reçu une lettre du Cœur de l’époque me demandant de revenir pour l'aider à vaincre les Titans et je l’ai fait.
Elle me fait ensuite plaisir de nouveau en m’indiquant qu’elle m’épaulera et je lui dis avec un grand sourire :
C’est bien noté, mais si tu veux m’épauler dans mon travail, il te faudra prendre la nationalité Reikoise et travailler officiellement pour mon service. Les affaires que je traite le plus souvent sont top-secrète et je ne pourrais pas te les montrer sans cela.
Elle me demande ensuite qu’elle ait mon parfum et je lui dis :
C’est Millionnaire, le parfum des riches.
Je suis content de ma petite blague et mon sourire s’élargit. En plus, c’est vraiment ce que je porte.
Le reste des questions est simple et j’y honnêtement :
Je fais de l’équitation régulièrement, de l’escrime deux fois par semaine et je vais également à la salle de musculation une fois par semaine avec un couple d’amis homme. J’ai besoin de ça, car mon travail est pas mal sédentaire et j’adore manger de la bonne nourriture, surtout le sucré, je suis très gourmand. Pour ma famille, j’avais des frères et sœurs, mais ils sont tous morts très jeunes et je suis l’unique survivant. Je m’entends bien avec Mère, même si nous sommes légèrement en froid et j’ai beaucoup de cousins et cousines, de nièces et de niveau, d’oncle et de tante, que je vois régulièrement.
C’est à mon tour de lui poser une question :
Que font tes parents dans la vie et d’où vient votre richesse ?

Noble de La République
Maria Donovan

Messages : 88
crédits : 696
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Elle ne put s'empêcher de rire, croyant à une blague. En effet, même si cette histoire de consommation de dragon pouvait être vraie, cela n'aurait pas perduré jusqu'à Tagar lui-même.
- Tu crois vraiment qu'il aurait subsisté en vous pendant si longtemps ? Mais tu peux être mon dragon à moi, si tu veux.
Ce surnom lui irait-il ? D'un autre côté, elle avait le droit de l'appeler comme elle le voulait, du moment qu'il ne puisse pas le voir comme une insulte. Et jamais elle ne l'insulterait. Au contraire, elle serait plutôt encline à le défendre si elle surprenait quelqu'un lui manquer de respect.
Quoi qu'il en soit, il continua au sujet de son emploi. Elle posa doucement une main sur la poitrine de son homme, puis murmura :
- Tu n'as pas à choisir. Ce coeur peut parfaitement avoir les deux. Je ne veux que ton bonheur. Je te l'ai dit, je rejoindrai le Reike s'il le faut pour pouvoir rester à tes côtés. Tout ce que je te demande, c'est de choisir un emploi dans lequel tu t'épanouiras. Tu en as les moyens, j'en suis convaincue. Provoque ton bonheur, je t'y rejoindrai si tu m'acceptes.
Elle fit la moue lorsqu'il lui indiqua qu'un emploi officiel était nécessaire si elle voulait l'aider. Ce n'était pas ce qu'elle voulait !
- Hum... Je ne pense pas pouvoir travailler derrière un bureau toute la journée. J'ai besoin de mouvement, de contact avec autrui. Je voulais simplement t'alléger la tâche... Alors, trouvons autre chose.
Elle prit un moment pour réfléchir. Puis, avec un petit sourire, elle suggéra :
- Lorsque nous vivrons ensemble... Tu viendras me voir quand tu rentreras si je ne suis pas en train de répéter pour un concert ou de m'y produire, et je te détendrai. Tu aimes les massages ?
Elle s'attendait à une réponse positive. Après tout, qui n'aimait pas ça ? Et si elle obtenait réellement cette réponse positive, elle se sentait d'humeur à lui en offrir un immédiatement.
Il la surprit alors avec le nom de son parfum. Elle rit.
- Et quel est son vrai nom ?
Puis elle ouvrit de grands yeux. Voilà un vrai sportif ! Néanmoins, son humeur s'assombrit lorsqu'il parla de ses frères et soeurs... Elle le serra fort dans ses bras, pour lui assurer son soutien. Puis elle lui glissa à l'oreille :
- Je suis désolée... Je n'aurais pas dû poser la question.
- Tu crois vraiment qu'il aurait subsisté en vous pendant si longtemps ? Mais tu peux être mon dragon à moi, si tu veux.
Ce surnom lui irait-il ? D'un autre côté, elle avait le droit de l'appeler comme elle le voulait, du moment qu'il ne puisse pas le voir comme une insulte. Et jamais elle ne l'insulterait. Au contraire, elle serait plutôt encline à le défendre si elle surprenait quelqu'un lui manquer de respect.
Quoi qu'il en soit, il continua au sujet de son emploi. Elle posa doucement une main sur la poitrine de son homme, puis murmura :
- Tu n'as pas à choisir. Ce coeur peut parfaitement avoir les deux. Je ne veux que ton bonheur. Je te l'ai dit, je rejoindrai le Reike s'il le faut pour pouvoir rester à tes côtés. Tout ce que je te demande, c'est de choisir un emploi dans lequel tu t'épanouiras. Tu en as les moyens, j'en suis convaincue. Provoque ton bonheur, je t'y rejoindrai si tu m'acceptes.
Elle fit la moue lorsqu'il lui indiqua qu'un emploi officiel était nécessaire si elle voulait l'aider. Ce n'était pas ce qu'elle voulait !
- Hum... Je ne pense pas pouvoir travailler derrière un bureau toute la journée. J'ai besoin de mouvement, de contact avec autrui. Je voulais simplement t'alléger la tâche... Alors, trouvons autre chose.
Elle prit un moment pour réfléchir. Puis, avec un petit sourire, elle suggéra :
- Lorsque nous vivrons ensemble... Tu viendras me voir quand tu rentreras si je ne suis pas en train de répéter pour un concert ou de m'y produire, et je te détendrai. Tu aimes les massages ?
Elle s'attendait à une réponse positive. Après tout, qui n'aimait pas ça ? Et si elle obtenait réellement cette réponse positive, elle se sentait d'humeur à lui en offrir un immédiatement.
Il la surprit alors avec le nom de son parfum. Elle rit.
- Et quel est son vrai nom ?
Puis elle ouvrit de grands yeux. Voilà un vrai sportif ! Néanmoins, son humeur s'assombrit lorsqu'il parla de ses frères et soeurs... Elle le serra fort dans ses bras, pour lui assurer son soutien. Puis elle lui glissa à l'oreille :
- Je suis désolée... Je n'aurais pas dû poser la question.
Elle le garda encore un long moment ainsi serré contre elle, à la fois en guise de soutien et simplement parce que cela lui plaisait, bien qu'elle se haïsse de se faire plaisir dans un tel contexte. Lorsqu'une question survint à nouveau, elle ne répondit pas tout de suite. Elle termina d'abord son étreinte, prenant tout son temps. Puis elle daigna enfin répondre :
- Mes parents ? Je ne sais pas trop. Ma mère est toujours présente au domaine... Je suppose qu'ils se contentent de profiter de notre héritage. Ils ne sont pas ceux qui ont travaillé pour l'accumuler. Nos ancêtres avaient bien plus de valeur, si tu veux mon avis. Eux ont travaillé dur pour nous offrir cette vie. Et je veux suivre leurs pas.
Profiter du fruit du labeur d'autrui l'avait toujours dérangée. Elle, ce qu'elle voulait, c'était avoir ses propres revenus, savoir d'où venait l'argent qu'elle utilisait. Elle pensait sérieusement à demander à ses parents de ne pas lui offrir d'argent le jour de son mariage. Qu'elle se débrouille seule. Enfin, seule avec son époux. Mais elle voulait que l'aide extérieure ne reste que cela : une aide. Et que la plupart du temps, ils s'appuient sur leurs propres ressources. Ils ne mèneraient peut-être pas un grand train de vie, mais si elle était parfaitement honnête, la présence du ministre lui suffisait.
- Mes parents ? Je ne sais pas trop. Ma mère est toujours présente au domaine... Je suppose qu'ils se contentent de profiter de notre héritage. Ils ne sont pas ceux qui ont travaillé pour l'accumuler. Nos ancêtres avaient bien plus de valeur, si tu veux mon avis. Eux ont travaillé dur pour nous offrir cette vie. Et je veux suivre leurs pas.
Profiter du fruit du labeur d'autrui l'avait toujours dérangée. Elle, ce qu'elle voulait, c'était avoir ses propres revenus, savoir d'où venait l'argent qu'elle utilisait. Elle pensait sérieusement à demander à ses parents de ne pas lui offrir d'argent le jour de son mariage. Qu'elle se débrouille seule. Enfin, seule avec son époux. Mais elle voulait que l'aide extérieure ne reste que cela : une aide. Et que la plupart du temps, ils s'appuient sur leurs propres ressources. Ils ne mèneraient peut-être pas un grand train de vie, mais si elle était parfaitement honnête, la présence du ministre lui suffisait.



Noble du Reike
Tagar Reys

Messages : 1585
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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Je rougis un peu quand elle m’indique que je peux être son dragon et je lui réponds :
Si tu m’appelles ainsi, je te nommerai ma princesse.
Oui, je n’ai pas beaucoup d’imagination, mais je trouve que son surnom lui va comme un gant, en plus, les dragons des temps anciens kidnappais régulièrement les princesses, c'est un fait connu et documenté. Ensuite, nous parlons de mon avenir professionnel et du sien par la même occasion. Mais tout ceci passe au second plan, quand elle me demande si j’aime les massages ! Je n’en crois pas mes oreilles ! Je lui réponds avec un grand sourire :
Je les adore, quand je vais aux thermes, je ne manque jamais d’en demander un, cela me détend considérablement. Je ne compte pas le nombre de fois où je me suis endormi comme un bébé et la masseuse a dû me réveiller.
Pour le parfum, elle ne me croit pas et je lui dis :
C’est son vrai nom, il y a de la cannelle et de la mandarine, entre autres, ce qui donne cette senteur si particulière.
Ma déclaration lui fait de la peine et j’accepte volontiers son câlin, lui disant simplement :
Merci pour ton soutien.
Je suis ensuite surpris par le fait qu’elle n'ait jamais demandé à ses parents d’où venaient leur fortune ! Mes parents m’ont appris très tôt notre situation financière, ainsi que celle des autres familles nobles, pour ne pas faire de bêtise et je ne vois que deux explications à cela :
Je suppose que soit ton frère va tout hériter, soient ils se disent qu’ils ont bien le temps.
Il faut vraiment que je me fasse à l’idée que les elfes voient les choses sur la durée. Ils n’ont pas les mêmes contraintes que les humains. D’ailleurs, je lui demande :
Est-ce que ta famille a des préjugé envers les autres races ?
Autant que je sois mis au courant, pour me préparer à des difficultés supplémentaires, si besoin.
Si tu m’appelles ainsi, je te nommerai ma princesse.
Oui, je n’ai pas beaucoup d’imagination, mais je trouve que son surnom lui va comme un gant, en plus, les dragons des temps anciens kidnappais régulièrement les princesses, c'est un fait connu et documenté. Ensuite, nous parlons de mon avenir professionnel et du sien par la même occasion. Mais tout ceci passe au second plan, quand elle me demande si j’aime les massages ! Je n’en crois pas mes oreilles ! Je lui réponds avec un grand sourire :
Je les adore, quand je vais aux thermes, je ne manque jamais d’en demander un, cela me détend considérablement. Je ne compte pas le nombre de fois où je me suis endormi comme un bébé et la masseuse a dû me réveiller.
Pour le parfum, elle ne me croit pas et je lui dis :
C’est son vrai nom, il y a de la cannelle et de la mandarine, entre autres, ce qui donne cette senteur si particulière.
Ma déclaration lui fait de la peine et j’accepte volontiers son câlin, lui disant simplement :
Merci pour ton soutien.
Je suis ensuite surpris par le fait qu’elle n'ait jamais demandé à ses parents d’où venaient leur fortune ! Mes parents m’ont appris très tôt notre situation financière, ainsi que celle des autres familles nobles, pour ne pas faire de bêtise et je ne vois que deux explications à cela :
Je suppose que soit ton frère va tout hériter, soient ils se disent qu’ils ont bien le temps.
Il faut vraiment que je me fasse à l’idée que les elfes voient les choses sur la durée. Ils n’ont pas les mêmes contraintes que les humains. D’ailleurs, je lui demande :
Est-ce que ta famille a des préjugé envers les autres races ?
Autant que je sois mis au courant, pour me préparer à des difficultés supplémentaires, si besoin.

Noble de La République
Maria Donovan

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Elle rit. Ce surnom était assez classique. Mais pourquoi pas. Il n'était pas nécessaire d'être original pour être sincère. Le regard qu'elle lui lança alors était empli d'amour, plus que jamais. Ils en étaient donc aux surnoms affectueux. Leur relation était bien établie.
- Le puissant dragon du Reike a donc volé le coeur de la frêle princesse et va s'assurer de la garder à ses côtés en l'attachant grâce aux liens du mariage. Quelle tragique histoire, ne penses-tu pas ?
Son rire se fit plus franc. Quelle métaphore, pour transformer leur histoire en conte de fées revisité...
Lorsqu'il lui parla du massage, elle sourit et en profita pour lui effleurer les épaules, dans une douce caresse.
- J'ai tellement envie de tester mes compétences dans ce domaine, maintenant. Partant ? Si oui, il faudrait que tu t'allonges sur le ventre.
Et elle poursuivrait ses caresses tant qu'il n'aurait pas répondu. C'était si agréable de le toucher ainsi... Elle ne pensait pas être capable de s'en lasser un jour.
- Oh d'ailleurs, si tu t'endors... Je pourrai te regarder ?
Puis il lui réaffirma la véracité de ce qu'il avait dit au sujet de son propre parfum. Alors, elle enfouit sa tête dans son cou, pour s'imprégner une nouvelle fois de cette senteur, à la lumière des informations nouvellement obtenues. Elle se fit d'ailleurs la remarque que ses cheveux devaient embaumer, à présent... Cette pensée l'amusa.
Lorsqu'il rebondit sur leur situation, elle haussa les épaules.
- Dans les deux cas, je m'en moque. J'aurais très bien pu leur demander, tu sais. Si je ne l'ai pas fait, c'est simplement parce que cela ne m'intéresse pas. Tu as sûrement dû t'en rendre compte, je ne m'intéresse pas vraiment au passé. Il est impossible de le modifier, quoi qu'il en soit. Alors, autant construire notre présent et rêver notre futur. C'est ainsi que j'ai toujours vécu.
Il lui fit alors part d'une nouvelle inquiétude. Elle lui sourit tendrement :
- Tu n'as rien à craindre à ce sujet. Le seul véritable problème, c'est ta nationalité. Pour le reste, tu devrais leur plaire, du moins pour ce que je sais à ton sujet.
Elle passa la main dans les cheveux de l'homme, l'invitant à se rapprocher un peu plus d'elle si c'était possible. Puis, d'une voix aussi rassurante que possible, elle conclut :
- Ne t'en fais pas trop. Même s'ils ne t'acceptent pas, je suis prête à me passer de leur permission. Mon frère nous soutiendra, j'en suis presque certaine. Et il fait partie de ma famille, j'imagine qu'il pourra donc jouer ce rôle.
- Le puissant dragon du Reike a donc volé le coeur de la frêle princesse et va s'assurer de la garder à ses côtés en l'attachant grâce aux liens du mariage. Quelle tragique histoire, ne penses-tu pas ?
Son rire se fit plus franc. Quelle métaphore, pour transformer leur histoire en conte de fées revisité...
Lorsqu'il lui parla du massage, elle sourit et en profita pour lui effleurer les épaules, dans une douce caresse.
- J'ai tellement envie de tester mes compétences dans ce domaine, maintenant. Partant ? Si oui, il faudrait que tu t'allonges sur le ventre.
Et elle poursuivrait ses caresses tant qu'il n'aurait pas répondu. C'était si agréable de le toucher ainsi... Elle ne pensait pas être capable de s'en lasser un jour.
- Oh d'ailleurs, si tu t'endors... Je pourrai te regarder ?
Puis il lui réaffirma la véracité de ce qu'il avait dit au sujet de son propre parfum. Alors, elle enfouit sa tête dans son cou, pour s'imprégner une nouvelle fois de cette senteur, à la lumière des informations nouvellement obtenues. Elle se fit d'ailleurs la remarque que ses cheveux devaient embaumer, à présent... Cette pensée l'amusa.
Lorsqu'il rebondit sur leur situation, elle haussa les épaules.
- Dans les deux cas, je m'en moque. J'aurais très bien pu leur demander, tu sais. Si je ne l'ai pas fait, c'est simplement parce que cela ne m'intéresse pas. Tu as sûrement dû t'en rendre compte, je ne m'intéresse pas vraiment au passé. Il est impossible de le modifier, quoi qu'il en soit. Alors, autant construire notre présent et rêver notre futur. C'est ainsi que j'ai toujours vécu.
Il lui fit alors part d'une nouvelle inquiétude. Elle lui sourit tendrement :
- Tu n'as rien à craindre à ce sujet. Le seul véritable problème, c'est ta nationalité. Pour le reste, tu devrais leur plaire, du moins pour ce que je sais à ton sujet.
Elle passa la main dans les cheveux de l'homme, l'invitant à se rapprocher un peu plus d'elle si c'était possible. Puis, d'une voix aussi rassurante que possible, elle conclut :
- Ne t'en fais pas trop. Même s'ils ne t'acceptent pas, je suis prête à me passer de leur permission. Mon frère nous soutiendra, j'en suis presque certaine. Et il fait partie de ma famille, j'imagine qu'il pourra donc jouer ce rôle.



Noble du Reike
Tagar Reys

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Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Je vois que Maria entre dans mon jeu et je lui réponds :
Je dirais plutôt que les dragons ont toujours été intéressés par les trésors, et comme tu es la femme la plus charmante de tout le Sekaï, je t’ai enlevé pour te contempler chaque jour. Le mariage, c’est parce que je veux t’appartenir également.
C’est un peu trop fleur bleue, mais c’est ce que je ressens. Elle me propose ensuite de me masser ! Voilà ce qui me fait très plaisir et je réfléchis une seconde à enlever ma chemise, pour me retrouver torse nu, ma veste étant déjà sur le sol, mais comme la demoiselle est très pudique, je m’en abstiens et je m’allonge donc sur le ventre encore habillé, prêt à me laisser faire. Sa seconde remarque me fait rire et je lui dis en souriant :
Si je m’endors, réveille-moi, nous allons devoir partir d’ici à in moment ou un autre, les nuits sont très fraîche ici et nous ne sommes clairement pas équipé.
Oui, toujours mon côté pratique. Je rougis quand elle commence à me sentir, mais heureusement, elle change vite de sujet et j’apprends que ses parents sont des héritiers d’une grande fortune et que de toute façon, elle s’en moque. En-tout-cas, son frère semble être la carte maîtresse dans cette situation et je lui demande :
Peux-tu m’en dire plus sur ton frère ? Il a combattu pendant la guerre des Titans ? Si oui, cela nous fera un point commun.
J’attends qu’elle me réponde et je lui pose une autre question :
Qu’est qui t’attire le plus chez un homme ? Et ce que déteste le plus ?
Oui, c’est un sujet beaucoup léger, mais qui est important pour moi. Je ne veux surtout pas la décevoir et pour cela, je dois engranger le maximum d’information, on ne sait jamais.
Je dirais plutôt que les dragons ont toujours été intéressés par les trésors, et comme tu es la femme la plus charmante de tout le Sekaï, je t’ai enlevé pour te contempler chaque jour. Le mariage, c’est parce que je veux t’appartenir également.
C’est un peu trop fleur bleue, mais c’est ce que je ressens. Elle me propose ensuite de me masser ! Voilà ce qui me fait très plaisir et je réfléchis une seconde à enlever ma chemise, pour me retrouver torse nu, ma veste étant déjà sur le sol, mais comme la demoiselle est très pudique, je m’en abstiens et je m’allonge donc sur le ventre encore habillé, prêt à me laisser faire. Sa seconde remarque me fait rire et je lui dis en souriant :
Si je m’endors, réveille-moi, nous allons devoir partir d’ici à in moment ou un autre, les nuits sont très fraîche ici et nous ne sommes clairement pas équipé.
Oui, toujours mon côté pratique. Je rougis quand elle commence à me sentir, mais heureusement, elle change vite de sujet et j’apprends que ses parents sont des héritiers d’une grande fortune et que de toute façon, elle s’en moque. En-tout-cas, son frère semble être la carte maîtresse dans cette situation et je lui demande :
Peux-tu m’en dire plus sur ton frère ? Il a combattu pendant la guerre des Titans ? Si oui, cela nous fera un point commun.
J’attends qu’elle me réponde et je lui pose une autre question :
Qu’est qui t’attire le plus chez un homme ? Et ce que déteste le plus ?
Oui, c’est un sujet beaucoup léger, mais qui est important pour moi. Je ne veux surtout pas la décevoir et pour cela, je dois engranger le maximum d’information, on ne sait jamais.

Noble de La République
Maria Donovan

Messages : 88
crédits : 696
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Son coeur rata un battement alors qu'une nouvelle vague de compliments l'assaillaient.
- Tu sais, je suis juste une femme... Bientôt la tienne, oui. Mais rien de plus.
Elle lui sourit tendrement. Venait-elle de lui dire oui, bien avant le moment ? Elle se retint de rire à cette pensée. Eh bien, elle avait vite changé d'avis ! N'était-ce pas elle qui avait déclaré qu'il était trop tôt pour parler d'un tel sujet ?
Elle se ferait des noeuds au cerveau plus tard. Pour l'instant, il se mettait en position pour recevoir son massage. Alors, elle aussi se plaça, et se mit doucement au travail, tout en continuant à discuter. Pourrait-il vraiment s'endormir, s'il lui parlait ? Enfin, peu importait. Ce qui comptait, c'était qu'ils apprécient tous les deux le moment.
- Quelque chose me dit que vous vous cherchez des excuses, Monsieur ! Contentons-nous de profiter, d'accord ? S'il se met à faire froid, eh bien nous rentrerons, c'est aussi simple que cela... D'ailleurs, je te pense plus frileux que moi, donc ce sera à toi de me le dire quand tu voudras partir.
Elle n'en avait aucune envie, en tous cas.
Puis le voilà qui lui posait des questions sur son frère. Elle sourit, nostalgique, alors que son esprit s'envolait pour le rejoindre.
- Il... En fait, je ne sais pas trop. Je le vois si peu, que lorsque cela arrive, je n'ai pas envie de gâcher le moment en parlant du travail. Mais j'imagine que oui, il y était. Impossible d'être soldat sans y avoir été appelé, à ce moment.
La question suivante la prit de court, et son massage s'interrompit un instant, le temps que la surprise passe. Puis, en profitant pour déplacer son massage ailleurs sur son dos, elle lui répondit, mi-taquine, mi-sérieuse :
- Ce qui me plaît ? Que tu sois toi-même. Ce que je n'aime pas ? Un homme qui cherche à entrer dans un moule.
Elle laissa passer un moment, avant de compléter.
- Sérieusement, Tagar. Ne te torture pas l'esprit. Contente-toi de profiter et surtout, n'essaie pas de suivre un modèle. Je sais que tu n'es pas parfait, personne ne l'est, après tout. Mais comment veux-tu que j'aime tes défauts si tu ne me les montres pas ? Détends-toi. Nous sommes bien, ici, non ? Pourquoi tout gâcher en s'inquiétant ?
Imperceptiblement, son massage se fit plus intense. Qu'il profite du moment, à la fin ! Il aurait largement de quoi s'inquiéter lorsqu'elle ne serait plus là. Alors, si elle pouvait lui offrir une parenthèse de paix, elle en serait heureuse.
- Tu sais, je suis juste une femme... Bientôt la tienne, oui. Mais rien de plus.
Elle lui sourit tendrement. Venait-elle de lui dire oui, bien avant le moment ? Elle se retint de rire à cette pensée. Eh bien, elle avait vite changé d'avis ! N'était-ce pas elle qui avait déclaré qu'il était trop tôt pour parler d'un tel sujet ?
Elle se ferait des noeuds au cerveau plus tard. Pour l'instant, il se mettait en position pour recevoir son massage. Alors, elle aussi se plaça, et se mit doucement au travail, tout en continuant à discuter. Pourrait-il vraiment s'endormir, s'il lui parlait ? Enfin, peu importait. Ce qui comptait, c'était qu'ils apprécient tous les deux le moment.
- Quelque chose me dit que vous vous cherchez des excuses, Monsieur ! Contentons-nous de profiter, d'accord ? S'il se met à faire froid, eh bien nous rentrerons, c'est aussi simple que cela... D'ailleurs, je te pense plus frileux que moi, donc ce sera à toi de me le dire quand tu voudras partir.
Elle n'en avait aucune envie, en tous cas.
Puis le voilà qui lui posait des questions sur son frère. Elle sourit, nostalgique, alors que son esprit s'envolait pour le rejoindre.
- Il... En fait, je ne sais pas trop. Je le vois si peu, que lorsque cela arrive, je n'ai pas envie de gâcher le moment en parlant du travail. Mais j'imagine que oui, il y était. Impossible d'être soldat sans y avoir été appelé, à ce moment.
La question suivante la prit de court, et son massage s'interrompit un instant, le temps que la surprise passe. Puis, en profitant pour déplacer son massage ailleurs sur son dos, elle lui répondit, mi-taquine, mi-sérieuse :
- Ce qui me plaît ? Que tu sois toi-même. Ce que je n'aime pas ? Un homme qui cherche à entrer dans un moule.
Elle laissa passer un moment, avant de compléter.
- Sérieusement, Tagar. Ne te torture pas l'esprit. Contente-toi de profiter et surtout, n'essaie pas de suivre un modèle. Je sais que tu n'es pas parfait, personne ne l'est, après tout. Mais comment veux-tu que j'aime tes défauts si tu ne me les montres pas ? Détends-toi. Nous sommes bien, ici, non ? Pourquoi tout gâcher en s'inquiétant ?
Imperceptiblement, son massage se fit plus intense. Qu'il profite du moment, à la fin ! Il aurait largement de quoi s'inquiéter lorsqu'elle ne serait plus là. Alors, si elle pouvait lui offrir une parenthèse de paix, elle en serait heureuse.



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Tagar Reys

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Je rougis un peu quand elle me dit qu’elle va être ma future femme et je ne peux m’empêcher de lui répondre :
Et moi, je serais ton futur homme.
Son massage est vraiment très bien, très relaxant et je n’ai qu’un seul regret, que ma chemise m’empêche de sentir la douceur de ses mains. Elle répond ensuite à mes diverses interrogations à propos de son frère, mais je ne sais pas s’il a fait partie des Spectres, les forces Républicaines qui nous ont bien aidées au Shoumeï. Ils ont eu des pertes très lourdes, lors des combats contre les adeptes des Titans et je leur en suis très reconnaissant pour leurs soutiens.
Pour ce qu’elle aime ou pas chez son mari, c’est assez classique et je lui annonce pour détendre l’atmosphère :
Je doute qu’il existe un assez grand moule dans ma cuisine pour que j’entre dedans.
Je me laisse ensuite masser, appréciant chaque seconde, essayant de graver chaque seconde dans mes souvenirs pour que je puisse m’en souvenir quand mon amour sera loin de moi. Mais même les meilleures choses ont une faim et au bout de quelques heures, il commence à faire vraiment froid. Je commence à avoir des frissons et finalement, toujours allongé, je me retourne, caressant doucement le visage de Maria, pour l’informer :
Je suis désolé de gâcher notre beau moment, mais nous allons devoir partir, sinon, je vais finir frigorifier. Parfois, je me dis que j’aurais dû maîtriser la magie de feu, pour pouvoir me réchauffer. Tu masses vraiment très bien et dès que possible, j’aimerais te montrer mes propres talents. Pas en cuisine, ni en ménage, mais je sais très bien choisir des vêtements.
Après tout, j’ai accompagné Mère dans les boutiques de mode, pendant une bonne partie de ma vie. Je me lève donc, remettant ma veste et aidant ma petite amie à en faire de même, puis nous montons sur le griffon, direction la capitale et la civilisation.
Et moi, je serais ton futur homme.
Son massage est vraiment très bien, très relaxant et je n’ai qu’un seul regret, que ma chemise m’empêche de sentir la douceur de ses mains. Elle répond ensuite à mes diverses interrogations à propos de son frère, mais je ne sais pas s’il a fait partie des Spectres, les forces Républicaines qui nous ont bien aidées au Shoumeï. Ils ont eu des pertes très lourdes, lors des combats contre les adeptes des Titans et je leur en suis très reconnaissant pour leurs soutiens.
Pour ce qu’elle aime ou pas chez son mari, c’est assez classique et je lui annonce pour détendre l’atmosphère :
Je doute qu’il existe un assez grand moule dans ma cuisine pour que j’entre dedans.
Je me laisse ensuite masser, appréciant chaque seconde, essayant de graver chaque seconde dans mes souvenirs pour que je puisse m’en souvenir quand mon amour sera loin de moi. Mais même les meilleures choses ont une faim et au bout de quelques heures, il commence à faire vraiment froid. Je commence à avoir des frissons et finalement, toujours allongé, je me retourne, caressant doucement le visage de Maria, pour l’informer :
Je suis désolé de gâcher notre beau moment, mais nous allons devoir partir, sinon, je vais finir frigorifier. Parfois, je me dis que j’aurais dû maîtriser la magie de feu, pour pouvoir me réchauffer. Tu masses vraiment très bien et dès que possible, j’aimerais te montrer mes propres talents. Pas en cuisine, ni en ménage, mais je sais très bien choisir des vêtements.
Après tout, j’ai accompagné Mère dans les boutiques de mode, pendant une bonne partie de ma vie. Je me lève donc, remettant ma veste et aidant ma petite amie à en faire de même, puis nous montons sur le griffon, direction la capitale et la civilisation.

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Maria Donovan

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Elle rit à sa remarque sur le moule. D'accord, il avait gagné.
- Très bien, très bien, je t'accorde ce point.
Puis elle profita au moins autant que lui du massage. Massage qui dura longtemps. Combien de temps exactement ? Elle n'en savait rien. Elle ne comptait pas. Elle savait simplement qu'elle ne ressentait aucune tension sous ses doigts, ce qui lui prouvait que le massage ne servait à rien en ce qui concernait la détente. Elle lui faisait simplement plaisir. Néanmoins, elle ressentit ses frissons avant même qu'il ne parle. Alors, elle s'accorda une dernière étrainte avant de se lever puis de lui tendre la main pour l'aider à en faire autant. Lorsqu'il lui parla de ses propres talents, elle rit à nouveau :
- Du calme ! D'abord, rentrons, trouvons quelque chose à manger, et ensuite, si tu n'as rien de prévu, je pourrai te servir de poupée, est-ce que cela te convient ?
Quelle que soit sa réponse, elle le suivit en direction de leur point de départ. Peut-être lui demanderait-il ce qu'elle voudrait manger ? Dans ce cas, elle ferait mieux de commencer à y penser dès à présent. Préfèrerait-il choisir lui-même ? Elle devait bien avouer être curieuse de savoir ce qu'il pourrait choisir...
- Très bien, très bien, je t'accorde ce point.
Puis elle profita au moins autant que lui du massage. Massage qui dura longtemps. Combien de temps exactement ? Elle n'en savait rien. Elle ne comptait pas. Elle savait simplement qu'elle ne ressentait aucune tension sous ses doigts, ce qui lui prouvait que le massage ne servait à rien en ce qui concernait la détente. Elle lui faisait simplement plaisir. Néanmoins, elle ressentit ses frissons avant même qu'il ne parle. Alors, elle s'accorda une dernière étrainte avant de se lever puis de lui tendre la main pour l'aider à en faire autant. Lorsqu'il lui parla de ses propres talents, elle rit à nouveau :
- Du calme ! D'abord, rentrons, trouvons quelque chose à manger, et ensuite, si tu n'as rien de prévu, je pourrai te servir de poupée, est-ce que cela te convient ?
Quelle que soit sa réponse, elle le suivit en direction de leur point de départ. Peut-être lui demanderait-il ce qu'elle voudrait manger ? Dans ce cas, elle ferait mieux de commencer à y penser dès à présent. Préfèrerait-il choisir lui-même ? Elle devait bien avouer être curieuse de savoir ce qu'il pourrait choisir...



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Juste avant de partir, Maria me demande si cela me convient, qu’elle devienne ma poupée et je lui dis, avant un grand sourire :
C’est parfait.
Le griffon, lui s’envole, et même si j’ai froid, car il me manque mon casque, j’arrive à le guider jusqu’à la base du RSAF, sans problème et il se pose avec douceur. Comme à mon habitude, j’aide la jolie elfe à descendre et nous partons ensemble dans les vestiaires. Je m’assure qu’ils sont bien vides et cette fois-ci, je la laisse seule, lui indiquant simplement :
Je monte la garde, pour que tu sois tranquille.
Je ne vais pas répéter mon erreur et et je reste tranquillement à l’extérieur. Une fois qu’elle a terminé, nous échangeons nos places et c’est donc correctement habillés que nous sortons de la base. Mes mercenaires m’attendant à l’extérieur et je vois bien que Robert, le sous-officier de l’escouade me regarde d’un air pénétrant, voulant sans doute me demander où nous étions passé, mais n’osant pas, de crainte de se mêler de ce qui ne le regarde pas.
Pour ma part, comme il se fait tard, je propose à la jeune femme, la tutoyant sans aucun problème, mais n’utilisant pas de mot doux, car je ne sais pas si elle souhaite que notre relation devienne publique :
Je te propose de te raccompagner à l’hôtel pour que tu puisses te rafraîchir.
Je vais moi-même prendre un bon bain bien chaud et avec beaucoup de savon, l’odeur du griffon étant quand même assez forte. J’attends sa réaction avant de continuer :
J’aimerais beaucoup t’avoir à dîner ce soir. Il existe un petit restaurant, tenu par un couple de Shoumeïens, très sympathique qui ont pour spécialité du poisson crue. Je pourrais venir te chercher aux environs de vingt heures ?
Oui, je fais mes propres plans et la demoiselle est bien sûr, libre de refuser, mais je n’imagine pas me passer de sa présence pendant longtemps. J’ai tout simplement envie de rester près d’elle.
C’est parfait.
Le griffon, lui s’envole, et même si j’ai froid, car il me manque mon casque, j’arrive à le guider jusqu’à la base du RSAF, sans problème et il se pose avec douceur. Comme à mon habitude, j’aide la jolie elfe à descendre et nous partons ensemble dans les vestiaires. Je m’assure qu’ils sont bien vides et cette fois-ci, je la laisse seule, lui indiquant simplement :
Je monte la garde, pour que tu sois tranquille.
Je ne vais pas répéter mon erreur et et je reste tranquillement à l’extérieur. Une fois qu’elle a terminé, nous échangeons nos places et c’est donc correctement habillés que nous sortons de la base. Mes mercenaires m’attendant à l’extérieur et je vois bien que Robert, le sous-officier de l’escouade me regarde d’un air pénétrant, voulant sans doute me demander où nous étions passé, mais n’osant pas, de crainte de se mêler de ce qui ne le regarde pas.
Pour ma part, comme il se fait tard, je propose à la jeune femme, la tutoyant sans aucun problème, mais n’utilisant pas de mot doux, car je ne sais pas si elle souhaite que notre relation devienne publique :
Je te propose de te raccompagner à l’hôtel pour que tu puisses te rafraîchir.
Je vais moi-même prendre un bon bain bien chaud et avec beaucoup de savon, l’odeur du griffon étant quand même assez forte. J’attends sa réaction avant de continuer :
J’aimerais beaucoup t’avoir à dîner ce soir. Il existe un petit restaurant, tenu par un couple de Shoumeïens, très sympathique qui ont pour spécialité du poisson crue. Je pourrais venir te chercher aux environs de vingt heures ?
Oui, je fais mes propres plans et la demoiselle est bien sûr, libre de refuser, mais je n’imagine pas me passer de sa présence pendant longtemps. J’ai tout simplement envie de rester près d’elle.

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Lors du voyage dans les airs, elle resta collée à l'homme, pour profiter de sa présence, certes, mais également dans l'espoir de lui transmettre un peu de sa chaleur. Après tout, c'était un peu de sa faute s'il avait froid... Et dans tous les cas, elle n'aimait pas le voir souffrir. Néanmoins, lorsqu'il lui parla de la ramener à l'hôtel, elle ne put empêcher la déception de s'emparer d'elle. La journée était déjà terminée ? Elle n'avait pas vu le temps passer...
- Pourquoi faut-il déjà se séparer ?
Elle n'avait pas envie de bain. Après tout, avec ses pouvoirs, elle pouvait se doucher à peu près n'importe où et n'importe quand. Autrement dit, il était inutile de perdre du temps pour cela. Pour le moment, elle avait seulement envie de profiter autant que possible de la présence de son homme.
- Tu peux même venir plus tôt si tu le désires. Je t'attendrai avec impatience.
Elle avait presque oublié la présence des gardes. Ils ne l'inquiétaient plus, à présent. Et tant pis s'ils voyaient ce qu'ils ne devaient pas. Après tout, ils devaient savoir que c'était un risque, s'ils suivaient leur maître aussi assidûment. Elle se permit donc de prendre les maisn de l'humain, puis se perdant volontairement dans son regard, déclara :
- Je voulais te remercier. Juste pour exister et m'avoir acceptée à tes côtés aujourd'hui. Je n'ai pas vu le temps passer et pourtant, on dirait bien que nous avons passé toute la journée là-bas. Si nous finissons par nous unir, crois-tu que tous les jours pourraient ressembler à celui-là ?
Ce serait simplement parfait. Elle ne pensait pas pouvoir rêver d'une meilleure journée. De plus, elle n'était pas terminée. Elle se doutait que la soirée serait tout aussi délectable.
- Pourquoi faut-il déjà se séparer ?
Elle n'avait pas envie de bain. Après tout, avec ses pouvoirs, elle pouvait se doucher à peu près n'importe où et n'importe quand. Autrement dit, il était inutile de perdre du temps pour cela. Pour le moment, elle avait seulement envie de profiter autant que possible de la présence de son homme.
- Tu peux même venir plus tôt si tu le désires. Je t'attendrai avec impatience.
Elle avait presque oublié la présence des gardes. Ils ne l'inquiétaient plus, à présent. Et tant pis s'ils voyaient ce qu'ils ne devaient pas. Après tout, ils devaient savoir que c'était un risque, s'ils suivaient leur maître aussi assidûment. Elle se permit donc de prendre les maisn de l'humain, puis se perdant volontairement dans son regard, déclara :
- Je voulais te remercier. Juste pour exister et m'avoir acceptée à tes côtés aujourd'hui. Je n'ai pas vu le temps passer et pourtant, on dirait bien que nous avons passé toute la journée là-bas. Si nous finissons par nous unir, crois-tu que tous les jours pourraient ressembler à celui-là ?
Ce serait simplement parfait. Elle ne pensait pas pouvoir rêver d'une meilleure journée. De plus, elle n'était pas terminée. Elle se doutait que la soirée serait tout aussi délectable.



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La jeune femme me demande pourquoi il faut se séparer et je lui dis d’une voix douce :
C’est pour mieux se retrouver.
Je ne peux pas lui dire que je trouve que je sens mauvais, que j’ai froid et que mes vêtements sont trop légers, il faut vraiment que je mette une veste plus chaude. Je risquerai de passer pour une chochotte. Quand elle m’indique que je peux venir plus tôt, je lui réponds :
Je vais faire aussi vite que possible.
Je suis surpris quand elle me prend par les mains, mais elle souhaite de toute évidence que notre relation devienne publique et je n’y vois pas d’inconvénient. Nous sommes tous les deux adultes et célibataires, même si nous appartenons à deux pays différents. Ses paroles me vont droit au cœur et je ne peux m’empêcher de l’embrasser sur la bouche, un petit baiser qui dure quelques secondes avant de lui annoncer :
Je ressens la même chose. Je doute que toutes les journées ressemblent à celles-ci, il va falloir quand même travailler.
Oui, toujours mon coté pratique, mais je continue :
Je peux te promettre que tu resteras, à jamais, ma priorité.
C’est complètement sincère de ma part, j’ai à mes côté une elfe, très jolie, intelligente et maîtrisant les arts magiques, je ne la laisserais partir pour rien au monde.
Sur ces dernières paroles, je lui fais une dernière révérence et je quitte les lieux pour rejoindre ma demeure familiale. Je me dépêche de prendre un bain pendant que mes serviteurs préparent mes vêtements et c’est donc rapidement que je reviens à l’hôtel. Je sors de mon carrosse et je vais frapper à la porte de sa suite, me présentant à travers la porte :
Maria ? C’est moi.
Oui, autant préciser et je n’entrerai pas sans réponse, la demoiselle étant pudique.
C’est pour mieux se retrouver.
Je ne peux pas lui dire que je trouve que je sens mauvais, que j’ai froid et que mes vêtements sont trop légers, il faut vraiment que je mette une veste plus chaude. Je risquerai de passer pour une chochotte. Quand elle m’indique que je peux venir plus tôt, je lui réponds :
Je vais faire aussi vite que possible.
Je suis surpris quand elle me prend par les mains, mais elle souhaite de toute évidence que notre relation devienne publique et je n’y vois pas d’inconvénient. Nous sommes tous les deux adultes et célibataires, même si nous appartenons à deux pays différents. Ses paroles me vont droit au cœur et je ne peux m’empêcher de l’embrasser sur la bouche, un petit baiser qui dure quelques secondes avant de lui annoncer :
Je ressens la même chose. Je doute que toutes les journées ressemblent à celles-ci, il va falloir quand même travailler.
Oui, toujours mon coté pratique, mais je continue :
Je peux te promettre que tu resteras, à jamais, ma priorité.
C’est complètement sincère de ma part, j’ai à mes côté une elfe, très jolie, intelligente et maîtrisant les arts magiques, je ne la laisserais partir pour rien au monde.
Sur ces dernières paroles, je lui fais une dernière révérence et je quitte les lieux pour rejoindre ma demeure familiale. Je me dépêche de prendre un bain pendant que mes serviteurs préparent mes vêtements et c’est donc rapidement que je reviens à l’hôtel. Je sors de mon carrosse et je vais frapper à la porte de sa suite, me présentant à travers la porte :
Maria ? C’est moi.
Oui, autant préciser et je n’entrerai pas sans réponse, la demoiselle étant pudique.

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Il se dépêcherait. Elle hocha la tête, lui lançant néanmoins :
- Ne bâcle pas non plus ce que tu as à faire, hein. Tu voulais un bain, je crois ? Prends le temps de le faire. C'est une activité agréable, profites-en. Je vais peut-être t'imiter, d'ailleurs...
Puis il l'embrassa. Agréablement surprise, elle en profita pour se serrer contre lui. Plus rien n'existait autour d'eux. Juste lui, elle et leur bonheur. C'était suffisant. Elle se moquait que quelqu'un puisse les voir. Elle se moquait qu'on les juge. Elle avait enfin ce qu'elle avait attendu pendant deux siècles, elle ne le lâcherait pas pour quelque chose d'aussi futile que quelques jaloux. Qu'ils se trouvent leur propre âme soeur, après tout.
Lorsqu'il reprit la parole, elle rit encore un peu :
- Oh, tu es incorrigible ! Tu ne pourrais pas me mentir un peu ? Prenons un moment pour rêver, faisons des projets dont nous savons tous les deux qu'ils sont irréalistes. Les rêves ne sont jamais plausibles, tu le sais bien.
Néanmoins, à la promesse suivante, ce fut elle qui l'embrassa, en guise de remerciement. Puis il fallut vraiment se quitter. Elle eut bien du mal à quitter ses bras. Mais elle le savait, ils se retrouveraient très vite. Elle en profiterait pour, elle aussi, faire un brin de toilette, peut-être changer de coiffure, puis simplement l'attendre. L'avenir s'annonçait radieux à ses côtés...
Elle observait l'extérieur par la fenêtre lorsqu'elle entendit l'homme se présenter. Sans bouger, elle répondit :
- C'est ouvert.
Ce ne fut que lorsqu'elle entendit la porte s'ouvrir qu'elle se leva, se hâtant de le rejoindre. Alors qu'elle s'était promis de rester digne lors de leurs retrouvailles, elle n'y parvint pas et se jeta plutôt dans ses bras :
- Je sais que cela ne fait pas longtemps, mais tu m'as manqué !
- Ne bâcle pas non plus ce que tu as à faire, hein. Tu voulais un bain, je crois ? Prends le temps de le faire. C'est une activité agréable, profites-en. Je vais peut-être t'imiter, d'ailleurs...
Puis il l'embrassa. Agréablement surprise, elle en profita pour se serrer contre lui. Plus rien n'existait autour d'eux. Juste lui, elle et leur bonheur. C'était suffisant. Elle se moquait que quelqu'un puisse les voir. Elle se moquait qu'on les juge. Elle avait enfin ce qu'elle avait attendu pendant deux siècles, elle ne le lâcherait pas pour quelque chose d'aussi futile que quelques jaloux. Qu'ils se trouvent leur propre âme soeur, après tout.
Lorsqu'il reprit la parole, elle rit encore un peu :
- Oh, tu es incorrigible ! Tu ne pourrais pas me mentir un peu ? Prenons un moment pour rêver, faisons des projets dont nous savons tous les deux qu'ils sont irréalistes. Les rêves ne sont jamais plausibles, tu le sais bien.
Néanmoins, à la promesse suivante, ce fut elle qui l'embrassa, en guise de remerciement. Puis il fallut vraiment se quitter. Elle eut bien du mal à quitter ses bras. Mais elle le savait, ils se retrouveraient très vite. Elle en profiterait pour, elle aussi, faire un brin de toilette, peut-être changer de coiffure, puis simplement l'attendre. L'avenir s'annonçait radieux à ses côtés...
Elle observait l'extérieur par la fenêtre lorsqu'elle entendit l'homme se présenter. Sans bouger, elle répondit :
- C'est ouvert.
Ce ne fut que lorsqu'elle entendit la porte s'ouvrir qu'elle se leva, se hâtant de le rejoindre. Alors qu'elle s'était promis de rester digne lors de leurs retrouvailles, elle n'y parvint pas et se jeta plutôt dans ses bras :
- Je sais que cela ne fait pas longtemps, mais tu m'as manqué !



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Une fois que j’ai entendu l’autorisation de Maria, j’entre dans sa suite et aussitôt elle me saute dans les bras. J’en profite pour lui faire un gros câlin, lui caressant doucement les cheveux pendant quelques minutes. Je lui fais ensuite un bisou sur le front et je lui indique :
Tu m’as aussi manqué.
Nous sortons ensuite de l’hôtel et nous ne prenons pas le chemin du port mais celui du Palais. L’édifice est comme d’habitude écrasant par sa simple présence et une fois arrivé sur la grande place, je lui dis :
Le restaurant se trouve sur la gauche. Je voulais te montrer l’endroit où je travaille. Mon office est visible d’ici, tu prends la tour centrale et tout le troisième étage est réservé à mon administration. Mon bureau est celui à l'angle ouest avec les différentes fenêtres, qui me permet d’avoir une vue dégagée. Le fait qu’il soit central permet aux autres ministres de venir me voir plus rapidement en cas de difficulté.
Je suis assez fier de mon travail, que je pense, à la fois important et qui aide les gens à ne pas vivre dans la rue ou avoir faim grâce à une bonne redistribution des richesses. Je lui ouvre ensuite la porte du restaurant, mes gardes du corps entrant également, mais prenant une table assez loin pour nous laisser une certaine intimité.
C’est madame Wein qui nous accueil, une elfe très âgée, toute sourire et qui me demande :
Bienvenue Seigneur Reys, qui est la charmante jeune femme qui vous accompagne ?
Je lui souris, depuis le temps que je viens ici, j’ai tendance à la voir comme une tante et je lui réponds :
Je vous présente Dame Donovan, c’est une jeune femme qui a pris une grande place dans mon cœur. Je l’ai amené ici, car elle aime beaucoup le poisson.
Mon interlocutrice sourit à mes paroles et m’indique :
C’est une très bonne chose, je peux vous proposer un assortiment de différents mets, afin que vous constatiez la richesse de notre pays.
Oui, elle est très fière du Shoumeï et il n’y a que cela comme décoration avec de grandes peintures représentant différentes régions, avant l’invasion des Titans, bien entendu.
Tu m’as aussi manqué.
Nous sortons ensuite de l’hôtel et nous ne prenons pas le chemin du port mais celui du Palais. L’édifice est comme d’habitude écrasant par sa simple présence et une fois arrivé sur la grande place, je lui dis :
Le restaurant se trouve sur la gauche. Je voulais te montrer l’endroit où je travaille. Mon office est visible d’ici, tu prends la tour centrale et tout le troisième étage est réservé à mon administration. Mon bureau est celui à l'angle ouest avec les différentes fenêtres, qui me permet d’avoir une vue dégagée. Le fait qu’il soit central permet aux autres ministres de venir me voir plus rapidement en cas de difficulté.
Je suis assez fier de mon travail, que je pense, à la fois important et qui aide les gens à ne pas vivre dans la rue ou avoir faim grâce à une bonne redistribution des richesses. Je lui ouvre ensuite la porte du restaurant, mes gardes du corps entrant également, mais prenant une table assez loin pour nous laisser une certaine intimité.
C’est madame Wein qui nous accueil, une elfe très âgée, toute sourire et qui me demande :
Bienvenue Seigneur Reys, qui est la charmante jeune femme qui vous accompagne ?
Je lui souris, depuis le temps que je viens ici, j’ai tendance à la voir comme une tante et je lui réponds :
Je vous présente Dame Donovan, c’est une jeune femme qui a pris une grande place dans mon cœur. Je l’ai amené ici, car elle aime beaucoup le poisson.
Mon interlocutrice sourit à mes paroles et m’indique :
C’est une très bonne chose, je peux vous proposer un assortiment de différents mets, afin que vous constatiez la richesse de notre pays.
Oui, elle est très fière du Shoumeï et il n’y a que cela comme décoration avec de grandes peintures représentant différentes régions, avant l’invasion des Titans, bien entendu.

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Maria Donovan

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Elle plaça de nouveau sa main dans celle de l'humain alors qu'il la guidait à travers les rues de sa capitale. Lorsqu'il lui indiqua son lieu de travail, elle l'écouta avec attention. Elle avait vu juste, il était sincèrement passionné par son emploi. Voilà qui faisait plaisir à voir.
- Et quels sont tes horaires ? Je peux déjà me voir aller t'attendre ici, en bas, pour t'accueillir à la fin de ta journée.
Elle ne le laisserait pas loin d'elle plus longtemps que nécessaire. Du moins, elle ne se voyait pas le faire. Même si, elle en était consciente, lui travaillait en journée et elle en soirée, ils risquaient donc de moins se voir que d'autres couples, même après qu'ils aient emménagé ensemble. Enfin, comme elle l'avait dit plus tôt, il serait toujours temps de retrouver la morne réalité plus tard. Pour l'instant, elle voulait laisser les rêves prendre toute la place. Leur relation n'en était qu'à ses débuts, il fallat donc laisser le premier plan au bonheur.
Lorsque la propriétaire du restaurant les accueillit, Maria la salua de sa meilleure révérence. Elle pouvait déjà sentir que cette elfe lui plairait. Etait-ce dû à leur race commune ? Ou plutôt, à la bonté qui semblait se dégager de son regard ? Elle apprécia également qu'elle ne les juge pas lorsque Tagar la mit au courant de leur relation. Elle en profita d'ailleurs por récupérer sa main sur la table. Ils n'avaient pas à se cacher, dans ce lieu qui les acceptait sans conditions. Alors, autant s'assumer complètement.
Lors de la proposition, elle remarqua que Tagar ne répondait pas. Peut-être pour la laisser le faire ? Alors, ce fut elle qui parla :
- Si Tagar est d'accord, cela me plairait beaucoup, en effet. Je vous remercie pour votre proposition.
Elle attendit la réponse de l'humain, puis, lorsque la femme s'en fut, elle plongea de nouveau son regard dans celui de son compagnon.
- J'ai l'impression qu'elle te connaît bien, je me trompe ? En tous cas, je l'aime déjà !
- Et quels sont tes horaires ? Je peux déjà me voir aller t'attendre ici, en bas, pour t'accueillir à la fin de ta journée.
Elle ne le laisserait pas loin d'elle plus longtemps que nécessaire. Du moins, elle ne se voyait pas le faire. Même si, elle en était consciente, lui travaillait en journée et elle en soirée, ils risquaient donc de moins se voir que d'autres couples, même après qu'ils aient emménagé ensemble. Enfin, comme elle l'avait dit plus tôt, il serait toujours temps de retrouver la morne réalité plus tard. Pour l'instant, elle voulait laisser les rêves prendre toute la place. Leur relation n'en était qu'à ses débuts, il fallat donc laisser le premier plan au bonheur.
Lorsque la propriétaire du restaurant les accueillit, Maria la salua de sa meilleure révérence. Elle pouvait déjà sentir que cette elfe lui plairait. Etait-ce dû à leur race commune ? Ou plutôt, à la bonté qui semblait se dégager de son regard ? Elle apprécia également qu'elle ne les juge pas lorsque Tagar la mit au courant de leur relation. Elle en profita d'ailleurs por récupérer sa main sur la table. Ils n'avaient pas à se cacher, dans ce lieu qui les acceptait sans conditions. Alors, autant s'assumer complètement.
Lors de la proposition, elle remarqua que Tagar ne répondait pas. Peut-être pour la laisser le faire ? Alors, ce fut elle qui parla :
- Si Tagar est d'accord, cela me plairait beaucoup, en effet. Je vous remercie pour votre proposition.
Elle attendit la réponse de l'humain, puis, lorsque la femme s'en fut, elle plongea de nouveau son regard dans celui de son compagnon.
- J'ai l'impression qu'elle te connaît bien, je me trompe ? En tous cas, je l'aime déjà !


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