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Citoyen du monde
Myriem de Boktor
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C’était quand même un comportement tellement masculin que de refuser de l’aide et d’avoir mal pour rien quand un petit soin de rien du tout pouvait prévenir toute douleur. Je ne percevais malgré tout plus sa douleur, cela devait donc être vrai qu’il n’avait pas mal, il avait beau être totalement givré, il restait un être humain et méritait donc d’être soigné. Par contre il n’avait aucune chance de réussir à me faire sourire ou rire à ses blagues graveleuses, vaseuses ou quelles qu'elles fussent… Son humour était d’une grossièreté affligeante et je peinais pour faire bonne figure, dur exercice !
Je pris malgré tout quelques secondes de réflexion avant de répondre calmement et posément.
- En réalité v… tu te trompes en un sens. Je pense oui que tu es différent dans ta manière de penser, allumé ou givré peut-être et je ne te comprends pas soyons clair mais… tu n’es pas un crétin. Et pour le reste, tu ne me violeras pas! Quand bien même tu le voudrais tu ne le pourrais, je mourrai plutôt que de revivre ça mais je t’emporterai dans la tombe avec moi. Et comme toi et moi n’avons nulle envie de mourir ici et ce soir, tout se passera bien n’est-ce pas?
Pour le coup j’avais perdu mon sourire, parce que le viol ce n’était pas un sujet trivial de base et que je l’avais déjà vécu et que je m’en voulais encore de n’avoir pas coulé ce foutu navire avec Kirig et moi à bord. Mais aujourd’hui je voulais vivre et je travaillais pour avoir des contacts, des ressources et revenir à Mael reconstruire.
Je le laissais continuer de discuter sur ce jeu dont nous ne maîtrisons pas les règles dans le fond, il avait raison là dessus. J’avais laissé la marmite cuire doucement, et j’avais pris un fond de vin, pour dire que j’allais tremper mes lèvres avant de m’asseoir en face de lui pour mieux l’observer, l’écouter, ou l’étudier peut-être en un sens.
- Admettons que je sois chanceuse, autant en profiter et mettre ma vie à profit pour faire ce qui a de la valeur à mes yeux. Hélas je n’ai pas la prétention de pouvoir changer la donne pour le moment, des accords ça se travaille, ça se construit petit à petit. Mais j’entends ce que tu me dis, soit j’œuvre pour reprendre Mael, soit je pactise avec les Reikois pour agir de l’intérieur.
La suite m'interpelle vraiment, il voulait passer un marché? Mais quelle étrange idée et surtout quel type de marché?
- Autant te dire que tes paroles m’interpellent et je me demande bien ce que tu peux ou veux me montrer comme voie. Pour ma part je dois voir des investisseurs ici, des gens prêts à mettre de l’argent à Mael pour la reconstruction. Je vais rentrer ensuite sur mes terres et je présenterai aux autorités en place mes projets, je vois un chantier naval à Mael. Mael n’en a jamais eu et c’est un grand port donc autant faire travailler les gens locaux, utiliser les matières premières de la région et produire des navires pour le commerce, ou le transport de personnes. Alors oui tu ne vois de grandiose dans tout cela je le sais par avance mais je ne sais pas envisager les choses autrement à l’heure actuelle.
J’avais bu une gorgée de fin et grimacé, non définitivement je n’étais pas prête à aimer ce genre de breuvage alcolisé, c’était brrrrr…. Un goût étrange, fruité probablement mais avec une certaine impression de volume, comme si c’était épais en bouche, non ce n’était pas du tout à mon goût.
- Alors un marché dans l'idée je n'ai rien contre ou pour mais je ne sais même pas quoi te demander !
Ah si... Prendre un bain et se récurer sous tous les angles mais ce n'était pas le sujet.
message 8
Je pris malgré tout quelques secondes de réflexion avant de répondre calmement et posément.
- En réalité v… tu te trompes en un sens. Je pense oui que tu es différent dans ta manière de penser, allumé ou givré peut-être et je ne te comprends pas soyons clair mais… tu n’es pas un crétin. Et pour le reste, tu ne me violeras pas! Quand bien même tu le voudrais tu ne le pourrais, je mourrai plutôt que de revivre ça mais je t’emporterai dans la tombe avec moi. Et comme toi et moi n’avons nulle envie de mourir ici et ce soir, tout se passera bien n’est-ce pas?
Pour le coup j’avais perdu mon sourire, parce que le viol ce n’était pas un sujet trivial de base et que je l’avais déjà vécu et que je m’en voulais encore de n’avoir pas coulé ce foutu navire avec Kirig et moi à bord. Mais aujourd’hui je voulais vivre et je travaillais pour avoir des contacts, des ressources et revenir à Mael reconstruire.
Je le laissais continuer de discuter sur ce jeu dont nous ne maîtrisons pas les règles dans le fond, il avait raison là dessus. J’avais laissé la marmite cuire doucement, et j’avais pris un fond de vin, pour dire que j’allais tremper mes lèvres avant de m’asseoir en face de lui pour mieux l’observer, l’écouter, ou l’étudier peut-être en un sens.
- Admettons que je sois chanceuse, autant en profiter et mettre ma vie à profit pour faire ce qui a de la valeur à mes yeux. Hélas je n’ai pas la prétention de pouvoir changer la donne pour le moment, des accords ça se travaille, ça se construit petit à petit. Mais j’entends ce que tu me dis, soit j’œuvre pour reprendre Mael, soit je pactise avec les Reikois pour agir de l’intérieur.
La suite m'interpelle vraiment, il voulait passer un marché? Mais quelle étrange idée et surtout quel type de marché?
- Autant te dire que tes paroles m’interpellent et je me demande bien ce que tu peux ou veux me montrer comme voie. Pour ma part je dois voir des investisseurs ici, des gens prêts à mettre de l’argent à Mael pour la reconstruction. Je vais rentrer ensuite sur mes terres et je présenterai aux autorités en place mes projets, je vois un chantier naval à Mael. Mael n’en a jamais eu et c’est un grand port donc autant faire travailler les gens locaux, utiliser les matières premières de la région et produire des navires pour le commerce, ou le transport de personnes. Alors oui tu ne vois de grandiose dans tout cela je le sais par avance mais je ne sais pas envisager les choses autrement à l’heure actuelle.
J’avais bu une gorgée de fin et grimacé, non définitivement je n’étais pas prête à aimer ce genre de breuvage alcolisé, c’était brrrrr…. Un goût étrange, fruité probablement mais avec une certaine impression de volume, comme si c’était épais en bouche, non ce n’était pas du tout à mon goût.
- Alors un marché dans l'idée je n'ai rien contre ou pour mais je ne sais même pas quoi te demander !
Ah si... Prendre un bain et se récurer sous tous les angles mais ce n'était pas le sujet.
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Mon verre se posa sur un meuble non loin de moi. Ainsi, elle voulait aider les misérables à retrouver une situation décente. C’était louable, non sans déconné. Je passai ma langue sur ma lèvre inférieure, réfléchissant avant de me pencher en avant, baissant le timbre de voix comme si je craignais que l’on soit écouté.
-Ecoutes Miry, toi ce que tu veux, c’est de l’oseille pour rebatir et pour pouvoir prospérer, psartek.
J’hochai doucement la tête en signe d’approbation.
-Et moi tu vois, j’ai de l’oseille à dépenser et contrairement aux compagnies commerciales et aux banques, je ne vais pas te demander des parts sur ce que tu vas gagner avec mon argent.
Bon techniquement, l’oseille je ne l’avais pas encore. Il reposait au chaud dans un convoi de la banque des Chaînes mais c’était un détail. L’argent c’est comme une queue dans un petit minou, ca va, ça vient !
-Il aura assez pour que tu puisses construire ton foutu chantier naval et même te doter de quelques navires. Tu pourras faire ce que tu veux avec : transporter des marchandises, faire de la course, planquer des cadavres. On s’en branle !
Ma main balaya l’air pour appuyer mes dires. Je fouillai ensuite ma poche, extirpant ma pochette à datura. Je m’en roulai un petit tout en continuant mon explication.
-En échange, je veux circuler à l’oeil sur tes navires et je ne veux apparaître sur aucun registre de bord. Dès que tu auras ton nid à Maël, je veux également pouvoir rentrer dans la Grande Bibliothèque de la cité et je veux pouvoir y sortir le document de mon choix.
Les navires c’étaient un bonus car le vrai butin se trouvait dans la bibliothèque. Je n’y étais jamais allé mais d’après la rumeur, tout le savoir du monde se trouvait là-bas et il y avait quelque chose qui n’attendait que moi. J’aurai pu y aller et dérober ce qu’il me fallait mais il y avait un soucis. Je maitrisai pas des masses les langues érudites et les fouilles prendraient sans doute plusieurs jours.
Je glissai mon doobie entre mes lèvres avant de craquer une allumette, allumant le tout. L’odeur commença à se propager dans la pièce.
-Qu’est ce que t’en dis, petite Miry ? On a un marché ?
Mes yeux virèrent aux rouges. Mon regard se détourna vers le lutin qui semblait se faire éclater le cul par un une hydre. L’une des têtes de l’hydre grogna sur moi, ce qui me fit rire. Putain, c’était efficace. Je tachai de me reconcentrer sur Miry. Mon corps était déjà entrain de lutter contre le poison de la Datura. Ainsi, je transpirai simplement plutôt que de convulser par terre, raide mort.
-Ceux qui marchent avec moi ne seront jamais amputé.
Marcher, amputer… Je riais grandement.
-Ecoutes Miry, toi ce que tu veux, c’est de l’oseille pour rebatir et pour pouvoir prospérer, psartek.
J’hochai doucement la tête en signe d’approbation.
-Et moi tu vois, j’ai de l’oseille à dépenser et contrairement aux compagnies commerciales et aux banques, je ne vais pas te demander des parts sur ce que tu vas gagner avec mon argent.
Bon techniquement, l’oseille je ne l’avais pas encore. Il reposait au chaud dans un convoi de la banque des Chaînes mais c’était un détail. L’argent c’est comme une queue dans un petit minou, ca va, ça vient !
-Il aura assez pour que tu puisses construire ton foutu chantier naval et même te doter de quelques navires. Tu pourras faire ce que tu veux avec : transporter des marchandises, faire de la course, planquer des cadavres. On s’en branle !
Ma main balaya l’air pour appuyer mes dires. Je fouillai ensuite ma poche, extirpant ma pochette à datura. Je m’en roulai un petit tout en continuant mon explication.
-En échange, je veux circuler à l’oeil sur tes navires et je ne veux apparaître sur aucun registre de bord. Dès que tu auras ton nid à Maël, je veux également pouvoir rentrer dans la Grande Bibliothèque de la cité et je veux pouvoir y sortir le document de mon choix.
Les navires c’étaient un bonus car le vrai butin se trouvait dans la bibliothèque. Je n’y étais jamais allé mais d’après la rumeur, tout le savoir du monde se trouvait là-bas et il y avait quelque chose qui n’attendait que moi. J’aurai pu y aller et dérober ce qu’il me fallait mais il y avait un soucis. Je maitrisai pas des masses les langues érudites et les fouilles prendraient sans doute plusieurs jours.
Je glissai mon doobie entre mes lèvres avant de craquer une allumette, allumant le tout. L’odeur commença à se propager dans la pièce.
-Qu’est ce que t’en dis, petite Miry ? On a un marché ?
Mes yeux virèrent aux rouges. Mon regard se détourna vers le lutin qui semblait se faire éclater le cul par un une hydre. L’une des têtes de l’hydre grogna sur moi, ce qui me fit rire. Putain, c’était efficace. Je tachai de me reconcentrer sur Miry. Mon corps était déjà entrain de lutter contre le poison de la Datura. Ainsi, je transpirai simplement plutôt que de convulser par terre, raide mort.
-Ceux qui marchent avec moi ne seront jamais amputé.
Marcher, amputer… Je riais grandement.
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Myriem de Boktor
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J’écoutais Chazz avec plus d’attention qu’au début de cette rencontre improbable. Bizarrement il avait réussi à capter mon intéret autrement que par la peur ou l’intimidation, je n’étais pas sotte, cet homme, ce jeune homme plutôt était un vaurien, un garnement, et peut-être un dérangé total, un assassin, ou pire encore, un Reikois sous couverture !
- C’est en effet un bon résumé des choses tant de mon point de vue que du v.. tien.
Les habitudes avaient la dent dure mais j’avais bien compris que je devais me plier à ses règles pour que tout puisse se passer correctement.
- Donc si je résume bien ce que tu me dis Chazz, tu proposes de m’aider à financer la construction de ces navires pour relancer l’économie et le commerce et ma compagnie marchande par conséquent. Et tu ne souhaites pas avoir de parts ou de retour sur les bénéfices que cela pourrait engendrer? Et tout ça juste pour voyager discrètement?
Je trouvais cela peu cher payé et donc il y avait une énorme baleine sous le gravier. Je trempe de nouveau mes lèvres d’une gorgée de vin, tout en réfléchissant. C’est donc quelqu’un de recherché et si j’accepte de signer ce genre de pacte avec un paria je serai moi aussi dans l’illégalité. Qu’a-t-il fait? Que compte-t-il faire?
- Pour le transport sur mes navires, tu pourras être déclaré comme un lointain cousin au besoin, je donnerai un nom qui sera tien c’est une possibilité quand bien même en faisant cela tu me mettrais dans l’illégalité face au Reike ou à la République. Je ferai donc des recherches régulières sur ton nom Chazz Kramer et si j’apprends que tu es recherché pour meurtre, viol ou quelque chose de ce genre je te ferai livrer moi même aux autorités.
Cela laissait donc la place à tout type d’arnaques, de vol, et que savais-je encore, mais parfois il faut prendre des risques pour avancer et si l’aide se présente sous une forme étrange pourquoi la refuserai-je? La dernier point cependant n’était pas réellement de mon ressort mais…
- Je peux être ta porte d’entrée dans l’Académie de Mael, j’y ai étudié, je connais la Rectrice et j’y suis connue. Cependant je ne peux rien sortir de là-bas. Par contre… Je connais d’excellents copistes, rapides, efficaces, le document de ton choix pourrait être sorti légalement par ce biais.
Je signais un pacte avec un jeune fou j’en étais persuadée, ce n’était pas une bonne chose mais quand on ne peut ouvrir officiellement certaines portes on trouve d’autres solutions, c’est ce qu’on m’a fait comprendre dernièrement. A force d’être trop bonne, trop conne comme disent certains, je n’avance pas, j’ai besoin de fonds, prenons les! Ce n’est pas pour mon enrichissement personnel mais pour le bien de mes gens après tout.
L’odeur de sa cigarette semblait emplir la pièce, étrange saveur qui m’était étrangère. Je réfléchissais cependant aux paroles de Chazz tout en vérifiant que la marmite ne cramait car une odeur aussi se dégageait de cette dernière. Avouons le si on venait à regarder au fond, c’était cramé mais peu importait non, il suffisait de se servir au dessus tout simplement. Alors j’entrepris de remplir deux assiettes que je posais sur la table sans rien dire. Puis je me réinstallais en face de Chazz et je voulus tendre la main pour sceller l’accord mais j’avais bien vu les yeux changeant de couleur de mon compagnon du soir…
- Marché conclu avec mes conditions.
C’était ça ou rien, au mieux j’avais plus d’argent pour relancer le commerce comme je le voulais, au pire il ne se passait rien non? Je réalisais alors qu’en plus des yeux, il transpirait comme un phoque maintenant. C’était quoi ça… L’odeur… Je me levais et attrapais le mégot dans sa main pour le jetter dans le feu, je m’occuperais ensuite de lui, cet andouille se droguait sous mes yeux ! Il n'avait probablement rien entendu de ce que j'avais dit !
message 9
- C’est en effet un bon résumé des choses tant de mon point de vue que du v.. tien.
Les habitudes avaient la dent dure mais j’avais bien compris que je devais me plier à ses règles pour que tout puisse se passer correctement.
- Donc si je résume bien ce que tu me dis Chazz, tu proposes de m’aider à financer la construction de ces navires pour relancer l’économie et le commerce et ma compagnie marchande par conséquent. Et tu ne souhaites pas avoir de parts ou de retour sur les bénéfices que cela pourrait engendrer? Et tout ça juste pour voyager discrètement?
Je trouvais cela peu cher payé et donc il y avait une énorme baleine sous le gravier. Je trempe de nouveau mes lèvres d’une gorgée de vin, tout en réfléchissant. C’est donc quelqu’un de recherché et si j’accepte de signer ce genre de pacte avec un paria je serai moi aussi dans l’illégalité. Qu’a-t-il fait? Que compte-t-il faire?
- Pour le transport sur mes navires, tu pourras être déclaré comme un lointain cousin au besoin, je donnerai un nom qui sera tien c’est une possibilité quand bien même en faisant cela tu me mettrais dans l’illégalité face au Reike ou à la République. Je ferai donc des recherches régulières sur ton nom Chazz Kramer et si j’apprends que tu es recherché pour meurtre, viol ou quelque chose de ce genre je te ferai livrer moi même aux autorités.
Cela laissait donc la place à tout type d’arnaques, de vol, et que savais-je encore, mais parfois il faut prendre des risques pour avancer et si l’aide se présente sous une forme étrange pourquoi la refuserai-je? La dernier point cependant n’était pas réellement de mon ressort mais…
- Je peux être ta porte d’entrée dans l’Académie de Mael, j’y ai étudié, je connais la Rectrice et j’y suis connue. Cependant je ne peux rien sortir de là-bas. Par contre… Je connais d’excellents copistes, rapides, efficaces, le document de ton choix pourrait être sorti légalement par ce biais.
Je signais un pacte avec un jeune fou j’en étais persuadée, ce n’était pas une bonne chose mais quand on ne peut ouvrir officiellement certaines portes on trouve d’autres solutions, c’est ce qu’on m’a fait comprendre dernièrement. A force d’être trop bonne, trop conne comme disent certains, je n’avance pas, j’ai besoin de fonds, prenons les! Ce n’est pas pour mon enrichissement personnel mais pour le bien de mes gens après tout.
L’odeur de sa cigarette semblait emplir la pièce, étrange saveur qui m’était étrangère. Je réfléchissais cependant aux paroles de Chazz tout en vérifiant que la marmite ne cramait car une odeur aussi se dégageait de cette dernière. Avouons le si on venait à regarder au fond, c’était cramé mais peu importait non, il suffisait de se servir au dessus tout simplement. Alors j’entrepris de remplir deux assiettes que je posais sur la table sans rien dire. Puis je me réinstallais en face de Chazz et je voulus tendre la main pour sceller l’accord mais j’avais bien vu les yeux changeant de couleur de mon compagnon du soir…
- Marché conclu avec mes conditions.
C’était ça ou rien, au mieux j’avais plus d’argent pour relancer le commerce comme je le voulais, au pire il ne se passait rien non? Je réalisais alors qu’en plus des yeux, il transpirait comme un phoque maintenant. C’était quoi ça… L’odeur… Je me levais et attrapais le mégot dans sa main pour le jetter dans le feu, je m’occuperais ensuite de lui, cet andouille se droguait sous mes yeux ! Il n'avait probablement rien entendu de ce que j'avais dit !
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-Pour le transport sur mes navires, tu pourras être déclaré comme un lointain cousin, Là d’ou je viens on s’embrasse entre cousin. Je prendrai un nom qui sera le tien, c’est une possibilité quand bien même en faisant cela, tu me mettrais en cloque. Je ferai donc des recherches régulière sur toutes sorte de positions sexuelles Chazz Krammer et si j’apprends que tu es recherché pour….
Attends ! Qu’est ce qu’elle était entrain de me dire là ? Je souriais de toutes mes dents. Je savais qu’elle était en kiffe sur moi, la petite noble. C’était bien une bourgeoise. Les filles de bonne naissance adoraient les truands. Je hochai la tête, acceptant toutes ses requêtes.
-Je veux que tu rentre par ma porte d’entrée. D’accord. Je connais et j’ai connu l’Erectrice. Erection ? Euh sans doute ? Cependant, tu devras sortir de ma… J’ai pas capté le dernier mot mais on se comprend !
-Blablabla blablbla… Blablabla ! Blalblblalalblalbla
Je souriai. Elle semblait tellement heureuse. Elle m’attrapa par la main avant de passer sa main dans ma chevelure. Nos lèvres se rencontrèrent dans une explosion de passion. Mon rythme cardiaque s’accentua. Il n’y avait qu’elle et moi. L’univers s’effrondrait autour de nous. Soudain on enfonça la porte. C’était la présidente de la République qui était accompagnée par une armée de type en costume. Ils étaient suivi par une troupe de soldat reikois guidé par l’empereur lui même.
Tous se beau monde nous encerclèrent. Miry mit fin au baiser avant de me prendre la main et de m’aider à me lever. Elle se mit à s’agiter, bougeant son bassin comme une déesse. Ses mains passèrent sur son buste puis dans ses cheveux qu’elle secoua, se retrouvant en pétard.
Une musique se faisait entendre autour de nous, on aurait dit un bal populaire. Mirelda ainsi que les gars en costume imitèrent Miry.De mon côté, j’agitai également mon bassin tout en voyant mes bras de gauche à droite tout en baissant la tête et en me fléchissant.. L’empereur fit de même avec ses troupes.
J’atrapais le bassin de Miry avant de la retourner, collant son postérieur avec mon bassin. En parfaite symbiose, notre mouvement était emplis de sensualité. L’assistance autour de nous leva les bras en l’air. Soudain, elle se retourna et me repoussa avec un air de défi. Sa main souleva sa chevelure puis elle se retourna pour me tourner le dos. La dernière chose que je vis sur son visage fut ses yeux pétillants et son sourire malicieux.
-Qu'est ce que je t'aime...
Une main me tapota l’épaule alors que je continuai de l’admirer, c’était l’empereur. Lorsque je l’avisai, il me décrocha une gifle monumentale.
- Marché conclu avec mes conditions.
J’étais de nouveau assis devant la bourgeoise impeccable. Je fis une léger moue avant de passer mes mains sur mon visage.
-Azy, marché conclu.
J’attrapai ensuite une assiette et je commençais à manger en pestant légèrement tout en ressassant mon hallucination.
-Je suis sûre que dans le fond, t’es comme ça.
Attends ! Qu’est ce qu’elle était entrain de me dire là ? Je souriais de toutes mes dents. Je savais qu’elle était en kiffe sur moi, la petite noble. C’était bien une bourgeoise. Les filles de bonne naissance adoraient les truands. Je hochai la tête, acceptant toutes ses requêtes.
-Je veux que tu rentre par ma porte d’entrée. D’accord. Je connais et j’ai connu l’Erectrice. Erection ? Euh sans doute ? Cependant, tu devras sortir de ma… J’ai pas capté le dernier mot mais on se comprend !
-Blablabla blablbla… Blablabla ! Blalblblalalblalbla
Je souriai. Elle semblait tellement heureuse. Elle m’attrapa par la main avant de passer sa main dans ma chevelure. Nos lèvres se rencontrèrent dans une explosion de passion. Mon rythme cardiaque s’accentua. Il n’y avait qu’elle et moi. L’univers s’effrondrait autour de nous. Soudain on enfonça la porte. C’était la présidente de la République qui était accompagnée par une armée de type en costume. Ils étaient suivi par une troupe de soldat reikois guidé par l’empereur lui même.
Tous se beau monde nous encerclèrent. Miry mit fin au baiser avant de me prendre la main et de m’aider à me lever. Elle se mit à s’agiter, bougeant son bassin comme une déesse. Ses mains passèrent sur son buste puis dans ses cheveux qu’elle secoua, se retrouvant en pétard.
Une musique se faisait entendre autour de nous, on aurait dit un bal populaire. Mirelda ainsi que les gars en costume imitèrent Miry.De mon côté, j’agitai également mon bassin tout en voyant mes bras de gauche à droite tout en baissant la tête et en me fléchissant.. L’empereur fit de même avec ses troupes.
J’atrapais le bassin de Miry avant de la retourner, collant son postérieur avec mon bassin. En parfaite symbiose, notre mouvement était emplis de sensualité. L’assistance autour de nous leva les bras en l’air. Soudain, elle se retourna et me repoussa avec un air de défi. Sa main souleva sa chevelure puis elle se retourna pour me tourner le dos. La dernière chose que je vis sur son visage fut ses yeux pétillants et son sourire malicieux.
-Qu'est ce que je t'aime...
Une main me tapota l’épaule alors que je continuai de l’admirer, c’était l’empereur. Lorsque je l’avisai, il me décrocha une gifle monumentale.
- Marché conclu avec mes conditions.
J’étais de nouveau assis devant la bourgeoise impeccable. Je fis une léger moue avant de passer mes mains sur mon visage.
-Azy, marché conclu.
J’attrapai ensuite une assiette et je commençais à manger en pestant légèrement tout en ressassant mon hallucination.
-Je suis sûre que dans le fond, t’es comme ça.
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- Qu'est ce que je t'aime…
Mais qu’est-ce qu’il me raconte là sérieusement, il est totalement parti dans un trip qui me dépasse, ah les méfaits des drogues, on a beau le savoir quand on rencontre quelqu’un en plein délire c’est toujours très surprenant et surtout carrément peu compréhensible.
Je vois dans son regard les volutes de Datura qui obscurcissent sa vision, c’est devenu vitreux même et il s’en réjouit, oui ce benêt sourit à la vie comme tout était un cadeau. En un sens cela me rassure, il n’a pas de réaction violente ou dangereuse, il est juste heureux !
Je sens et perçois ses émotions, il en émet une multitude, et il semble content, satisfait, et euh… non mais il suffit Monsieur Kramer, il va falloir apaiser ses hormones en ébullition, il est totalement hors de question qu’il se passe quoi que ce soit entre vous et moi ! La drogue vous fait délirer sévèrement dites donc ! Le voilà qui bouge, fait des gestes que je ne comprends pas, pas tous du moins, certains sont peu équivoques et hélas me paraissent bien clairs… Son délire est totalement sexuel…
Néanmoins je lui ai enlevé la drogue des lèvres, j’ai ouvert en grand pour bien aérer la cuisine et déjà l’air me semble plus respirable, une chance sinon cela allait me déranger l’esprit aussi, même sans fumer moi même les vapeurs peuvent agir ! Par contre je garde de cet “échange” qu’il a accepté mes conditions, que le marché est conclus, cela me convient.
Il se sert finalement à manger et commence à avaler bouchée après bouchée, je fais de même, j’ai faim, toute cette histoire, cette rencontre m’a stressée, fait flipper aussi je le concède alors cela ouvre l’appétit. Et de nouveau…
-Je suis sûre que dans le fond, t’es comme ça.
- Je ne vais pas te contredire vu que je ne sais pas de quoi tu parles mais … je crains que tu n’aies pas une bonne conscience de la réalité actuellement…
Cela étant dit je m’interroge et si… cela n’est pas compliqué dans le fond. Il me suffirait de me concentrer sur la glande spinéale et de forcer la production des hormones du sommeil, sans douleur, sans heurts, il se mettrait à bailler, il lutterait mais je sais maintenir ma magie pour forcer ce genre de mécanisme, je l’utilisais à la guerre pour endormir les blessés quand on manquait de produits anesthésiants et de somnifères. Mais je ne fais pas ça car je trouve cela éthiquement discutable. Mais il me semble quand même dangereux et particulièrement dérangé non? Et drogué de surcroit !
Alors, pendant que nous mangeons dans un silence relatif, j'use de ma magie pour endormir ce brave homme déjà fatigué par son ingestion de drogues. Assez rapidement je vois sa tête dodelinant et il finit après une âtre lutte par tomber le nez sur la table, non pas dans l'assiette, il est chanceux le bougre ! Je le regarde et je me demande quoi faire en réalité, j'imagine qu'il va dormir un moment. Je laisse donc mon assiette en plan et pars explorer la maison, c'est que je cherche le majordome voyez vous.
Et je finis donc par tomber nez à nez avec un homme ficellé dans la chambre, il dort, assommé lui aussi. J'hésite sur la conduite à tenir mais je dois aller vite et la maison est à l'extérieur de la ville, au calme, près du lac... Je dois aller chercher de l'aide et les autorités, c'est ça qui doit être fait. Alors, m'assurant avant mon départ que l'homme n'avait pas besoin de soins vitaux sur le champ, je le détache et je prends ensuite la direction de la maison la plus proche, avec de la chance ils auront un cheval pour aller vite au poste de garde du faubourg !
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Mais qu’est-ce qu’il me raconte là sérieusement, il est totalement parti dans un trip qui me dépasse, ah les méfaits des drogues, on a beau le savoir quand on rencontre quelqu’un en plein délire c’est toujours très surprenant et surtout carrément peu compréhensible.
Je vois dans son regard les volutes de Datura qui obscurcissent sa vision, c’est devenu vitreux même et il s’en réjouit, oui ce benêt sourit à la vie comme tout était un cadeau. En un sens cela me rassure, il n’a pas de réaction violente ou dangereuse, il est juste heureux !
Je sens et perçois ses émotions, il en émet une multitude, et il semble content, satisfait, et euh… non mais il suffit Monsieur Kramer, il va falloir apaiser ses hormones en ébullition, il est totalement hors de question qu’il se passe quoi que ce soit entre vous et moi ! La drogue vous fait délirer sévèrement dites donc ! Le voilà qui bouge, fait des gestes que je ne comprends pas, pas tous du moins, certains sont peu équivoques et hélas me paraissent bien clairs… Son délire est totalement sexuel…
Néanmoins je lui ai enlevé la drogue des lèvres, j’ai ouvert en grand pour bien aérer la cuisine et déjà l’air me semble plus respirable, une chance sinon cela allait me déranger l’esprit aussi, même sans fumer moi même les vapeurs peuvent agir ! Par contre je garde de cet “échange” qu’il a accepté mes conditions, que le marché est conclus, cela me convient.
Il se sert finalement à manger et commence à avaler bouchée après bouchée, je fais de même, j’ai faim, toute cette histoire, cette rencontre m’a stressée, fait flipper aussi je le concède alors cela ouvre l’appétit. Et de nouveau…
-Je suis sûre que dans le fond, t’es comme ça.
- Je ne vais pas te contredire vu que je ne sais pas de quoi tu parles mais … je crains que tu n’aies pas une bonne conscience de la réalité actuellement…
Cela étant dit je m’interroge et si… cela n’est pas compliqué dans le fond. Il me suffirait de me concentrer sur la glande spinéale et de forcer la production des hormones du sommeil, sans douleur, sans heurts, il se mettrait à bailler, il lutterait mais je sais maintenir ma magie pour forcer ce genre de mécanisme, je l’utilisais à la guerre pour endormir les blessés quand on manquait de produits anesthésiants et de somnifères. Mais je ne fais pas ça car je trouve cela éthiquement discutable. Mais il me semble quand même dangereux et particulièrement dérangé non? Et drogué de surcroit !
Alors, pendant que nous mangeons dans un silence relatif, j'use de ma magie pour endormir ce brave homme déjà fatigué par son ingestion de drogues. Assez rapidement je vois sa tête dodelinant et il finit après une âtre lutte par tomber le nez sur la table, non pas dans l'assiette, il est chanceux le bougre ! Je le regarde et je me demande quoi faire en réalité, j'imagine qu'il va dormir un moment. Je laisse donc mon assiette en plan et pars explorer la maison, c'est que je cherche le majordome voyez vous.
Et je finis donc par tomber nez à nez avec un homme ficellé dans la chambre, il dort, assommé lui aussi. J'hésite sur la conduite à tenir mais je dois aller vite et la maison est à l'extérieur de la ville, au calme, près du lac... Je dois aller chercher de l'aide et les autorités, c'est ça qui doit être fait. Alors, m'assurant avant mon départ que l'homme n'avait pas besoin de soins vitaux sur le champ, je le détache et je prends ensuite la direction de la maison la plus proche, avec de la chance ils auront un cheval pour aller vite au poste de garde du faubourg !
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Après l’effort, le réconfort. Je mangeai tranquillement quand la fatigue montra le bout de son nez. Somnolent, je senti mon corps devenir lourd. Juste avant de m’effondrer sur la table, mon regard croisa celui de l’ange une dernière fois.
-Pourquoi je t’ai pas connu avant… ?
Mes songes furent agiter par des dragons et des femmes nues qui les chevauchaient.
J’émergea lentement, de la bave sur mon menton. Elle n’était plus là. M’avait-elle abandonné ? Peu importait. Elle pouvait bien courir à l’autre bout du monde, je la retrouverai. Je m’étirai lentement avant de me relever.
-Bon… C’est pas tout ça mais moi je dois aller me faire lécher le trou de balle par une juge…
Avant d’y aller, je refis un tour dans la maison en espérant apercevoir la silouette de Miry, personne… J’allai là ou j’avais déposé ses valises. Elles y étaient toujours. Etait elle partie dans la précipitation ? J’entrepris donc de fouiller avec plus d’attention ses affaires et ce fut là que je la vis. Dans un petit étui, il y avait un croquis d’elle avec un bébé dans les bras.
-Magnifique….
Je pliais l’image de sorte à ce que le nourisson disparaisse pour qu’il n’y ait plus que l’élue de mon coeur. Je glissai ensuite l’image dans ma poche avant de faire un dernière tour. A ma grande surprise, Chappie avait été détaché et il semblait être à nouveau conscient. Pire encore, il tenta de sortir par la fenêtre lorsque j’arrivai dans la même pièce que lui.
-Rah mon pote… Elle n’aurait jamais du te voir… Qu'est ce qu'elle va passer de moi du coup?
J’allai sur lui et l’assommai à nouveau avant de le rattacher. Puis je quittai les lieux comme j’étais venu, avec lui.
Enfin, j’avais tout de même gagné quelque chose en venant ici…
-Pourquoi je t’ai pas connu avant… ?
Mes songes furent agiter par des dragons et des femmes nues qui les chevauchaient.
J’émergea lentement, de la bave sur mon menton. Elle n’était plus là. M’avait-elle abandonné ? Peu importait. Elle pouvait bien courir à l’autre bout du monde, je la retrouverai. Je m’étirai lentement avant de me relever.
-Bon… C’est pas tout ça mais moi je dois aller me faire lécher le trou de balle par une juge…
Avant d’y aller, je refis un tour dans la maison en espérant apercevoir la silouette de Miry, personne… J’allai là ou j’avais déposé ses valises. Elles y étaient toujours. Etait elle partie dans la précipitation ? J’entrepris donc de fouiller avec plus d’attention ses affaires et ce fut là que je la vis. Dans un petit étui, il y avait un croquis d’elle avec un bébé dans les bras.
-Magnifique….
Je pliais l’image de sorte à ce que le nourisson disparaisse pour qu’il n’y ait plus que l’élue de mon coeur. Je glissai ensuite l’image dans ma poche avant de faire un dernière tour. A ma grande surprise, Chappie avait été détaché et il semblait être à nouveau conscient. Pire encore, il tenta de sortir par la fenêtre lorsque j’arrivai dans la même pièce que lui.
-Rah mon pote… Elle n’aurait jamais du te voir… Qu'est ce qu'elle va passer de moi du coup?
J’allai sur lui et l’assommai à nouveau avant de le rattacher. Puis je quittai les lieux comme j’étais venu, avec lui.
Enfin, j’avais tout de même gagné quelque chose en venant ici…
Myriem de Boktor, j’arrive...
Citoyen du monde
Myriem de Boktor
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Et j’ai trouvé un voisin, il m’a semblé que j’ai mis une éternité à arriver jusqu'à cette demeure cossue. Quelle ne fut pas la surprise de ce bon vieux républicain à ma vue, j'étais essoufflée, et plutôt paniquée en un sens, j'avais peur de n'être pas assez rapide. J'expliquais rapidement la situation au vieil homme qui peina à me croire dans un premier temps mais finit par accepter mes dires. Il appela un de ses fils et ce dernier m'accompagna jusqu'au poste de garde à l'entrée de la ville à cheval.
Une fois de plus j'expliquais la situation, mon arrivée dans la demeure la veille au soir et la rencontre avec cet homme surprenant et surtout totalement dérangé, ses propos décousus et menaces sous jacentes et pour finir la découverte de l'homme blessé et attaché dans la chambre à coucher. Le temps défilait et il jouait contre nous, il semblait frêle mais était-ce la réalité? Ne cachait-il pas son jeu même pour cela?
Les gardes me crurent sur paroles, ou plutôt semblèrent très intéressés par l'idée que le dénommé Chazz Krammer fut endormi et donc potentiellement facilement récupérable, il était un criminel connu et reconnu ce qui n'avait pas manqué de m'effrayer encore plus à posteriori... J'avais été en danger réellement et j'avais eu de la chance d'attiser sa curiosité et d'attirer son attention tout en le détournant de moi-même.
Hélas à notre arrivée à la demeure, plus la moindre trace du criminel recherché ni de l'homme blessé, ils avaient disparu. Et je réalisais aussi que mes affaires avaient été fouillées, pour qu'elle raison? Mes bijoux étaient toujours présents, c'était à n'y rien comprendre. Ce ne fut que quelques heures plus tard que je réalisais ce qu'il manquait dans mes affaires : mon portrait accompagné de Amael... Mon sang se glaça à cette découverte, pourquoi avait-il prit cela. Il avait divagué, déliré et m'avait fait des déclarations obscènes et dégoulinantes... Dans son délire de drogué avait-il vraiment pensé que nous avions fait quoi que ce soit ensemble? J'en frémissais de peur en un sens, c'était insidieux, il était dangereux je l'avais compris et les gardes l'avaient confirmé et j'avais accepté son offre sans y croire un seul instant. Mais si il venait à Mael avec l'argent pour des navires et qu'il me demandait de tenir ma promesse? Qu'allais je faire si cela devait arriver? Me parjurer ou traiter avec un criminel?
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Une fois de plus j'expliquais la situation, mon arrivée dans la demeure la veille au soir et la rencontre avec cet homme surprenant et surtout totalement dérangé, ses propos décousus et menaces sous jacentes et pour finir la découverte de l'homme blessé et attaché dans la chambre à coucher. Le temps défilait et il jouait contre nous, il semblait frêle mais était-ce la réalité? Ne cachait-il pas son jeu même pour cela?
Les gardes me crurent sur paroles, ou plutôt semblèrent très intéressés par l'idée que le dénommé Chazz Krammer fut endormi et donc potentiellement facilement récupérable, il était un criminel connu et reconnu ce qui n'avait pas manqué de m'effrayer encore plus à posteriori... J'avais été en danger réellement et j'avais eu de la chance d'attiser sa curiosité et d'attirer son attention tout en le détournant de moi-même.
Hélas à notre arrivée à la demeure, plus la moindre trace du criminel recherché ni de l'homme blessé, ils avaient disparu. Et je réalisais aussi que mes affaires avaient été fouillées, pour qu'elle raison? Mes bijoux étaient toujours présents, c'était à n'y rien comprendre. Ce ne fut que quelques heures plus tard que je réalisais ce qu'il manquait dans mes affaires : mon portrait accompagné de Amael... Mon sang se glaça à cette découverte, pourquoi avait-il prit cela. Il avait divagué, déliré et m'avait fait des déclarations obscènes et dégoulinantes... Dans son délire de drogué avait-il vraiment pensé que nous avions fait quoi que ce soit ensemble? J'en frémissais de peur en un sens, c'était insidieux, il était dangereux je l'avais compris et les gardes l'avaient confirmé et j'avais accepté son offre sans y croire un seul instant. Mais si il venait à Mael avec l'argent pour des navires et qu'il me demandait de tenir ma promesse? Qu'allais je faire si cela devait arriver? Me parjurer ou traiter avec un criminel?
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