+3
Brak'Trarg
Tagar Reys
Pendor de Sarleon
7 participants
Page 3 sur 5 •
1, 2, 3, 4, 5 



Noble du Reike
Tagar Reys

Messages : 1592
crédits : 2225
crédits : 2225
Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Alors que j’étais concentré sur ma partie, je vois une silhouette qui me semble familière et je me concentre sur une nouvelle venue portant les couleurs de ma famille, le jaune et le rouge où comme disait mon père, d’un ton dramatique, l’or et le sang. Il s’agit de Gerda, une jeune femme naine que j’ai rencontrée à de nombreuses reprises et que j’ai invitée pour service rendu, avec l’accord de la maîtresse des lieux. C’est en effet elle qui a réalisé le magnifique masque que je porte. Je me lève donc de la table de jeu, m’excusant rapidement auprès de mes partenaires pour la rejoindre.
Elle s’est mise dans un coin et je m’incline devant elle tout en lui disant :
Vous êtes magnifique, votre robe vous va à ravir.
Je suis sincère, cette tenue à la fois guerrière et de bon goût est parfaite et met en valeur les formes que je pourrais qualifier de voluptueuse de la métallomancienne. Je sors discrètement une petite bourse que je mets dans sa main, lui indiquant simplement :
Je suis pris dans certaines obligations, j’aurais plaisir à vous voir après. En attendant, vous trouverez quelques jetons dans cette bourse, il serait dommage que vous ne profitiez pas des jeux. Ne vous en faites pas pour la dépense, il s’agit d’une œuvre caritative.
Je ne suis pas très sûr de cela, mais de toute façon, l’argent est fait pour être dépensé. Sur le chemin, j’ai également vu une de mes connaissances, dame Ariesvyra et je l’indique à la marchande, lui précisant simplement :
Je vous conseille d’aller parler à la jeune femme que vous voyez là-bas, car vous travaillez tous les deux dans le milieu du métal et je suis sûr que vous aurez beaucoup de chose à vous dire. Sur ces derniers mots, je vous laisse, amusez-vous bien.
J’attends son éventuelle réponse, puis je retourne à ma table, impatient de connaître la réponse de dame Steren à mes questions.
Elle s’est mise dans un coin et je m’incline devant elle tout en lui disant :
Vous êtes magnifique, votre robe vous va à ravir.
Je suis sincère, cette tenue à la fois guerrière et de bon goût est parfaite et met en valeur les formes que je pourrais qualifier de voluptueuse de la métallomancienne. Je sors discrètement une petite bourse que je mets dans sa main, lui indiquant simplement :
Je suis pris dans certaines obligations, j’aurais plaisir à vous voir après. En attendant, vous trouverez quelques jetons dans cette bourse, il serait dommage que vous ne profitiez pas des jeux. Ne vous en faites pas pour la dépense, il s’agit d’une œuvre caritative.
Je ne suis pas très sûr de cela, mais de toute façon, l’argent est fait pour être dépensé. Sur le chemin, j’ai également vu une de mes connaissances, dame Ariesvyra et je l’indique à la marchande, lui précisant simplement :
Je vous conseille d’aller parler à la jeune femme que vous voyez là-bas, car vous travaillez tous les deux dans le milieu du métal et je suis sûr que vous aurez beaucoup de chose à vous dire. Sur ces derniers mots, je vous laisse, amusez-vous bien.
J’attends son éventuelle réponse, puis je retourne à ma table, impatient de connaître la réponse de dame Steren à mes questions.

Citoyen du monde
Gerda

Messages : 241
crédits : 951
crédits : 951
Mon signe pourtant discret a attiré l'attention de maître Reys qui, à ma grande surprise, se lève et fait l'effort de venir me saluer. Il est élégant, comme toujours. Et je ne parle pas que la sublime parure qu'il porte aujourd'hui. Messire Reys incarne à mes yeux une espèce de parangon de la bienséance et des aspects les plus prestigieux de la noblesse. C'est un homme qui utilise son statut et son éducation non pas pour abaisser ses interlocuteurs (un défaut recurrent chez les aristocrates) mais pour valoriser ses interlocuteurs.
Il s'approche et me salue. J'accueille son compliment avec un sourire radieux, sentant même mes joues de rosir de contentement.
- Merci infiniment Messire Reys. Vous êtes flamboyant aujourd'hui.
C'est avec élégance et naturel qu'il poursuit. Il me remet une bourse qui s'averera contenir quelques jetons de jeu et accompagne ce cadeau de quelques recommandations. Une fois la surprise passée, je ne peux que sentir une bouffée de gratitude monter en moi. Malgrès ses nombreuses obligations cet homme influent a pris le temps d'échanger quelques mots avec l'invitée qu'il a ramenée, s'assure qu'elle ne s'ennuie pas en lui offrant de quoi profiter des tables de jeu et l'introduit en prime auprès d'une personnalité de la soirée.
- C'est très gentil d'être venu me saluer. Je ne vais pas abuser de votre temps, c'est le jour où vous devez briller !
Je ne peux m'empêcher de chercher des yeux autour de lui. Et ne vois pour l'heure aucune femme répondant à l'image de la "fiancée potentielle" supposée être la raison de la création de mon masque. Il faudra que j'essaye d'être attentive autour de la soirée. Je laisse mon bienfaiteur partir sans le retenir beaucoup davantage, le saluant d'un nouveau sourire et d'un signe de main.
- A bientôt messire. Passez une agréable soirée !
Et je laisse le coeur repartir vers ses "obligations" pendant que j'ouvre la bourse et détaille avec curiosité son contenu. Puis j'observe un moment la jeune femme que messire Reys vient de me recommander. Elle semble seule, un peu en retrait. Grande, tenue blanche. Un masque recouvre ses yeux. Est elle aveugle ou est-ce une illusion subtile qui offre cette sensation ? Je note l'idée d'un jour m'essayer à cet artifice avec un masque dans un coin de ma tête et m'approche de la jeune femme. Heureusement je ne suis pas quelqu'un de vraiment timide. Je l'aborde avec un sourire chaleureux et un ton assuré. Tagar a malheureusement omis de me donner son nom, c'est dommage. Je dois donc l'aborder comme une véritable inconnue.
- Bonsoir Madame.
Très bref silence le temps d'être certaine d'avoir capté son attention.
- Gerda Grisepierre, ravie de vous connaître. Messire Reys m'a chaudement recommandé à vous.
Est-ce que c'est vraiment ainsi qu'on se présente auprès des gens de l'aristocratie ? Je n'en ai pas la plus petite idée. Ce n'est pas grave. On expliquera mes manquements aux usages par le fait que je sois étrangère.
- Je suis métallomancienne, enchanteuse et bijoutière. On m'a assuré que nous avions des points communs.
Les deux pieds dans le plats comme qui dirait. Pas de flonflons et de ronds de jambes inutiles pour expliquer pourquoi je viens la voir.
Résumé :
Gerda remercie très chaleureusement @Tagar Reys après que celui-ci se soit donné la peine de venir le saluer et la comble encore une fois d'attentions. Suivant ses recommandations, elle se dirige vers la jeune femme ( @Cyradil Ariesvyra ) et l'aborde sans détours pour se présenter .

Noble du Reike
Cyradil Ariesvyra

Messages : 178
crédits : 1689
crédits : 1689
Plusieurs minutes s’étaient écoulées depuis son entrée dans le dôme. La jeune liche laissait couler les conversations dans son esprit, passant de l’une à l’autre sans vraiment y prêter attention. Pour l’instant, personne ne semblait vouloir l’approcher spontanément mais Cyradil ne se découragea pas pour autant. Elle avait littéralement tout son temps. Elle regardait même cette soirée d’un point de vue relativement extérieur, ne s’intéressant que très peu aux jeux de pouvoirs auxquels les invités pouvaient aspirer. A vrai dire, cela la ferait presque bailler. Cependant, dans son exploration sonore, elle entendit des pas d’un bruit plus prononcé se rapprocher vers elle. Une femme, si elle s’en fiait à sa voix et qui se présenta brièvement à elle. Tournant la tête vers son interlocutrice, elle lui adressa un sourire chaleureux.
« Bien le bonsoir, madame. Je m’appelle Cyradil Ariesvyra mais vous pouvez juste m’appeler Cyradil, ça ira amplement. »
S’il y avait bien une personne qui n’était pas regardante sur l’étiquette ici, c’était bien elle. Son interlocutrice, de par son phrasé, trahissait une non-appartenance à l’aristocratie mais la jeune liche n’en avait que faire. Elle préférait largement lorsque les gens s’exprimaient au naturel plutôt que de feindre une personnalité qu’ils n’avaient pas. Ainsi, Cyradil fut recommandé par ce bon vieux ministre des finances ? Elle avait entendu des échos sur sa promotion en tant que Cœur mais, à vrai dire, la jeune blonde s’en fichait royalement. La forgeronne n’avait d’ailleurs discuter qu’une seule fois avec Tagar et il en était ressorti de leur conversation une froideur. Le voir ici ne l’étonnait guère puisqu’après tout, il aimait manger à tous les râteliers.
« Monsieur Reys ne vous a pas menti, nous avons effectivement des points communs. L’une de mes occupations consiste à diriger une forge séculaire située dans cette ville même. Je l’ai hérité de mon défunt père qui l’a lui-même hérité de son grand-père. A sa mort, j'ai décidé de reprendre l'affaire familiale, incapable de laisser sombrer des décennies d'efforts dans l'ombre et je dois dire que j'ai plutôt bien fait. En tout cas, je suis heureuse de rencontrer en quelque sorte une comparse de métier. »
Il ne s’agissait là pas de l’intégralité de ses talents mais dans la conversation actuelle, il n’y avait pas lieu d’en mentionner plus pour l’instant. En fait, Cyradil était surtout contente que quelqu’un vienne lui adresser la parole, sans quoi, elle serait peut-être repartie comme elle était venue.
« Je dois dire que j’aime assez les bijoux. Votre expertise me serait sans doute assez bien utile pour mes futures confections. » Dit-elle en attirant son regard sur ses parures.
En effet, l’on pouvait voir que la jeune femme portait quelques bijoux de très bonne manufacture. Un bracelet en or à chaque poignet ainsi que deux bagues enchâssées sur ses annulaires. La jeune femme en portait d’autres mais ces derniers étaient bien dissimulés sous sa robe. En guise de bonne foi, Cyradil décida d’ajouter un peu de convivialité à la conversation.
« Vous savez, vous n’êtes pas obligée d’être aussi formelle. Je vous assure que je suis bien la dernière personne qui vous fera une remarque sur votre attitude ou la façon de tourner vos phrases. Je préfère plutôt le franc parler. A en juger par cette première impression, je dirais que vous n’êtes pas une grande habituée de ce genre de festivités, je me trompe ? »
Comme la naine, Cyradil ne se gênait pas pour exprimer le fond de sa pensée. Cependant, son visage n’exprimait pas d’expression hautaine. Au contraire, la jeune liche demeurait souriante et plutôt amusée par cette rencontre fortuite.
« Bien le bonsoir, madame. Je m’appelle Cyradil Ariesvyra mais vous pouvez juste m’appeler Cyradil, ça ira amplement. »
S’il y avait bien une personne qui n’était pas regardante sur l’étiquette ici, c’était bien elle. Son interlocutrice, de par son phrasé, trahissait une non-appartenance à l’aristocratie mais la jeune liche n’en avait que faire. Elle préférait largement lorsque les gens s’exprimaient au naturel plutôt que de feindre une personnalité qu’ils n’avaient pas. Ainsi, Cyradil fut recommandé par ce bon vieux ministre des finances ? Elle avait entendu des échos sur sa promotion en tant que Cœur mais, à vrai dire, la jeune blonde s’en fichait royalement. La forgeronne n’avait d’ailleurs discuter qu’une seule fois avec Tagar et il en était ressorti de leur conversation une froideur. Le voir ici ne l’étonnait guère puisqu’après tout, il aimait manger à tous les râteliers.
« Monsieur Reys ne vous a pas menti, nous avons effectivement des points communs. L’une de mes occupations consiste à diriger une forge séculaire située dans cette ville même. Je l’ai hérité de mon défunt père qui l’a lui-même hérité de son grand-père. A sa mort, j'ai décidé de reprendre l'affaire familiale, incapable de laisser sombrer des décennies d'efforts dans l'ombre et je dois dire que j'ai plutôt bien fait. En tout cas, je suis heureuse de rencontrer en quelque sorte une comparse de métier. »
Il ne s’agissait là pas de l’intégralité de ses talents mais dans la conversation actuelle, il n’y avait pas lieu d’en mentionner plus pour l’instant. En fait, Cyradil était surtout contente que quelqu’un vienne lui adresser la parole, sans quoi, elle serait peut-être repartie comme elle était venue.
« Je dois dire que j’aime assez les bijoux. Votre expertise me serait sans doute assez bien utile pour mes futures confections. » Dit-elle en attirant son regard sur ses parures.
En effet, l’on pouvait voir que la jeune femme portait quelques bijoux de très bonne manufacture. Un bracelet en or à chaque poignet ainsi que deux bagues enchâssées sur ses annulaires. La jeune femme en portait d’autres mais ces derniers étaient bien dissimulés sous sa robe. En guise de bonne foi, Cyradil décida d’ajouter un peu de convivialité à la conversation.
« Vous savez, vous n’êtes pas obligée d’être aussi formelle. Je vous assure que je suis bien la dernière personne qui vous fera une remarque sur votre attitude ou la façon de tourner vos phrases. Je préfère plutôt le franc parler. A en juger par cette première impression, je dirais que vous n’êtes pas une grande habituée de ce genre de festivités, je me trompe ? »
Comme la naine, Cyradil ne se gênait pas pour exprimer le fond de sa pensée. Cependant, son visage n’exprimait pas d’expression hautaine. Au contraire, la jeune liche demeurait souriante et plutôt amusée par cette rencontre fortuite.
- HRP:
- . Cyradil engage la conversation avec @Gerda. Elle est heureuse de voir que quelqu'un est venue lui parler et confirme que les deux femmes ont effectivement des points communs en exposant brièvement la forge dont elle s'occupe tout en saluant les talents de la naine.

Citoyen du monde
Gerda

Messages : 241
crédits : 951
crédits : 951
- Ah. Presque collègues alors ! De loin.
A Ikusa, ville militaire par excellence, j'imagine sans peine à quel usage les forges peuvent servir. Je parais amusée. C'était un maigre point commun sur lequel démarrer une discussion mais c'était déjà ça.
- Vos ateliers équipent l'armée ? Je dois avouer que je n'ai jamais vraiment eu l'occasion d'oeuvrer sur des armes ou des choses très dangereuses ...
Je saurais faire des sacrés trucs qui claquent et qui fument pourtant j'en suis sûre. Mais je n'arrive pas à me motiver pour ce genre "d'oeuvres". Même fabriquer des petits pendentifs en pierres de rien me parait plus valorisant que créer des outils de mort. C'est ironique, surtout quand on sait que d'un autre côté j'adore créer des pieges enchantés dont certains poussent le vice assez loin. ( Curieux ? Essayez de cambrioler ma roulotte un jour. Vous penserez à garder sur vous l'adresse des proches chez qui vous renvoyer.)
Mais bon. Peut-être qu'un jour je m'attacherai suffisament à quelqu'un qui se met en danger pour pouvoir lui fabriquer la plus belle armure qu'on aura jamais eu l'occasion de voir ? L'inspiration née de l'affection et de l'envie de voir vivre l'Autre. C'est possible.
J'ajoute sur un ton d'humour.
- ... même si les anneaux sont de beaux instruments de torture si on en croit certains connaisseurs.
Je fournis les anneaux de fiancaille, je ne suis pas responsable des dommages qu'ils causeront sur la vie de ceux qui les achètent.
- Je serai ravie de vous aider à choisir des bijoux en fonction de vos goûts.
Une proposition sincère, même si je sais que ce genre de petite phrase en l'air peut n'avoir été prononcée que par politesse. C'est au final ce que je préfère dans mon métier. J'ai besoin de chaque jour me renouveler, chaque jour adapter l'oeuvre à la personne en face. C'est stimulant quand on a une fibre un petit peu artistique.
Et parlant de politesse, je ne pensais pas que mon parlé serait qualifié de "formel". La réflexion me fait froncer les sourcils un instant. Le langage commun n'est pas ma langue maternelle mais j'avais le sentiment de le maîtriser suffisamment couramment pour en saisir certaines nuances. Je n'ai pas traité cette dame très différemment de la façon dont j'aurais parlé à des clients. Bon évidemment je lui parle pas non plus comme au copain Bébert à côté de qui je prend une chopine à la taverne du coin mais bon ...
J'hésite un instant sur la manière de répondre à sa remarque et choisis de dégainer la carte joker.
- Je viens de Melorn à vrai dire.
Et hop. Perchée. On pardonne plus facilement aux étrangers, surtout que la cité des elfes a une sorte d'aure exotique aux yeux de la plupart des gens.
- Je m'excuse si le choix de mes mots est maladroit. Ce n'est pas ma langue natale et j'ai parfois du mal à percevoir toutes les variances et subtilités du langage.
J'ai un bref sourire.
- Vous avez raison de le penser ! C'est le premier bal de cette ... "qualité" auquel je participe. Et je dois avouer que je suis très impressionnée !
L'intonation de ma voix trahit t'elle malgré moi tout l'enthousiasme que je ressens en parlant du bal ? Je pense bien que oui. D'un autre côté quel serait l'intérêt de jouer les blasées ici alors que tout ce qui nous entoure est absolument nouveau et fabuleux à mes yeux ? Je fais des efforts pour me tenir correctement et m'empêcher de bondir partout d'une curiosité à l'autre. Me demandez pas en plus de cacher mes émotions.
Résumé :
Gerda bavarde avec @Cyradil Ariesvyra
A Ikusa, ville militaire par excellence, j'imagine sans peine à quel usage les forges peuvent servir. Je parais amusée. C'était un maigre point commun sur lequel démarrer une discussion mais c'était déjà ça.
- Vos ateliers équipent l'armée ? Je dois avouer que je n'ai jamais vraiment eu l'occasion d'oeuvrer sur des armes ou des choses très dangereuses ...
Je saurais faire des sacrés trucs qui claquent et qui fument pourtant j'en suis sûre. Mais je n'arrive pas à me motiver pour ce genre "d'oeuvres". Même fabriquer des petits pendentifs en pierres de rien me parait plus valorisant que créer des outils de mort. C'est ironique, surtout quand on sait que d'un autre côté j'adore créer des pieges enchantés dont certains poussent le vice assez loin. ( Curieux ? Essayez de cambrioler ma roulotte un jour. Vous penserez à garder sur vous l'adresse des proches chez qui vous renvoyer.)
Mais bon. Peut-être qu'un jour je m'attacherai suffisament à quelqu'un qui se met en danger pour pouvoir lui fabriquer la plus belle armure qu'on aura jamais eu l'occasion de voir ? L'inspiration née de l'affection et de l'envie de voir vivre l'Autre. C'est possible.
J'ajoute sur un ton d'humour.
- ... même si les anneaux sont de beaux instruments de torture si on en croit certains connaisseurs.
Je fournis les anneaux de fiancaille, je ne suis pas responsable des dommages qu'ils causeront sur la vie de ceux qui les achètent.
- Je serai ravie de vous aider à choisir des bijoux en fonction de vos goûts.
Une proposition sincère, même si je sais que ce genre de petite phrase en l'air peut n'avoir été prononcée que par politesse. C'est au final ce que je préfère dans mon métier. J'ai besoin de chaque jour me renouveler, chaque jour adapter l'oeuvre à la personne en face. C'est stimulant quand on a une fibre un petit peu artistique.
Et parlant de politesse, je ne pensais pas que mon parlé serait qualifié de "formel". La réflexion me fait froncer les sourcils un instant. Le langage commun n'est pas ma langue maternelle mais j'avais le sentiment de le maîtriser suffisamment couramment pour en saisir certaines nuances. Je n'ai pas traité cette dame très différemment de la façon dont j'aurais parlé à des clients. Bon évidemment je lui parle pas non plus comme au copain Bébert à côté de qui je prend une chopine à la taverne du coin mais bon ...
J'hésite un instant sur la manière de répondre à sa remarque et choisis de dégainer la carte joker.
- Je viens de Melorn à vrai dire.
Et hop. Perchée. On pardonne plus facilement aux étrangers, surtout que la cité des elfes a une sorte d'aure exotique aux yeux de la plupart des gens.
- Je m'excuse si le choix de mes mots est maladroit. Ce n'est pas ma langue natale et j'ai parfois du mal à percevoir toutes les variances et subtilités du langage.
J'ai un bref sourire.
- Vous avez raison de le penser ! C'est le premier bal de cette ... "qualité" auquel je participe. Et je dois avouer que je suis très impressionnée !
L'intonation de ma voix trahit t'elle malgré moi tout l'enthousiasme que je ressens en parlant du bal ? Je pense bien que oui. D'un autre côté quel serait l'intérêt de jouer les blasées ici alors que tout ce qui nous entoure est absolument nouveau et fabuleux à mes yeux ? Je fais des efforts pour me tenir correctement et m'empêcher de bondir partout d'une curiosité à l'autre. Me demandez pas en plus de cacher mes émotions.
Résumé :
Gerda bavarde avec @Cyradil Ariesvyra
Invité
Invité

Aurilia salue brèvement et discrètement sa fille adoptive déguisée (Elia) qui passe en coup de vent, puis reprend la conversation. Répondant à Tagar, souriante :
— Je faisais allusions aux fonds que vous pourriez investir en tant que ministre des finances. Le Reike devrait suivre l'exemple de la République et accorder plus de moyens au développement culturel. Je suis certaine que vous pourrez arranger ça. Cela rapportera à terme au trésor royal et en attendant, un afflux de liquidités pourrait me permettre de faire jouer mon réseau pour, comme vous le proposez, tenter de rétablir des routes commerciales et ainsi consolider les fondations d'une certaine stabilité diplomatique entre les deux nations. Qu'en pensez-vous ?
Profitant que Tagar soit distrait un instant par Gerda, Aurilia tend l'oreille à Brak. Elle détient en effet une piste, mais l'affaire est si particulière qu'elle préfère éviter d'en parler, même en murmure, tant qu'autant de monde se trouve à proximité. L'auteur des faits est peut-être même présent ce soir.
— Je peux peut-être vous aider, valeureux champion, mais la nature particulièrement délicate de cette affaire requiert plus d'intimité. Il y a tant de monde ce soir qu'il vaut mieux nous entretenir à ce sujet un autre moment.
Elle lui tend néanmoins un papier avec quelques notes qui pourraient éventuellement l'aider.
Elle est distraite un instant par le courtier et constate qu'elle vient de perdre une jolie somme, au profit notamment de Tagar qui avait un bon jeu. Elle lui sourit poliment, fait de même à Brak, puis ferme les yeux et se concentre.
— Veuillez m'excuser un instant.
Tout en restant à la table de jeu, elle utilise sa projection astrale pour se matérialiser sur l'estrade où se trouve l'orchestre. Simultanément, fournissant un bel effort, elle utilise discrètement sa manipulation élémentaire des ombres pour masquer et réorienter certaines lumières de façon à capter l'attention. Sa projection astrale est au centre des feux.
Maintenant que les convives avaient le ventre plein et goûtaient au jeu, il était temps d'ouvrir officiellement le bal.
— Mes chers citoyens du Reike, Nobles et dignitaires de notre puissant Empire. Je suis très heureuse de vous retrouver ce soir en ce lieu. Vous vous êtes montrés braves, loyaux et zélés dans les efforts que notre nation déploie pour se rétablir de la guerre. Ce soir, vous avez mérité le droit au plaisir, au rire et à la paix ! Que le Bal commence !
Elle s'éclipse aussi rapidement qu'elle était apparu, laissant sa projection pour revenir dans son corps à la table de jeu. A peine a-t-elle fini sa tirade que l'orchestre entame une musique de danse, beaucoup plus entraînante, et que nombre de convives s'avancent vers l'immense piste du bal.
— Je faisais allusions aux fonds que vous pourriez investir en tant que ministre des finances. Le Reike devrait suivre l'exemple de la République et accorder plus de moyens au développement culturel. Je suis certaine que vous pourrez arranger ça. Cela rapportera à terme au trésor royal et en attendant, un afflux de liquidités pourrait me permettre de faire jouer mon réseau pour, comme vous le proposez, tenter de rétablir des routes commerciales et ainsi consolider les fondations d'une certaine stabilité diplomatique entre les deux nations. Qu'en pensez-vous ?
Profitant que Tagar soit distrait un instant par Gerda, Aurilia tend l'oreille à Brak. Elle détient en effet une piste, mais l'affaire est si particulière qu'elle préfère éviter d'en parler, même en murmure, tant qu'autant de monde se trouve à proximité. L'auteur des faits est peut-être même présent ce soir.
— Je peux peut-être vous aider, valeureux champion, mais la nature particulièrement délicate de cette affaire requiert plus d'intimité. Il y a tant de monde ce soir qu'il vaut mieux nous entretenir à ce sujet un autre moment.
Elle lui tend néanmoins un papier avec quelques notes qui pourraient éventuellement l'aider.
Elle est distraite un instant par le courtier et constate qu'elle vient de perdre une jolie somme, au profit notamment de Tagar qui avait un bon jeu. Elle lui sourit poliment, fait de même à Brak, puis ferme les yeux et se concentre.
— Veuillez m'excuser un instant.
Tout en restant à la table de jeu, elle utilise sa projection astrale pour se matérialiser sur l'estrade où se trouve l'orchestre. Simultanément, fournissant un bel effort, elle utilise discrètement sa manipulation élémentaire des ombres pour masquer et réorienter certaines lumières de façon à capter l'attention. Sa projection astrale est au centre des feux.
Maintenant que les convives avaient le ventre plein et goûtaient au jeu, il était temps d'ouvrir officiellement le bal.
— Mes chers citoyens du Reike, Nobles et dignitaires de notre puissant Empire. Je suis très heureuse de vous retrouver ce soir en ce lieu. Vous vous êtes montrés braves, loyaux et zélés dans les efforts que notre nation déploie pour se rétablir de la guerre. Ce soir, vous avez mérité le droit au plaisir, au rire et à la paix ! Que le Bal commence !
Elle s'éclipse aussi rapidement qu'elle était apparu, laissant sa projection pour revenir dans son corps à la table de jeu. A peine a-t-elle fini sa tirade que l'orchestre entame une musique de danse, beaucoup plus entraînante, et que nombre de convives s'avancent vers l'immense piste du bal.
Partie 2 : La Danse
Vous pouvez continuer ce que vous faisiez mais le bal commence officiellement et de nombreuses personnes se mettent à danser.
Noble du Reike
Tagar Reys

Messages : 1592
crédits : 2225
crédits : 2225
Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
J’ai en face une petite futée, elle refuse de me donner le nom de ses contacts, préférant traiter avec eux directement. C’est de bonne guerre et je lui dis :
Très bien, nous avons donc un accord. Je vais demander à ma secrétaire de prendre rendez-vous avec votre assistant et nous pourrons définir un programme qui puisse développer notre réseau culturel. Je pense pouvoir convaincre le couple Royal d’investir une partie du Trésor Royale dedans, après tout, des œuvres d’art Rékoises sont toujours intéressantes pour développer la fierté d’un pays.
À voir ensuite si cela va permettre de faire rentrer de l’argent, c’est à voir, mais comme aurait mon père, qui ne tente rien, n’a rien. En plus, l’investissement de départ serait relativement minime. Il suffit que leurs œuvres plaisent à des Républicains pour les taxes de ventes rapportent gros. En plus, la jeune femme deviendra mon allié, car elle aura tout intérêt à ce que je garde ma place de Ministre des Finances.
Je me concentre à nouveau sur mon jeu et je suis ravi de voir que j’ai gagné ! Finalement, la soirée se passe plutôt bien et ce n’est pas fini, car Aurilia, grâce à un sortilège assez impressionnant, annonce que le bal à commencer !
Voilà une invitation très intéressante, car j’ai suivi des cours de danse depuis ma tendre enfance, Mère ayant toujours fait attention à ce que je ne lui écrase pas les pieds lors des soirées mondaines auxquelles nous étions invités. J’indique donc à mes partenaires de jeu :
Si vous voulez bien m’excuser.
De plus, je ne suis pas venu pour leur prendre tout leur argent. Je propose donc à Alyssa de me suivre sur la piste ou de nombreux couples sont déjà présent. L’orchestre à commencer par une musique entrainante et j’ai grande envie de guider ma future femme sous les feux de la rampe. Ce n’est pas tous les jours que je peux serrer une aussi belle femme dans mes bras, et si les Astres sont avec moi, j’aurais peut-être même droit à un bisou.
Très bien, nous avons donc un accord. Je vais demander à ma secrétaire de prendre rendez-vous avec votre assistant et nous pourrons définir un programme qui puisse développer notre réseau culturel. Je pense pouvoir convaincre le couple Royal d’investir une partie du Trésor Royale dedans, après tout, des œuvres d’art Rékoises sont toujours intéressantes pour développer la fierté d’un pays.
À voir ensuite si cela va permettre de faire rentrer de l’argent, c’est à voir, mais comme aurait mon père, qui ne tente rien, n’a rien. En plus, l’investissement de départ serait relativement minime. Il suffit que leurs œuvres plaisent à des Républicains pour les taxes de ventes rapportent gros. En plus, la jeune femme deviendra mon allié, car elle aura tout intérêt à ce que je garde ma place de Ministre des Finances.
Je me concentre à nouveau sur mon jeu et je suis ravi de voir que j’ai gagné ! Finalement, la soirée se passe plutôt bien et ce n’est pas fini, car Aurilia, grâce à un sortilège assez impressionnant, annonce que le bal à commencer !
Voilà une invitation très intéressante, car j’ai suivi des cours de danse depuis ma tendre enfance, Mère ayant toujours fait attention à ce que je ne lui écrase pas les pieds lors des soirées mondaines auxquelles nous étions invités. J’indique donc à mes partenaires de jeu :
Si vous voulez bien m’excuser.
De plus, je ne suis pas venu pour leur prendre tout leur argent. Je propose donc à Alyssa de me suivre sur la piste ou de nombreux couples sont déjà présent. L’orchestre à commencer par une musique entrainante et j’ai grande envie de guider ma future femme sous les feux de la rampe. Ce n’est pas tous les jours que je peux serrer une aussi belle femme dans mes bras, et si les Astres sont avec moi, j’aurais peut-être même droit à un bisou.

Citoyen du monde
Eliëndir

Messages : 322
crédits : 1762
crédits : 1762
Le Bal des Ombres

Finalement, il n'aura pas fallu attendre longtemps avant la très brève apparition de la maitresse des lieux sur une estrade surélevée. Les lumières déviants mystérieusement de leurs trajectoires pour venir se concentrer uniquement sur Aurilia et son petit discours. Il faut dire qu'elle a un certain sens du spectacle et c'est assez efficace puisqu'elle n'a visiblement aucun mal à capter l'attention de toute la pièce. Elle disparu aussi vite qu'elle était arrivée d'ailleurs, il reconnaît sans mal une projection astrale. Tout le monde ne peut se vanter d'être capable d'utiliser un pouvoir aussi ingénieux. Quoi qu'il en soit, le bal est officiellement ouvert.
« Vous me disiez être meilleure danseuse que musicienne n'est-ce pas ? J'ai hâte de pouvoir en juger moi-même. M'accorderiez-vous cette danse, mademoiselle Tyvishani ? »
Alors que les premiers couples et partenaires de danses commencent à se rejoindre près de la piste de danse, il lui tend la main en homme galant pour l'inviter à partager ce moment avec lui en ouvrant le bal de la meilleure façon possible.
CENDRES
« Vous me disiez être meilleure danseuse que musicienne n'est-ce pas ? J'ai hâte de pouvoir en juger moi-même. M'accorderiez-vous cette danse, mademoiselle Tyvishani ? »
Alors que les premiers couples et partenaires de danses commencent à se rejoindre près de la piste de danse, il lui tend la main en homme galant pour l'inviter à partager ce moment avec lui en ouvrant le bal de la meilleure façon possible.
CENDRES
Invité
Invité

Tvishani termina également son verre, observant l’elfe faire le tour de la table, son indexe glissant le long du bord du verre en question, produisant un doux son mélodieux. Mais elle arrêta bien vite, attrapant le récipient, elle accepta gracieusement de prendre à nouveau la main d’Eliëndir pour qu’il la guide vers l’opportunité de prendre sa revanche. Elle l’imita, se débarrassant de son verre vide, elle continuerait de jouer avec un plein plus tard. Enfin pas trop plein non plus vu qu’elle ne tenait pas vraiment l’alcool.
« Je ne peux que vous conseiller de faire attention à un excès de confiance ; l’orgueil a été la perte de nombre de grands noms. »
Un avertissement qu’il était bien en droit d’ignorer au vu de sa chance insolente mais il était de notoriété que la fortune était une maîtresse volage et qu’elle risquait d’abandonner ses côtés sans prévenir. Sa main libre posée sur son ventre, au centre de la lune d’argent qui décorait sa robe bleu nuit, elle lançait des œillades aux invités, se demandant qui complotait contre qui et pourquoi. Avec un sourire amusé elle nota dans un coin de son esprit, pour plus tard, qu’essayer de deviner ce genre de choses pourrait faire un jeu au moins intéressant. L’elfe la sortit de sa réflexion et elle tourna la tête vers lui et son regard fut une fois de plus happé par les deux billes d’ambre qui lui servaient d’yeux. Secouant la tête, autant pour reprendre ses esprits que pour l’induire en erreur, la demi-ange prit une poignée de secondes avant de répondre.
« Je n’ai pas eu la chance de passer par Drakstrang. » Commencer par un mensonge n’était peut-être pas forcément très honorable mais vu qu’il n’avait pas gagné une partie de peu importait quoi, elle n’avait aucune obligation de lui dire la vérité. C’était mesquin, certes, mais c’était plus fort qu’elle. « Je n’ai pas été jugée digne d’arpenter les prestigieux couloir de l’université, pour le plus grand bonheur de mon père d’ailleurs pour qui il est inacceptable qu’une femme ne serve dans les armées de l’empire. »
Si c’était plus la position de son oncle que celle de son père, son géniteur, bien qu’il ait une position plus modérée sur le sujet, n’était pas complétement en désaccord. Toutefois une fois devant le fait accompli il n’y avait pas eu grand-chose qu’il avait pu faire.
« Quant à mes autres talents : conservez votre chance et peut-être que vous les découvrirez ce soir. Mais faites également attention à la curiosité, c’est un… » elle fut interrompue par la maîtresse des lieux qui fit une apparition éclatante, ou au contraire sombre vu que les lumières semblent la fuir, qui se lance dans un bref discours. Un discours qu’elle trouvait plus légitime venant d’un dignitaire de l’empire plus que d’une noble qu’elle ne connaissait pas. Mais le bal commençait enfin et, comme Tyvishani s’y attendait, vint avec l’ouverture l’invitation d’Eliëndir. « Vous donner la première danse? »
Elle regarda sa main tendue avec scepticisme, son bras tenant son flanc, le second posé sur le premier, son index sur sa lèvre inférieur alors qu’elle feignait la réflexion.
« Et si quelqu’un m’invitait aussi à danser ? » Elle regarda autour pour voir si une tierce personne voudrait tenter de pimenter la situation en disputant à l’elfe l’honneur d’une première danse
« Je ne peux que vous conseiller de faire attention à un excès de confiance ; l’orgueil a été la perte de nombre de grands noms. »
Un avertissement qu’il était bien en droit d’ignorer au vu de sa chance insolente mais il était de notoriété que la fortune était une maîtresse volage et qu’elle risquait d’abandonner ses côtés sans prévenir. Sa main libre posée sur son ventre, au centre de la lune d’argent qui décorait sa robe bleu nuit, elle lançait des œillades aux invités, se demandant qui complotait contre qui et pourquoi. Avec un sourire amusé elle nota dans un coin de son esprit, pour plus tard, qu’essayer de deviner ce genre de choses pourrait faire un jeu au moins intéressant. L’elfe la sortit de sa réflexion et elle tourna la tête vers lui et son regard fut une fois de plus happé par les deux billes d’ambre qui lui servaient d’yeux. Secouant la tête, autant pour reprendre ses esprits que pour l’induire en erreur, la demi-ange prit une poignée de secondes avant de répondre.
« Je n’ai pas eu la chance de passer par Drakstrang. » Commencer par un mensonge n’était peut-être pas forcément très honorable mais vu qu’il n’avait pas gagné une partie de peu importait quoi, elle n’avait aucune obligation de lui dire la vérité. C’était mesquin, certes, mais c’était plus fort qu’elle. « Je n’ai pas été jugée digne d’arpenter les prestigieux couloir de l’université, pour le plus grand bonheur de mon père d’ailleurs pour qui il est inacceptable qu’une femme ne serve dans les armées de l’empire. »
Si c’était plus la position de son oncle que celle de son père, son géniteur, bien qu’il ait une position plus modérée sur le sujet, n’était pas complétement en désaccord. Toutefois une fois devant le fait accompli il n’y avait pas eu grand-chose qu’il avait pu faire.
« Quant à mes autres talents : conservez votre chance et peut-être que vous les découvrirez ce soir. Mais faites également attention à la curiosité, c’est un… » elle fut interrompue par la maîtresse des lieux qui fit une apparition éclatante, ou au contraire sombre vu que les lumières semblent la fuir, qui se lance dans un bref discours. Un discours qu’elle trouvait plus légitime venant d’un dignitaire de l’empire plus que d’une noble qu’elle ne connaissait pas. Mais le bal commençait enfin et, comme Tyvishani s’y attendait, vint avec l’ouverture l’invitation d’Eliëndir. « Vous donner la première danse? »
Elle regarda sa main tendue avec scepticisme, son bras tenant son flanc, le second posé sur le premier, son index sur sa lèvre inférieur alors qu’elle feignait la réflexion.
« Et si quelqu’un m’invitait aussi à danser ? » Elle regarda autour pour voir si une tierce personne voudrait tenter de pimenter la situation en disputant à l’elfe l’honneur d’une première danse

Noble du Reike
Brak'Trarg

Messages : 214
crédits : 2942
crédits : 2942
Info personnage
Race: Oni/Drakyn
Vocation: Guerrier - Combattant
Alignement: Chaotique Bon
Rang: B - Garde royal
a la table de jeux avec Tagar sa fiancé et dame Aurilia. Brak vit a un moment donen Tagar s'eclipser de la tabel pour aller vers une dame un peut plus loin que Brak'Trarg reconu du coin du neuneuil dame Gerda, une belle surprise que de la voir ici et la seule de la salle à aprt Brak a afficher des expression naturelle sur son visage apperement. Brak aimait beaucoup les pièce d'armure qu'elle avait intégrer a sa robe de soirée et se dit qu'il irait lui parler dès qu'il en aurait l'ocasion. pour le moement Brak se sdevait de ce recentrer sur Dame Aurilia s'apprétant a lui répondre.
Et bien que la réponse ne dut pas tout a fait celle qu'espérait Brak'Trarg , dame Aurélia ne refusa pas de l'aider et lui dit qu'elle pouvait peut être l'aider et lui donna même un papier avec quelque indication mais que ici avec autant de monde lele ne pouvait pas parler ce que Brak comprenait aisément et la remercia d'un hochement de tête. e tlui chuchota rapidement
"Merci je vous écrit rapidement pour demander rendez vous "
une fois cet echenge terminé et tagar revenu en tre temps à la table tous (tagar, sa fiancée , et Brak ) purent voir dame Aurilia faire preuve de grande magie créant un double fantome d'elel meêm sur la scèen et jouant avec l'éclairage pour annonce rle début officiel du grand bal. puis de rvenir auprès d'eux. Tandis que Tagar et sa fiancé s'éclipsait de la tabe ver sla piste de dance vraisemblament, Brak de son coté avant de se relever de la table prit connaissance du papier que lui avait passé Aurilia, iol ne contenait il donnait quelque indications utile. ce n'était pas grand chose mais c'était un début (et surement un bon début se disait par instinct Brak).
saluant poliment de la tête dame AUrilia Brak se leva de la table de jeux a son tour. se trounant vers dame Gerda il lui fit un grand couci de la main avec un souire amical lui indicant que Brak souhaitait lui parler au cas elle le souhaiterait aussi.
Brak observait la piste de dance avec une certaine envie dans les neuneuils il aimerait beaucoup danser avec quelqu'un mais il n'apercevait pour le moment pas de persone de sa tailel ou a peut près mais peut être qu'ion l'inviterait
résumé :
Brak remercie dame Aurilia et se léve de la table a sont tour
Il salue de la la main @gerda lui signifiant que Brak aimerait lui parler
Et bien que la réponse ne dut pas tout a fait celle qu'espérait Brak'Trarg , dame Aurélia ne refusa pas de l'aider et lui dit qu'elle pouvait peut être l'aider et lui donna même un papier avec quelque indication mais que ici avec autant de monde lele ne pouvait pas parler ce que Brak comprenait aisément et la remercia d'un hochement de tête. e tlui chuchota rapidement
"Merci je vous écrit rapidement pour demander rendez vous "
une fois cet echenge terminé et tagar revenu en tre temps à la table tous (tagar, sa fiancée , et Brak ) purent voir dame Aurilia faire preuve de grande magie créant un double fantome d'elel meêm sur la scèen et jouant avec l'éclairage pour annonce rle début officiel du grand bal. puis de rvenir auprès d'eux. Tandis que Tagar et sa fiancé s'éclipsait de la tabe ver sla piste de dance vraisemblament, Brak de son coté avant de se relever de la table prit connaissance du papier que lui avait passé Aurilia, iol ne contenait il donnait quelque indications utile. ce n'était pas grand chose mais c'était un début (et surement un bon début se disait par instinct Brak).
saluant poliment de la tête dame AUrilia Brak se leva de la table de jeux a son tour. se trounant vers dame Gerda il lui fit un grand couci de la main avec un souire amical lui indicant que Brak souhaitait lui parler au cas elle le souhaiterait aussi.
Brak observait la piste de dance avec une certaine envie dans les neuneuils il aimerait beaucoup danser avec quelqu'un mais il n'apercevait pour le moment pas de persone de sa tailel ou a peut près mais peut être qu'ion l'inviterait
résumé :
Brak remercie dame Aurilia et se léve de la table a sont tour
Il salue de la la main @gerda lui signifiant que Brak aimerait lui parler

- voix et thème de Brak'Trarg:
la voix
le thème
- Bric à Brak (inventaire de Brak'Trarg:
ses armes
brise crane
marteau lourd de combat que Brak'Trag utilise tout les jours avec crackpum
crackpum
marteau lourd de combat que Brak'Trarg utilise tout les jours avec brisecrane
marteau titan
marteau lourd que brak porte toujours avec son armure nlourde en justice solide mais utilise moins souvent que ses deux autres fidèles marteaux
titan's slayler
lame en phontacier, épée géante que brak utilise pour les grandes bastons ou face aux groupe d'ennemi a bastoner en corps à corps
ses armures
armure lourde de créature d'élite
armure en justice solide que Brak'Trarg porte habituellement
armure de créature gladiateur
armure de gladiateur de Brak'Trarg quan dil était dan sl'arène et qu'il remet quand il y va en spectateur ou a certaines autre ocasion
armure de guerrier élite Reikois
armure que Brak'Trrag a reçu pour son diplome de guerrier d'élite


Citoyen du Reike
Elia Steren

Messages : 227
crédits : 874
crédits : 874
Elle se déplaçait avec élégance entre les différents groupes de personnes, écoutant les conversations avec un intérêt discret, sans jamais rester plus de quelques instants au même endroit. Sa mère ne lui avait rien dit, mais un simple regard lui avait fait comprendre que tout était bon de son coté. Le bal commençait parfaitement, comme prévu. Elle devait maintenant obtenir quelque chose pour impressionner sa mere, pour lui montrer ses progrés.
Elle attirait tout naturellement le regard de bon nombre d'invités masculins, et de façon souvent plus subtile, de plusieurs femmes, qui avaient tous clairement des idées en tete. Elle fit quelque sourire, derrière son masque, et s'agita pour ne jamais permettre a quiconque d'inutilement ennuyeux de venir lui faire perdre son temps.
Elle fit donc plusieurs petits passages dans différentes pièces, faisant mine d’être perdue alors qu'elle était littéralement chez elle et qu'elle connaissait le dôme par cœur. Aussi, elle savait pertinemment par ou passé pour être le moins visible possible.
Elle se retrouva soudainement proche d'une des tables de jeux que les serviteurs s'occupaient de tenir. Le croupier, un serviteur de la maisonnée qu'elle connaissait bien, croisa son regard sans un mot, avec le talent nécessaire pour la prendre comme une nouvelle arrivante et non pas une connaissance.
A cet instant précis, sa mère prit la parole, annonçant l'ouverture du bal. Fichtre, elle aurait bien fait une partie. Elle était plutôt douée aux cartes et aux bluff, c’était nécessaire dans sa profession. Elle remarqua alors une femme qui, malgré son masque, avait quelques caractéristiques qu'Elia pouvait vaguement reconnaître comme étant une officier de l'Empire. Une bonne premiere cible, d'autant qu'elle donnait l'impression de chercher une sortie.
- Madame.
Elle se plaça juste à coté d'elle, et d'un homme a l'apparence juvénile, aux traits séduisants, qui étaient clairement apte a attirer toute attention féminine sensible a ces ouvrages. Dommage, ce n’était pas le cas de l'espionne qui avait beaucoup plus d’intérêt pour son homologue féminin. Visiblement, il venait de lui proposer une danse, et elle cru comprendre a travers la demande mentale, que cette dernière aurait bien envie d'une porte de sortie.
- Si le bras d'une femme vous sied, je suis également a votre disposition.
Elle lui fit un gentil sourire. Un sourire pour Tyvishani Dynorrin, dont la faculté mentale finissait de parfaire le portrait rejoignant les notes qu'elle avait prit, a l'avance sur tout les invités. Elle tourna la tete vers l'homme, également, et l'inclina gentiment.
- Mais je ne veux pas m'imposer, monsieur..
Elle attirait tout naturellement le regard de bon nombre d'invités masculins, et de façon souvent plus subtile, de plusieurs femmes, qui avaient tous clairement des idées en tete. Elle fit quelque sourire, derrière son masque, et s'agita pour ne jamais permettre a quiconque d'inutilement ennuyeux de venir lui faire perdre son temps.
Elle fit donc plusieurs petits passages dans différentes pièces, faisant mine d’être perdue alors qu'elle était littéralement chez elle et qu'elle connaissait le dôme par cœur. Aussi, elle savait pertinemment par ou passé pour être le moins visible possible.
Elle se retrouva soudainement proche d'une des tables de jeux que les serviteurs s'occupaient de tenir. Le croupier, un serviteur de la maisonnée qu'elle connaissait bien, croisa son regard sans un mot, avec le talent nécessaire pour la prendre comme une nouvelle arrivante et non pas une connaissance.
A cet instant précis, sa mère prit la parole, annonçant l'ouverture du bal. Fichtre, elle aurait bien fait une partie. Elle était plutôt douée aux cartes et aux bluff, c’était nécessaire dans sa profession. Elle remarqua alors une femme qui, malgré son masque, avait quelques caractéristiques qu'Elia pouvait vaguement reconnaître comme étant une officier de l'Empire. Une bonne premiere cible, d'autant qu'elle donnait l'impression de chercher une sortie.
- Madame.
Elle se plaça juste à coté d'elle, et d'un homme a l'apparence juvénile, aux traits séduisants, qui étaient clairement apte a attirer toute attention féminine sensible a ces ouvrages. Dommage, ce n’était pas le cas de l'espionne qui avait beaucoup plus d’intérêt pour son homologue féminin. Visiblement, il venait de lui proposer une danse, et elle cru comprendre a travers la demande mentale, que cette dernière aurait bien envie d'une porte de sortie.
- Si le bras d'une femme vous sied, je suis également a votre disposition.
Elle lui fit un gentil sourire. Un sourire pour Tyvishani Dynorrin, dont la faculté mentale finissait de parfaire le portrait rejoignant les notes qu'elle avait prit, a l'avance sur tout les invités. Elle tourna la tete vers l'homme, également, et l'inclina gentiment.
- Mais je ne veux pas m'imposer, monsieur..

Noble du Reike
Cyradil Ariesvyra

Messages : 178
crédits : 1689
crédits : 1689
Gerda semblait être quelqu’un de relativement joyeuse. Cyradil était surprise de la voir se justifier quant à sa remarque sur son langage. A vrai dire, la jeune blonde disait surtout cela par plaisanterie et pour détendre l’atmosphère. Que cela ait eu l’effet inverse l’amusa en réalité beaucoup et permit d’en savoir un peu plus sur la provenance de son interlocutrice. Melorn était une cité qu’elle avait visité quelques fois et dont certains des aspects l’avaient toujours impressionnée. Si la jeune liche n’avait pas fourré autant ses livres dans les bouquins, sans doute aurait-elle pu accomplir de grandes choses dans la cité des elfes.
« J’aime beaucoup Melorn et l’idée de participer aux concours d’excellence m’a déjà traversé l’esprit quelques fois. Je port beaucoup d’intérêt en ce qui concerne le savoir arcanique mais je suis sans doute encore trop jeune et expérimentée pour ce genre d’épreuves. »
Cyradil riait de bon cœur mais ce n’était pas vraiment une question d’âge qui l’en empêchait mais surtout la perte de la majorité de ses pouvoirs et connaissances d’antan. Certes, son apprentissage était beaucoup plus fulgurant que si elle n’avait jamais pratiqué la magie mais il lui faudra encore certainement des années avant de retrouver son plein potentiel. En attendant, la jeune blonde aspirait simplement à profiter de la nouvelle vie qui s’offrait à elle en faisant en sorte de faire perdurer sa forge et de mettre son talent au service de ceux qui en avaient le plus besoin.
« En effet, pendant de nombreuses années, la forge a soutenu l’effort de guerre en fournissant ce qui se faisait de mieux en terme d’armes et armures. Maintenant que celle-ci est terminée, c’est plutôt des particuliers qui viennent passer commande bien que l’on s’occupe encore du bon entretien des soldats du Reike. »
Malgré la période de paix, ses affaires allaient plutôt bien et la jeune blonde s’était bien stabilisée dans sa nouvelle vie. Elle sourit à la boutade concernant les anneaux bien qu’elle n’ait aucune expérience dans le domaine.
« Je veux bien vous croire sur parole. Je n’ai jamais eu l’occasion d’expérimenter cette torture, comme vous dites, qu’est le mariage. Bonne chance ou malchance, je suppose que c’est une question de point de vue ? »
Cyradil avait d’ailleurs visé juste. Il s’agissait bien de la première participation au bal de la naine. Cela faisait plutôt plaisir de voir quelqu’un d’aussi enthousiasmé et qui réagissait naturellement.
« Et c’est tout à fait dans votre droit de vous enthousiasmer de la sorte. Vous savez, ce genre de festivités sont souvent organisées pour que chacun puisse exposer ses intérêts et de jauger ceux de ces potentiels concurrents. Jeux de pouvoirs, de verbe ou de séduction. Tout est bon pour récolter des informations. Mais je pense que ce que les gens oublient souvent, c’est simplement de s’amuser ! »
La jeune blonde partageait complètement l’enthousiasme de son interlocutrice bien qu’elle gardait une oreille attentive à ce qui se disait ailleurs. Juste au cas où. Tandis que les deux femmes parlaient et pour des raisons évidentes, Cyradil ne vit pas que quelqu’un sollicitait son interlocutrice. Dans tous les cas, la jeune liche ne l’empêcherait pas de s’en aller. Elle n’était de toute façon pas du genre à s’immiscer dans les conversations.
« Je vous souhaite de passer une agréable soirée Gerda et n’oubliez pas d’en profiter un maximum. Je vous promets de passer à votre établissement à l’occasion. »
Si elle avait pu lui faire un clin d’œil, elle l’aurait sans doute fait mais c’était impossible dans la situation actuelle. Si rien ne la retenait alors la forgeronne laisserait Gerda avec son nouvel ami.
« J’aime beaucoup Melorn et l’idée de participer aux concours d’excellence m’a déjà traversé l’esprit quelques fois. Je port beaucoup d’intérêt en ce qui concerne le savoir arcanique mais je suis sans doute encore trop jeune et expérimentée pour ce genre d’épreuves. »
Cyradil riait de bon cœur mais ce n’était pas vraiment une question d’âge qui l’en empêchait mais surtout la perte de la majorité de ses pouvoirs et connaissances d’antan. Certes, son apprentissage était beaucoup plus fulgurant que si elle n’avait jamais pratiqué la magie mais il lui faudra encore certainement des années avant de retrouver son plein potentiel. En attendant, la jeune blonde aspirait simplement à profiter de la nouvelle vie qui s’offrait à elle en faisant en sorte de faire perdurer sa forge et de mettre son talent au service de ceux qui en avaient le plus besoin.
« En effet, pendant de nombreuses années, la forge a soutenu l’effort de guerre en fournissant ce qui se faisait de mieux en terme d’armes et armures. Maintenant que celle-ci est terminée, c’est plutôt des particuliers qui viennent passer commande bien que l’on s’occupe encore du bon entretien des soldats du Reike. »
Malgré la période de paix, ses affaires allaient plutôt bien et la jeune blonde s’était bien stabilisée dans sa nouvelle vie. Elle sourit à la boutade concernant les anneaux bien qu’elle n’ait aucune expérience dans le domaine.
« Je veux bien vous croire sur parole. Je n’ai jamais eu l’occasion d’expérimenter cette torture, comme vous dites, qu’est le mariage. Bonne chance ou malchance, je suppose que c’est une question de point de vue ? »
Cyradil avait d’ailleurs visé juste. Il s’agissait bien de la première participation au bal de la naine. Cela faisait plutôt plaisir de voir quelqu’un d’aussi enthousiasmé et qui réagissait naturellement.
« Et c’est tout à fait dans votre droit de vous enthousiasmer de la sorte. Vous savez, ce genre de festivités sont souvent organisées pour que chacun puisse exposer ses intérêts et de jauger ceux de ces potentiels concurrents. Jeux de pouvoirs, de verbe ou de séduction. Tout est bon pour récolter des informations. Mais je pense que ce que les gens oublient souvent, c’est simplement de s’amuser ! »
La jeune blonde partageait complètement l’enthousiasme de son interlocutrice bien qu’elle gardait une oreille attentive à ce qui se disait ailleurs. Juste au cas où. Tandis que les deux femmes parlaient et pour des raisons évidentes, Cyradil ne vit pas que quelqu’un sollicitait son interlocutrice. Dans tous les cas, la jeune liche ne l’empêcherait pas de s’en aller. Elle n’était de toute façon pas du genre à s’immiscer dans les conversations.
« Je vous souhaite de passer une agréable soirée Gerda et n’oubliez pas d’en profiter un maximum. Je vous promets de passer à votre établissement à l’occasion. »
Si elle avait pu lui faire un clin d’œil, elle l’aurait sans doute fait mais c’était impossible dans la situation actuelle. Si rien ne la retenait alors la forgeronne laisserait Gerda avec son nouvel ami.
- HRP:
- Cyradil continue de discuter avec @Gerda, lui fait part de ses visites passées à Melorn puis lui promet de venir la voir dans son établissement. Si rien ne la retient, elle laissera la naine discuter avec Brak

Citoyen du monde
Eliëndir

Messages : 322
crédits : 1762
crédits : 1762
Le Bal des Ombres

Alors qu'il pensait avoir cerné une partie de la vie de sa partenaire de jeu, sa théorie venait de tomber à l'eau. C'est en tout cas ce que l'ange essayait de lui faire croire à travers un mensonge. C'était de bonne guerre assurément, après toutes ses victoires il avait grappillé du terrain. Il en savait toujours peu et pourtant beaucoup plus qu'elle en savait sur lui. Un jeu, un secret qu'ils partagent et dont ils tirent les ficelles dans les coulisses. A la fois mêlés à la noblesse Reikoise et à la fois bien loin des manigances et des complots de l'empire. Comme une bouffée d'air dans un environnement de vautour. Néanmoins, le fait d'avoir contredit la théorie de l'Elfe lui a fait révéler malgré elle une autre information de taille. Elle était donc membre de l'armée du Reike et au vu de l'intérêt que lui porte certains nobles, elle était certainement assez haut placée. En fait, c'est quelque chose qu'elle avait déjà sous-entendu plus tôt lorsqu'elle mentionna d'avoir combattu contre l'empereur. C'était plutôt comme une confirmation qui ne passa pas dans l'oreille d'un sourd.
« Vraiment ? Vous m'en voyez navré. Dans ce cas, Drakstrang a été bien stupide de passer à côté d'un talent comme le vôtre. Tout comme il est bien dommage que votre père ne réalise pas la chance qu'il a d'avoir une fille aussi charmante et prometteuse. Si un jour il vous vient l'envie d'approfondir vos connaissances en la magie, considérez que mes services sont vôtre. »
Alors qu'il écoutait attentivement son vis-à-vis, c'est à ce moment-là qu'ils se firent effectivement interrompre par la maitresse de maison et qu'il en profita pour inviter sa partenaire. Décidement très joueuse, elle décida de le torturer un peu en feignant son désintéret pour sa galante proposition. Avait-elle encore un peu d'amertume par rapport à ses victoires écrasantes aux cartes ? Peut-être, un constat bien regrettable s'il s'avère vrai. Non, rien d'aussi puéril selon lui. Elle cherche simplement à s'amuser et à jouer avec l'intérêt de l'Elfe ce qui lui arrache un énième sourire, il n'en était pas avare surtout concernant sa plaisante partenaire.
« Ma foi, si quelqu'un vous invitait à danser vous auriez un choix très épineux à faire, mademoiselle Tyvishani. Sachez tout de même que je ne fais pas cet honneur à n'importe qui. Seulement aux rares personnes éveillant suffisament mon intérêt. »
Dit-il sur le ton de l'humour un sourire en coin, quoi qu'il n'en pensait pas moins. L'honneur se devait d'être réciproque. A peine avait-il eut le temps de lui répondre, qu'ils se firent interrompre par une jeune femme aux cheveux bruns à la robe sombre. Séduisante, à sa manière, qui aurait pu attirer son regard dans d'autres circonstances et s'il n'était pas tombé sur plus intéressant ce soir. Difficile de faire mieux que cette beauté angélique qui l'accompagne après tout, il comprenait donc tout naturellement son intérêt même si elle tente de marcher sur ses plates bandes. Le hasard très certainement.
Posant brièvement son regard parme sur cette trouble-fête, il incline tout de même respectueusement sa tête pour la saluer en retour. Se demandant comment elle a pu saisir l'essence de leur conversation dont la moitié se déroule par télépathie. Un grand talent de déduction de toute évidence. La main toujours tendue en direction de l'ange, sa proposition tenant toujours. Reste à savoir pour combien de temps.
« Madame, voilà un mensonge bien peu subtil. Car nous savons tous que c'est exactement ce que vous faites. »
Il sourit davantage en reportant son regard provocateur vers l'ange, véritable sujet de convoitise en ce début de soirée. Il n'était pas tellement contre un peu de concurrence.
« Il semblerait que la décision soit vôtre, mademoiselle. »
Attendant de voir la décision qu'elle prendrait avec un air de défi, se demandant si elle irait jusqu'à lui porter un coup aussi bas maintenant qu'on lui en donne l'opportunité.
CENDRES
« Vraiment ? Vous m'en voyez navré. Dans ce cas, Drakstrang a été bien stupide de passer à côté d'un talent comme le vôtre. Tout comme il est bien dommage que votre père ne réalise pas la chance qu'il a d'avoir une fille aussi charmante et prometteuse. Si un jour il vous vient l'envie d'approfondir vos connaissances en la magie, considérez que mes services sont vôtre. »
Alors qu'il écoutait attentivement son vis-à-vis, c'est à ce moment-là qu'ils se firent effectivement interrompre par la maitresse de maison et qu'il en profita pour inviter sa partenaire. Décidement très joueuse, elle décida de le torturer un peu en feignant son désintéret pour sa galante proposition. Avait-elle encore un peu d'amertume par rapport à ses victoires écrasantes aux cartes ? Peut-être, un constat bien regrettable s'il s'avère vrai. Non, rien d'aussi puéril selon lui. Elle cherche simplement à s'amuser et à jouer avec l'intérêt de l'Elfe ce qui lui arrache un énième sourire, il n'en était pas avare surtout concernant sa plaisante partenaire.
« Ma foi, si quelqu'un vous invitait à danser vous auriez un choix très épineux à faire, mademoiselle Tyvishani. Sachez tout de même que je ne fais pas cet honneur à n'importe qui. Seulement aux rares personnes éveillant suffisament mon intérêt. »
Dit-il sur le ton de l'humour un sourire en coin, quoi qu'il n'en pensait pas moins. L'honneur se devait d'être réciproque. A peine avait-il eut le temps de lui répondre, qu'ils se firent interrompre par une jeune femme aux cheveux bruns à la robe sombre. Séduisante, à sa manière, qui aurait pu attirer son regard dans d'autres circonstances et s'il n'était pas tombé sur plus intéressant ce soir. Difficile de faire mieux que cette beauté angélique qui l'accompagne après tout, il comprenait donc tout naturellement son intérêt même si elle tente de marcher sur ses plates bandes. Le hasard très certainement.
Posant brièvement son regard parme sur cette trouble-fête, il incline tout de même respectueusement sa tête pour la saluer en retour. Se demandant comment elle a pu saisir l'essence de leur conversation dont la moitié se déroule par télépathie. Un grand talent de déduction de toute évidence. La main toujours tendue en direction de l'ange, sa proposition tenant toujours. Reste à savoir pour combien de temps.
« Madame, voilà un mensonge bien peu subtil. Car nous savons tous que c'est exactement ce que vous faites. »
Il sourit davantage en reportant son regard provocateur vers l'ange, véritable sujet de convoitise en ce début de soirée. Il n'était pas tellement contre un peu de concurrence.
« Il semblerait que la décision soit vôtre, mademoiselle. »
Attendant de voir la décision qu'elle prendrait avec un air de défi, se demandant si elle irait jusqu'à lui porter un coup aussi bas maintenant qu'on lui en donne l'opportunité.
CENDRES


Invité
Invité

Approfondir ses connaissances de la magie sonnait comme une bonne chose à faire, si obtenir plus de connaissance sur n’importe quel sujet était toujours bienvenu, c’était d’autant plus le cas pour les arcanes que Tyvishani appréciait tant. Elle ne manquerait pas de faire appel au mage, pour peu qu’il soit bel et bien mage vu que pour le moment elle n’en avait pas eu la preuve. Elle l’avait vu comme une poignée de chose mais pas un mage. La réponse de l’elfe arracha un gloussement à la demi-ange.
« Et moi qui ait tant de mal à faire un choix ! » Se lamenta-t-elle dans un soupir, imaginant pourtant avec délice une pareille éventualité.
Elle se doutait bien qu’il ne donnait pas cet honneur à n’importe qui mais il devait se sentir déjà bien assez important après ses victoires, elle ne voulait pas non plus trop gonfler son égo. Son souhait fut exhaussé lorsqu’apparu une jeune femme à ses côtés pour lui proposer une danse. Reculant d’un pas, restant toujours à portée de bras des deux danseurs potentiels. Elle lança un regard amusé à Eliëndir qui n’était pas sans rappeler celui que l’elfe avait à la table lorsqu’il venait de remporter une manche.
« Je devrais compter sur vous pour assurer la partie masculine de la danse alors. » Glissa-t-elle dans l’esprit de la nouvelle venue.
Ce qui devait probablement être évident mais elle savait que mieux valait préciser même ce qui semblait couler de source. Mais plus que la seconde invitation à danser, ce fut la réaction de l’elfe qui fit jubiler Tyvishani. Regardant l’une puis l’autre, elle se devait de trouver un moyen de les départager sans paraître arbitraire mais heureusement elle avait la solution toute trouvée. Elle ne voulait pas qu’il la pense mauvaise perdante au point de lui refuser une danse.
« Vu que je suis devant un dilemme je ne vois qu’un moyen de déterminer avec qui je danserais en premier. » Commença-t-elle dans la tête de l’un avant de répéter dans celle de l’autre. « Ce soir c’est mon anniversaire, vous avez trois secondes pour me proposer un cadeau. »
Elle leva sa dextre, son pouce, son index et son majeur étaient dressés tandis que l’annulaire et l’auriculaire étaient repliés. Elle regarda l’elfe puis l’humaine dans les yeux avant de commencer à ramener un doigt vers sa paume, puis deux et enfin le troisième s’en alla retrouver ses comparses.
« Et moi qui ait tant de mal à faire un choix ! » Se lamenta-t-elle dans un soupir, imaginant pourtant avec délice une pareille éventualité.
Elle se doutait bien qu’il ne donnait pas cet honneur à n’importe qui mais il devait se sentir déjà bien assez important après ses victoires, elle ne voulait pas non plus trop gonfler son égo. Son souhait fut exhaussé lorsqu’apparu une jeune femme à ses côtés pour lui proposer une danse. Reculant d’un pas, restant toujours à portée de bras des deux danseurs potentiels. Elle lança un regard amusé à Eliëndir qui n’était pas sans rappeler celui que l’elfe avait à la table lorsqu’il venait de remporter une manche.
« Je devrais compter sur vous pour assurer la partie masculine de la danse alors. » Glissa-t-elle dans l’esprit de la nouvelle venue.
Ce qui devait probablement être évident mais elle savait que mieux valait préciser même ce qui semblait couler de source. Mais plus que la seconde invitation à danser, ce fut la réaction de l’elfe qui fit jubiler Tyvishani. Regardant l’une puis l’autre, elle se devait de trouver un moyen de les départager sans paraître arbitraire mais heureusement elle avait la solution toute trouvée. Elle ne voulait pas qu’il la pense mauvaise perdante au point de lui refuser une danse.
« Vu que je suis devant un dilemme je ne vois qu’un moyen de déterminer avec qui je danserais en premier. » Commença-t-elle dans la tête de l’un avant de répéter dans celle de l’autre. « Ce soir c’est mon anniversaire, vous avez trois secondes pour me proposer un cadeau. »
Elle leva sa dextre, son pouce, son index et son majeur étaient dressés tandis que l’annulaire et l’auriculaire étaient repliés. Elle regarda l’elfe puis l’humaine dans les yeux avant de commencer à ramener un doigt vers sa paume, puis deux et enfin le troisième s’en alla retrouver ses comparses.

Citoyen du Reike
Elia Steren

Messages : 227
crédits : 874
crédits : 874
Elia remarqua aussitôt le petit manège de la semi-ange, et surtout, la réaction de l'elfe. Visiblement, les paroles de Tivyshani n'avaient pas était audible par lui, et il pensait qu'elle s’était arbitrairement interposé entre eux, alors qu'Elia avait simplement répondue a l'appel de l'esprit de l'ailée. Un moyen de le rendre jaloux, ou bien un véritable appel a l'aide, elle ne savait pas vraiment le dire, mais elle semblait chercher une excuse pour s'échapper de sa prise.
- Oh, en effet je dois l'avouer, je me languissait d'obtenir la première danse de votre beauté, madame.
Elle entrait aussitôt dans son jeu. Cela ne dérangeait absolument pas « Eryah Syle » de servir de faire valoir et de s'attirer certaine foudre. L'homme pouvait sourire autant qu'il voulait, il y avait un pincement d'agacement dans son attitude qui trahissait le fait de ne pas obtenir le bras voulu aussi rapidement que ce qu'il avait escompté.
Mais il voulait se battre, visiblement, et maintenant qu'elle avait accepté de rentrer dans la danse, elle ne pouvait plus partir sans risquer de perdre la face, en vue de prochaine rencontre, si jamais le bruit qu'elle baisse rapidement les bras s'ébruitaient dans la soirée. Les forts attirent les forts, une faible finirait seule dans un coin de la grande salle.
Elle eu un sourire amusé a la phrase mentale, songeant a la différence entre leur taille, leur gabarit. Tyvishani faisait aisément une tête et demi de plus que l'humaine, et probablement une vingtaine de kilo, proportionnellement a la différence de gabarit. Elle aurait sans doute était plus a même de diriger une danse de manière masculine.
Mais prendre ce rôle n’était aucunement un soucis pour elle. Elle ne marqua pas vraiment de réaction, ne voulant pas faire comprendre qu'un dialogue mental avait lieu entre elles, et songea qu'elle était peut être aussi le dindon de la farce. Elle n'avait aucune preuve qu'un dialogue similaire n'avait pas cours actuellement entre ses deux interlocuteurs.
- Oh, joyeux anniversaire ma dame. C'est donc une soirée doublement joyeuse.
Elle le croyait difficilement, cependant, mais après tout pourquoi pas ? Elle jeta un regard vers l'elfe, qui devait être doué pour ça. Il était plutôt beau parleur, et avait sans aucun doute des cartes a envoyer pour prendre le dessus dans un duel de présent. Elle décida donc de la jouer plus finement, mettant en place la carte de la modestie, pour que cela soit plus quitte ou double.
- Je ne suis qu'une modeste fille de marchant. Je doute de pouvoir rivaliser avec la grandeur d'esprits et de goût de monsieur, qui aura probablement de belles propositions a vous offrir. Mais si jamais, je possède dans mon inventaire quelques objets dont le don pourrait vous intéresser, afin de commémorer cette belle journée de fête.
C’était un semi-mensonge, elle avait sans doute des objets intéressant, dans la tour juste au dessus du dôme, qui leur servait de maison, mais de toute manière, elle doutait que c’était vraiment l'objet qui intéressait l'officier du Reike. Plutôt le trait d'esprit. Sa proposition lui donnait l'opportunité d'avoir une excuse pour accepter la danse. Pour « discuter » de ce cadeau. Elle ajouta également, de façon plus filoute.
- Je suis déjà venue ici pour un dîner. Madame nous avait offert l'honneur de me faire visiter cet incroyable lieu, à moi et ma famille. Elle semble très occupée avec autant d'invités. Mais je pourrais essayer de la remplacer pour vous faire un tour un peu exhaustif des environs.
C’était d'avantage la réalité. Il n'y avait personne dans toute la ville capable de mieux guider quelqu'un ici qu'elle. A part Aurilia, bien sur.
- Oh, en effet je dois l'avouer, je me languissait d'obtenir la première danse de votre beauté, madame.
Elle entrait aussitôt dans son jeu. Cela ne dérangeait absolument pas « Eryah Syle » de servir de faire valoir et de s'attirer certaine foudre. L'homme pouvait sourire autant qu'il voulait, il y avait un pincement d'agacement dans son attitude qui trahissait le fait de ne pas obtenir le bras voulu aussi rapidement que ce qu'il avait escompté.
Mais il voulait se battre, visiblement, et maintenant qu'elle avait accepté de rentrer dans la danse, elle ne pouvait plus partir sans risquer de perdre la face, en vue de prochaine rencontre, si jamais le bruit qu'elle baisse rapidement les bras s'ébruitaient dans la soirée. Les forts attirent les forts, une faible finirait seule dans un coin de la grande salle.
Elle eu un sourire amusé a la phrase mentale, songeant a la différence entre leur taille, leur gabarit. Tyvishani faisait aisément une tête et demi de plus que l'humaine, et probablement une vingtaine de kilo, proportionnellement a la différence de gabarit. Elle aurait sans doute était plus a même de diriger une danse de manière masculine.
Mais prendre ce rôle n’était aucunement un soucis pour elle. Elle ne marqua pas vraiment de réaction, ne voulant pas faire comprendre qu'un dialogue mental avait lieu entre elles, et songea qu'elle était peut être aussi le dindon de la farce. Elle n'avait aucune preuve qu'un dialogue similaire n'avait pas cours actuellement entre ses deux interlocuteurs.
- Oh, joyeux anniversaire ma dame. C'est donc une soirée doublement joyeuse.
Elle le croyait difficilement, cependant, mais après tout pourquoi pas ? Elle jeta un regard vers l'elfe, qui devait être doué pour ça. Il était plutôt beau parleur, et avait sans aucun doute des cartes a envoyer pour prendre le dessus dans un duel de présent. Elle décida donc de la jouer plus finement, mettant en place la carte de la modestie, pour que cela soit plus quitte ou double.
- Je ne suis qu'une modeste fille de marchant. Je doute de pouvoir rivaliser avec la grandeur d'esprits et de goût de monsieur, qui aura probablement de belles propositions a vous offrir. Mais si jamais, je possède dans mon inventaire quelques objets dont le don pourrait vous intéresser, afin de commémorer cette belle journée de fête.
C’était un semi-mensonge, elle avait sans doute des objets intéressant, dans la tour juste au dessus du dôme, qui leur servait de maison, mais de toute manière, elle doutait que c’était vraiment l'objet qui intéressait l'officier du Reike. Plutôt le trait d'esprit. Sa proposition lui donnait l'opportunité d'avoir une excuse pour accepter la danse. Pour « discuter » de ce cadeau. Elle ajouta également, de façon plus filoute.
- Je suis déjà venue ici pour un dîner. Madame nous avait offert l'honneur de me faire visiter cet incroyable lieu, à moi et ma famille. Elle semble très occupée avec autant d'invités. Mais je pourrais essayer de la remplacer pour vous faire un tour un peu exhaustif des environs.
C’était d'avantage la réalité. Il n'y avait personne dans toute la ville capable de mieux guider quelqu'un ici qu'elle. A part Aurilia, bien sur.

Citoyen du monde
Eliëndir

Messages : 322
crédits : 1762
crédits : 1762
Le Bal des Ombres

Il abaisse légèrement la main puisque la scène semble s'éterniser plus que nécessaire au plus grand plaisir de sa partenaire de jeu. L'ange semblait exulter face à cette situation qui tombait à pic pour elle, c'était de bonne guerre et puis si elle ne rendait pas les coups façon de parler, ça ne serait pas aussi amusant. Quelle aubaine qu'un faire valoir se présente à cet instant pour tenter lui contester l'intérêt de l'ange, il lui faut maintenant faire avec. Néanmoins, quel dommage que tout ceci semble se transformer en un simple concours de qui a la plus grosse pour vulgarisé un petit peu la chose. C'est sûrement ce qui l'ennui le plus sur le moment, perdant légèrement de son intérêt à l'image d'un petit soupire discret qu'il camoufle parfaitement. Mais hors de question de s'avouer vaincu pour si peu.
En homme galant, il laisse son indésirable concurrente la priorité à la parole. Si ça lui chante, il n'en avait que faire honnêtement et ça lui permettrait de rebondir au tac au tac en bon orateur. Il ne peut d'ailleurs s'empêcher d'esquisser un petit sourire moqueur pendant son allocution. Bien sûr, il faut toujours laisser le bénéfice du doute dans ce genre de cas mais il fallait avouer que la présence non pas d'un marchand à la réputation quelconque mais bien de sa fille était vraiment très improbable dans une cérémonie comme celle-ci. Une brebis au milieu des vautours donc. A d'autre, elle tenait plus du charognard que de l'animal inoffensif mais il se gardera bien ce genre de pensée. Au moins elle avait réussi à lui arracher un semblant d'amusement pendant une seconde.
« Ma foi, madame avait des choses à dire visiblement. Il aurait été bien malvenu de ma part de profiter de ces trois secondes au risque de couper et d'interrompre cette généreuse proposition qui vous est faites. Ne sachant pas si elle arriverait finalement à son terme, j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur. »
Un petit trait d'humour bien senti qu'il accompagne d'un sourire dont il a le secret pour s'attirer la sympathie de son auditoire. Lui qui était étrangement si honnête depuis le début du bal, le mensonge semblait être l'arme de prédilection de la petite noblesse en ce lieu. Alors il décida de s'en amuser à son tour, de manière bien plus modéré et toujours sur un ton volontairement humoristique en prenant un temps de parole au moins aussi conséquent.
« Malheureusement, il semblerait que je n'ai jamais eu l'honneur de venir dîner ici par le passé. Je doute pouvoir rivaliser avec le sens de l'orientation de madame, quoi que découvrir ce magnifique lieu pièce par pièce devrait tout à fait être dans mes cordes, je me ferais un plaisir de vous accompagner si vous le souhaitez. Je ne suis qu'un voyageur de passage dans la capitale de l'empire, je ne saurais vous proposer les services de mon immense inventaire qui ne se résume uniquement qu'à mes affaires personnelles malheureusement. »
Soupirant faussement, il relève le menton pour revenir capter les deux rubis qui ornent le visage de l'ange derrière son masque. Loin de se laisser abattre par de la fausse modestie, il était sûr de ce qu'il pouvait offrir à qui accepterait de saisir cette chance.
« Néanmoins, un des avantages d'avoir arpenté le monde pendant mes quelques siècles d'existences sont bien sûr les connaissances que j'ai eu l'opportunité d'accumuler dans mes différentes vies. Je pense qu'après quelques années passé au sein de l'Académie de Melorn, à la fois en tant qu'étudiant et en tant que professeur, je suis tout à fait apte à partager mon savoir dans les arcanes de la magie. Un domaine dont j'ai fais ma prédilection au cours des décennies. Des connaissances dans le domaine de la magie que, ce n'est un secret pour personne, convoite jalousement Drakstrang notamment et que vous ne trouverez aucunement dans la réserve d'un marchand quelconque. »
Il ne serait en rien arrogant de supposer qu'il y avait très peu de mage présent ce soir aussi compétent que lui dans son domaine. Voir même au sein de la ville tout entière, si encore ils étaient à Liberty le constat serait moins simple. La vérité était évidente et il décide d'ailleurs d'en dévoiler un peu plus sur lui pour appuyer ses propos sans devoir passer par un vil mensonge. Il ne fait que dire la vérité tout du long, bien que s'il avait menti il serait difficile d'y voir la différence.
« Si appofondir votre savoir dans le domaine de la magie vous intéresse, alors je pense pouvoir en faire un présent unique plus que convenable pour célébrer votre anniversaire. En gage de ma sympathie pour vous, mademoiselle Tyvishani. »
Il allait sans dire, qu'une telle proposition ne se représentera sûrement pas deux fois à l'avenir. De passage au sein de l'empire, il ne comptait pas y rester plus que nécessaire à moins d'avoir une bonne raison à cela.
CENDRES
En homme galant, il laisse son indésirable concurrente la priorité à la parole. Si ça lui chante, il n'en avait que faire honnêtement et ça lui permettrait de rebondir au tac au tac en bon orateur. Il ne peut d'ailleurs s'empêcher d'esquisser un petit sourire moqueur pendant son allocution. Bien sûr, il faut toujours laisser le bénéfice du doute dans ce genre de cas mais il fallait avouer que la présence non pas d'un marchand à la réputation quelconque mais bien de sa fille était vraiment très improbable dans une cérémonie comme celle-ci. Une brebis au milieu des vautours donc. A d'autre, elle tenait plus du charognard que de l'animal inoffensif mais il se gardera bien ce genre de pensée. Au moins elle avait réussi à lui arracher un semblant d'amusement pendant une seconde.
« Ma foi, madame avait des choses à dire visiblement. Il aurait été bien malvenu de ma part de profiter de ces trois secondes au risque de couper et d'interrompre cette généreuse proposition qui vous est faites. Ne sachant pas si elle arriverait finalement à son terme, j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur. »
Un petit trait d'humour bien senti qu'il accompagne d'un sourire dont il a le secret pour s'attirer la sympathie de son auditoire. Lui qui était étrangement si honnête depuis le début du bal, le mensonge semblait être l'arme de prédilection de la petite noblesse en ce lieu. Alors il décida de s'en amuser à son tour, de manière bien plus modéré et toujours sur un ton volontairement humoristique en prenant un temps de parole au moins aussi conséquent.
« Malheureusement, il semblerait que je n'ai jamais eu l'honneur de venir dîner ici par le passé. Je doute pouvoir rivaliser avec le sens de l'orientation de madame, quoi que découvrir ce magnifique lieu pièce par pièce devrait tout à fait être dans mes cordes, je me ferais un plaisir de vous accompagner si vous le souhaitez. Je ne suis qu'un voyageur de passage dans la capitale de l'empire, je ne saurais vous proposer les services de mon immense inventaire qui ne se résume uniquement qu'à mes affaires personnelles malheureusement. »
Soupirant faussement, il relève le menton pour revenir capter les deux rubis qui ornent le visage de l'ange derrière son masque. Loin de se laisser abattre par de la fausse modestie, il était sûr de ce qu'il pouvait offrir à qui accepterait de saisir cette chance.
« Néanmoins, un des avantages d'avoir arpenté le monde pendant mes quelques siècles d'existences sont bien sûr les connaissances que j'ai eu l'opportunité d'accumuler dans mes différentes vies. Je pense qu'après quelques années passé au sein de l'Académie de Melorn, à la fois en tant qu'étudiant et en tant que professeur, je suis tout à fait apte à partager mon savoir dans les arcanes de la magie. Un domaine dont j'ai fais ma prédilection au cours des décennies. Des connaissances dans le domaine de la magie que, ce n'est un secret pour personne, convoite jalousement Drakstrang notamment et que vous ne trouverez aucunement dans la réserve d'un marchand quelconque. »
Il ne serait en rien arrogant de supposer qu'il y avait très peu de mage présent ce soir aussi compétent que lui dans son domaine. Voir même au sein de la ville tout entière, si encore ils étaient à Liberty le constat serait moins simple. La vérité était évidente et il décide d'ailleurs d'en dévoiler un peu plus sur lui pour appuyer ses propos sans devoir passer par un vil mensonge. Il ne fait que dire la vérité tout du long, bien que s'il avait menti il serait difficile d'y voir la différence.
« Si appofondir votre savoir dans le domaine de la magie vous intéresse, alors je pense pouvoir en faire un présent unique plus que convenable pour célébrer votre anniversaire. En gage de ma sympathie pour vous, mademoiselle Tyvishani. »
Il allait sans dire, qu'une telle proposition ne se représentera sûrement pas deux fois à l'avenir. De passage au sein de l'empire, il ne comptait pas y rester plus que nécessaire à moins d'avoir une bonne raison à cela.
CENDRES
Page 3 sur 5 •
1, 2, 3, 4, 5 


Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum