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  • Jeu 1 Déc - 13:20
    Pelerinage de

    J'erre dans ce désert depuis ce matin, je me demande comment les vampires peuvent être attiré par le Reike. Le soleil ne laisse aucune chance à la moindre parcelle de peau que je pourrais laisser dépasser de ma tenue. Heureusement, avant, j'ai eu le temps de l’équipe avant que ses sauvages de gardes ne me jettent en dehors d'Ikusa.

    Les Reikois n'ont pas l'air très à l'aise avec les réfugiés de Shoumei qui ne souhaitent pas rejoindre leur armée ou c'est le fait d'avoir brisé le nez de leur chef de patrouille. Toujours recouvert pas ma tenue grise à col haut, ma cape et ma capuche sont d'habitude suffisant pour me protéger de mon nouvel ennemi. Je m'attendais à devoir faire mieux pour résister au Reike, heureusement, j'ai réussi à me procurer un simple masque de bois qui ne devrait pas manquer a son propriétaire, enfin pas tout de suite.

    Visuel Masque:


    J'avance tranquillement sous ce soleil de plomb, sans être plus dérangé que cela par la chaleur écrasante, il y a une époque où elle m'aurait coupé la respiration, attaquer ma résistance physique et peut être mentale, mais aujourd'hui elle ne fait qu’user mon énergie plus rapidement que d'habitude. Je sens déjà la faim me tirailler le corps. Je commence à grimper une dune qui ressemble à toutes les autres, mon instinct me souffle que je pourrais me nourrir de l'autre côté, je souris, puis déchante en découvrant ce qui me fait face. Un camp de pillards, d’au moins deux dizaines de personnes visibles, il y a quelques hommes qui font des rondes, toujours par petit groupe. Bien sûr il n’y aucun abri à proximité, cette position a l'avantage d'être discrète, le camp n'étant pas visible de très loin, mais leur champ de vision est aussi limité.

    Pour le moment, je ne pense pas pouvoir m'occuper d'un groupe assez discrètement pour pouvoir de nourrir tranquillement et j'aimerais ne pas révéler l'existence d'un vampire dans les parages. Les humains ont tendance à chasser ce qui les dépasse sans chercher beaucoup d'arguments. Je n'ai plus qu'à attendre la nuit même si la journée ne fait que commencer. Je lâche le sac contenant le peu d'affaire qu'il me reste et m'assois en tailleur, décalant mon fourreau dorsal pour qu’il ne se plante pas dans le sable. Je referme bien les pans de ma cape autour de moi.

    Je ferme les yeux, patiente, me concentrant sur mes sens. La faim prenait le contrôle petit à petit, les modifiants au fur et à mesure qu'elle grandissait. Une brise souffle timidement, juste assez forte pour faire bouger les bords de ma capuche, mais transportant une odeur subtile qui attire mon attention. Je ne sais pas combien de temps, je suis resté les yeux clos, le temps n'ayant plus réellement d'importance, mais ma vision a changé de teinte. Les couleurs chaudes du désert se sont atténuées en nuance de gris, il n’y a que les pillards qui apparaissent comme des petites taches de couleur. Mon regard se porte en contresens de cette petite brise pour essayer d'identifier l'origine de l’odeur. Il n’y a qu'un petit nuage de sable dans les airs, peut être créer par un groupe en déplacement. J’ai le temps d'aller voir ça de plus près, peut-être que trouverais ce que je cherche.

    Je me lève secouant ma cape pour enlever le sable qui avait commencé à la recouvrir. Je jette mon sac sur mon épaule et commence à me diriger vers le petit nuage de sable. Et quelle surprise, si je m'attendais sur un convoi d’orc, une idée me traverse l'esprit, mais j'espère qu'ils cherchent des ressources ou au moins une occasion de se battre. Je m’élance dans la descente pour les rejoindre, je réussis difficilement à maintenir mon équilibre, emporté par la vitesse et le sable.

    Je me plante devant le convoi en écartant les bras, ouvrant ma cape et dévoilant le fourreau unique de ma paire d'épées courte, mais ne laissant pas apercevoir mon épée dorsale toujours cachée.


    - Je dois parler à votre chef.

    Une pensée me traverse l'esprit et 'j'espère que la prochaine chose qui le fera ne sera pas une flèche. Je sens un sourire naitre derrière ce masque de bois, aujourd'hui je mange ou je me fais manger.


    CENDRES


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  • Ven 16 Déc - 12:53
    Après les évènements de la Dune Sanglante, la Horde de Razaäl a été scindé en plusieurs groupuscules. La Horde n’étant jamais arrivé en intégralité au lieu de rendez vous, le chef de guerre avait donc prit la peine de partir à la recherche des siens.

    Au côté d’une petite troupe, il arpenta le désert en quête de trace. Puis vint une silhouette. Se tenant devant eux, un homme écarta les bras, les incitant à s’arrêter. La troupe fut immédiatement sur ses gardes.
    L’homme masqué demanda à voir l’orc pâle qui déambulait au milieu des siens. Ce dernier ôta le foulard qui le protégeait du soleil pour se montrer à la vue de l’étranger.

    -Qui es tu étranger ? Es tu de la tribu de « l’Empire du Reike » ? Est-ce Parle Acier qui t’envoie nous jeter un quelconque maléfice ?

    Les orcs reniflaient. Il y avait quelque chose chez cet homme qui n’avait rien de rassurant. Il sentait la mort. La troupe de guerre parraissait curieuse pour des yeux extérieurs. En effet les orcs avaient délaissé le metal de leur armure pour des tenues faites de cuir et de haillons.

    -Chef, il sait peut être ou sont les autres… Tranchons lui la main pour le faire parler.

    Des grognements se faisaient entendre ici et là. Les guerriers étaient fatigués et leur patience commençait à s’éffriter. La disparition de leur proche avait été un coup plus violent qu’un marteau de guerre en plein visage.

    Les guerriers commençaient à s’avancer lentement vers l’étranger et Razaäl ne semblait pas y voir d’inconvénient . Nul doute que cet homme allait devoir rapidement faire quelque chose. De son unique main, le chef de guerre attrapa son gourdin.

    -Il n’est peut être pas seul. C’est sans doute une embuscade...
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  • Lun 2 Jan - 14:34
    Bon le premier bon point et que je n’ai pas eu de flèches à esquiver. Un grand orc pâle semi-manchot s’avance e se découvrant le visage. Je ne peux m’empêcher de grimacer, il va falloir que je lui rende la pareille si je ne veux pas le vexer, et vexer un chef orc n’est pas bon pour mon espérance de non-vie. Je fais un signe magique discret de ma main droite camouflé l’ombre de ma cape, lançant un sort d’illusion en m’approchant des orcs. Je lève mes mains jusqu’à ma capuche pour simuler son retrait, l’illusion se lance sur ma capuche qui tombe et le retrait de mon masque, dévoilant mon visage. Je plisse les yeux comme si la nouvelle luminosité atteignait réellement mes yeux.

    J’éclate de rire quand il me demande si je suis du Reike, le seul endroit ou l’empire me laisserait une place serait en cellule.


    - Je suis le Bar… Anno Eskiath, tout simplement Anno. Je ne fais pas partie de cet Empire du Reike. Nous ne sommes pas vraiment en bon terme. Pour ce Parle Acier, je ne le connais pas.

    Les orcs essaye de déterminer quelque chose en reniflant, quelque chose ne leur va pas. Peut-être moi, sûrement d’ailleurs. Ce ne serait pas étonnant qu’il me trouve quelque chose, même sans un odorat surdévelopper, j’arrive à séparer les races des individus, comme un humain arrive à différence l’odeur d’un poulet à celui d’un bœuf.

    Un des orc prend la parole pour émettre une idée qui me déplaît fortement. Les autres acquiescent d’un grognement général avant de s’avancer vers moi. Leur chef s’arme de son seul bras valide et marmonne quelque chose.


    - Hé ! On se calme. Je tiens à mes mains et je n’ai pas vu d’autre Orc dans les parages. Par contre, il y a un petit camp de pillard derrière la colline qui doit en savoir plus.

    J’espère que l’orc aura la curiosité d’aller voir ce camp, leur aide sera précieuse pour liquider le camp et que je puisse me nourrir. Sinon il va falloir être encore plus convaincant.

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  • Dim 8 Jan - 20:38
    L’orc pâle siffla brièvement. Les guerriers s’arrêtèrent. Cet étranger semblait en savoir un peu plus qu’eux sur les environs.
    Que faire ? Cela pouvait être un piège mais en même temps, avait il le choix ? C’était la seule piste qu’ils avaient.

    Rengaisant son arme, l’orc poussa les siens pour venir faire face à ce Anno. Il se pencha vers lui, le reniflant brièvement. Ce type avait quelque chose qui n’allait pas.

    -Et bien Anno, fils d’Eskiath, tu vas nous conduire à ce camp. Si tu as dis vrais, nous te laisserons prendre l’or de ces vauriens. Mais si tu as menti, nous te démembrerons avant de te laisser pourir sous le soleil aride du désert.

    Grognant légèrement, le chef de guerre se redressa. Un esprit avertit pouvait aisément voir que quelque chose n’allait pas. Les orcs présent ici avaient beau être fatigué par leur errance évidente, ils n’en demeuraient pas moins de solides guerriers, taillés par les combats passés. Mais là… La peur avait fait son nid dans leur esprit et cette peur apparaissait petit à petit sur leur figure soucieuse.

    La troupe se mit en route en suivant le vagabond. Certains orcs l’intimèrent de presser le pas. Cela faisait un moment que le vent soufflait mais là, il se montra un peu plus violent, faisant onduler les dunes. Le désert lui même semblait se mouvoir. Il fallait faire vite car une tempête approchée.
    Tandis qu’ils continuaient d’avancer, un des orcs prit la parôle.

    -Les esprits sont contre nous, Mak’Lakal. Nous devrions rentrer avant de perdre d’autres compagnon.

    L’orc pâle grogna. Depuis la Dune Sanglante, il n’avait plus l’intégralité de la confiance de ses hommes. Les tribus orcques étaient semblable à certaines peuplades archaïques. Lorsque le chef du clan apportait prospérité durant la paix et victoire durant la guerre, c’était qu’il était béni par les esprits. Mais si par malheur il venait à obtenir beaucoup trop d’infortune quant à ses choix pour le clan, c’était que les esprits l’avaient abanonné, ou pire, que le Mal le frappait.
    Si Razaäl n’apportait pas une victoire au clan, il ne faudrait pas bien longtemps pour que son autorité soit remise en doute. Et si telle était le cas, le clan imploserait avant d’avoir eut un nouveau chef. La perte de son titre n’éffrayé pas l’orc, il avait vaicu en paria quasiment toute sa vie. Ce qui l’éffrayait, c’était de voir les siens périr avant d’avoir pu être mit en sécurité.

    -On continue...
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  • Jeu 12 Jan - 16:34

    Pour l'instant, tout va bien. Le chef a fait le choix de me faire confiance, le châtiment qu'il me promet en cas de mensonge et sûrement la prie des tortures que l'on pourrait me faire subir, mais ça il ne le sait pas. Je termine mon illusion sur le faite de remettre ma capuche et mon masque de bois. Leur groupe à a l'air assez mal en point, leur chef aurait bien besoin d'une victoire, même si je n'irais pas lui dire, sa victoire peut très bien être ma tête.

    Quand le vent se lève, je ne peux m'empêcher de sourire, cela camouflera notre approche. Les orcs eux ne peuvent s'empêcher de se mettent à grogner, allant jusqu'à craindre les esprits. Leur chef se mit à réfléchir avant de leur lancer de continuer. Je me laisse rattraper par l'orc pâle pour finir à son niveau.

    - Vous savez, je ne comprends pas tout à vos traditions, ais de mon point de vue, nous sommes aidés par ce vent et le sable qu'il lève. Nous pourrons approcher du camp sans être vu, gardant nos forces pour la bataille.

    Je laisse mes paroles agir quelques instants, j'espère juste ne pas contrarier leur chef avec une idée de "lâche". Nous continuons le chemin, traversant les quelques dunes que j'avais parcouru avant de tomber sur les orcs jusqu'à atteindre la plus grande, la dernière avant le camp.

    -Le camp est dans le bas de cette dune, nous pourrons nous abriter une fois que nous l'aurons nettoyé. Vous voulez vous organiser comment, sachant qu'il n'y a que quelques soldats qui font des rondes, le reste étaient à l'abri du soleil dans les tentes.

    Je m'arrête quelques instants avant de reprendre.

    -D'ailleurs, vous ne m'avez pas dit comment vous vous appelez ? Un nom ou un titre spécifique peut-être ?

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  • Lun 23 Jan - 13:36

    Razaäl garda un œil sur l’étranger tandis que la petite troupe avançait. Il prenait soin d’écouter chacun de ses mots. De toute évidence, le chef de guerre ne semblait en aucun contrarié qu’en à la possibilité de mener une attaque surprise et discrète. Il remit son foulard sur son visage pour se prévenir de la tempête qui commençait à les engloutir.

    -Je suis Razaäl, chef du Clan Mains Blanches.

    Un des orcs vint pencher la tête sur Anno, lui grognant desssus avant de humer.

    -Tu t’adresses au Mak’Lakal, petit homme. Celui qui chevauche la foudre.

    Malheureusement pour le petit groupe, il n’y avait pas le moindre éclair dans le ciel. Pour certains, une tempête pouvait être signe d’un danger à venir mais pours les Mains Blanches, il n’y avait pas plus rassurant que d’entendre le tonnerre grondait. Cela signifiait que le Protecteur du clan n’était pas loin.

    -Allons-y. Vous savez ce que l’on ait venu chercher…

    Les orcs hochèrent la tête en replaçant leur foulard.Gourdins et lames furent dégainer tandis que Razäal avisait l’humain, l’incitant à les suivre.
    Les guerriers profitèrent de la tempête pour approcher. Accroupis, se mouvant avec aisance tel des serpents, les orcs semblaient avoir appris. Apprendre, tel était la clef de la survie. Les gens qui ne s’adaptaient pas au désert finissaient par être engloutis par ce dernier.

    Les orcs arrivèrent près d’une des sentinelle. Un main aggripa la cheville du guetteur et il fut bien vite neutraliser, trois lames lui transperçèrent le ventre. Les orcs commencèrent à se séparer pour abattre une à une les sentinelles.
    La tempête avait du bon comme du mauvais. Certes elle permettait de camoufler les assaillants mais à côté de cela, elle empêchait toute communication entre eux.

    Razaäl progressait lentement mais surment. Il était maintenant non loin des tentes. Il alla pour s’attaquer à un nouveau garde quant une silhouette attira son attention. Il y avait au milieu des tentes un pilonne. En approchant, il se rendit compte que la silhouette semblait blessée. Elle redressa la tête et se mit à marmonner quelques chose tandis que Razaäl se découvrait pour réveler son identité. Rapprochant son oreille, le chef orc écouta attentivement.

    -Ils étaient là… Pardonne moi, je n’ai pas pu les protéger...

    Après cela, il écarta les haillons de l’orc attaché pour constater la présence d’une bléssure, trop grave pour être soigner en l’état.

    -Je suis prêt…

    -Puisses-tu chevaucher aux côtés des esprits…

    A ses mots, Razaäl dégaina une dague qui logeait au niveau de sa taille avant de la planter dans le flanc du prisonnier, abrégeant ses souffrances. Il se retourna ensuite en remettant son foulard sur son visage. Son rythme cardiaque s’accentua tandis que la rage venait bouillir en lui.

    Un hurlement résonna à travers le camp. Son hurlement.
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  • Lun 30 Jan - 14:23

    Le géant blanc me donna son nom et celui de son clan, mais un des orcs viens me donner un autre titre en me qualifiant de petit homme. J'aurais pu mal le prendre si l'orc ne faisait pas au moins 20cm de plus que moi, mais bon chez eux la taille fait beaucoup de la puissance. Le chef leur dit d'avancer et ils se lancèrent sans rechigner, préparant leurs armes, le vent continuait à souffler, levant le sable qui nous cache une partie de notre vision, mais surtout qui cache les rayons du soleil. Je peux abaisser ma capuche, laissant pour le moment mon masque en place. Je me place dans leur suite, je sors mon épée et fait un moulinet, vérifiant la prise en main de mon arme. Le camp n'est plus très loin, je les laisse s'approcher et m'éloigner un peu. Je me faufile entre deux tentes écartant lentement le tissu de la pointe de mon épée. Un des ennemis sort de la tente juste en face d'où je sors, se protégeant les yeux de son bras. J'aperçois du mouvement dans la tente, c'est ma chance, je me lance, armant mon bras et dans un geste vif le décapite par surprise. Son corps tombe inerte à travers les pans de l'ouverture de la tente. Je le suis pour arriver à l'abri du sable, deux hommes sont en train de se relever, le premier prend un coup de genoux en plein nez et je saute sur le deuxième, arrachant mon masque. Je m'approche de son cou, mordant pour faire couler ce flux qui me maintient en vie. Le deuxième me saute dessus hurlant, voulant me frapper de son épée, je fais une roulade pour éviter le coup. Le bandit ne put arrêter son arme et frappa son camarade. Je profite de son déséquilibre pour l'attraper et l'attaquer à la gorge. Le sang coule sur mon menton pendant que je me nourris. Je sens la faim reculer jusqu'à être assouvi. Je me relève et m'essuie le visage sur les tuniques des morts, mais du sang macule la mienne. Je ressors de cette tente après avoir accroché mon masque a la ceinture, l'arme à la main. Je continue entre les tentes essayant de croiser un maximum d'ennemis.

    Un hurlement se propage dans le camp. Le chef à dû avoir un problème ou une contrariété. Je commence à me diriger vers le hurlement, seule chose sonore qui arrive à couvrir le son du vent dans les tentes. Les pans de tissus claquent. J'arrive à un croisement, je tombe sur trois bandits armés. Je leur souris, faisant tourner mon épée avant de leur lancer d'une voix forte.

    - Alors... On danse où vous voulez que je meure de vieillesse ?

    Les trois hommes se jettent sur moi, pensant que leur nombre va les sauver. D'un mouvement large en diagonale, je repousse leur lame. D'un signe de la main, je repousse le plus à gauche d'une boule d'ombre, le projetant au sol. Je feinte celui le plus à droite d'un moulinet de mon épée pendant que celui du milieu me charge en levant son épée. Je l'accueille d'un coup de poing, je sens les os de son nez se briser sous le choc . Il recule, pendant que celui que j'ai feinté revient à la charge, visant mes jambes. Je saute en arrière pour vite la lame, mais punie son initiative de la mienne, s'abattant sur son poignet. Sa main armée tombe dans le sable accompagné d'un hurlement de douleur. Il agrippe son moignon frais de sa main valide, je sens la frénésie du sang me reprendre, le sang appel toujours plus de sang, dans un autre mouvement d'épée, je sectionne son autre bras au niveau du coude. Le bandit que j'avais projeté au sol revient à la charge en hurlant. Je pars à sa rencontre, ma lame intercepte la sienne dans un crissement suraigu quand les deux fils d'acier glissent l'un sur l'autre. Je donne une impulsion qui dévie sa lame et donne de la force à la mienne qui vient entailler son torse sur la longueur. Dans un tour sur moi-même, j'arme mon prochain coup, la lame siffle avant de faire voler la tête du malheureux dans les airs, et qui retombe devant le Manchot. Le cadavre fraîchement abattu s'effondre dans le sable dans un bruit étouffé, le son couvert par la tempête et par les hurlements de son collègue. Le denier encore entier se relève, tout c'est passez si vite, entouré par un cadavre et un manchot. Je le réplaque au sol d'un coup dans les cottes avant de me pencher sur lui et lui glisse a l'oreille.

    - tu as de la chance, je n'ai plus faim. 

    J'enfonce ma lame dans son torse, il écarquille les yeux, surpris par la sensation, son corps se contracte en dernier baroud honneur avant de retomber mollement au sol. Je me redresse, il faut que je retrouve l'orc blanc, je pense que ses compagnons voudront ma peau s'ils le perde dans cette action. J'arrive à un endroit où tout des dégager, un pilonner planter au centre du cercle que forme les tentes ou un orc est attaché, je continue ma route cherchant toujours ce foutu chef.

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  • Lun 6 Fév - 17:38
    Le hurelement se poursuit. Il finit par être accompagner par d’autres cris. Visiblement les orcs avaient prit cette plainte pour un cris de guerre. Les pillards restants sortirent de leur tente tandis que les guerriers à la peau verte se ruèrent dessus. Razaäl, lui, fut emporté par une furie de berserker. Il se jeta sur le premier pillard qu’il trouva, l’écrasant de tout son poids. Le chef de guerre se mit à abattre son moignon sur le visage du pauvre homme à répétition tout en hurlant à plein poumon, oubliant même de respirer.

    Les orcs décapitèrent, démembrèrent, arrachèrent, laccérèrent avec une furie sans nom. Ils ne leur avaient pas fallu grand-chose pour retrouver leur bestialité.
    L’homme sous Razaäl avait le visage en bouilli tandis que le moignon de l’orc était couvert d’ecchymose et autres plaies. L’orc ôta son foulard et attrapa le col de sa proie pour le redresser.

    -Où sont-ils !? Où sont les enfants !?

    L’homme livra un râle d’agonie pour unique réponse avant d’offrir un nouveau hurlement mêlé à des larmes de douleur. Le chef de guerre venait de planter ses crocs dans le nez du pillard, lui arracha les narines avant recracher ces dernières dans le sable. La face jadis pâle de Razaäl était maintenant couverte de sang.
    Il grogna en voyant que l’homme s’était évanoui et il se redressa en voyant d’autres brigands arrivaient. Certains parmis eux étaient armés de crochets comme on pouvait en voir dans les abatoirs.
    Anno rejoignit le chef de guerre à ce moment là. Les deux hommes étaient cernés par une partie des pillards, les survivants quant à eux affrontant les autres orcs un peu partout dans le camp.

    Razaäl frappa à deux reprises sa poitrine avant de s’approcher en marchant vers ses adversaires. Il acccéléra le pas en hurlant tandis qu’un homme le chargeait. Se baissant à se moment là, il attrapa l’homme par la taille et le fit voler par dessus son épaule avant d’agiter son gourdin en l’air. L’absence de bras droit n’était pas un souci pour lui puisqu’il envoya à plusieurs reprises son moignon dans le visage de ses adversaires.

    -Où sont-ils !?

    Faisant guère attention, une lame vint se planter dans le flanc du guerrier. Fier de lui, le bandit sourit légèrement mais ce sourire disparu aussi tôt. Du haut de ses deux mètres, l’orc semblait n’avoir que faire de cette lame. Il semblait en avoir vù d’autres et en l’état, il ne ressentait plus la douleur. Il laissa tomber son gourdin avant de saisir l’homme par le col de sa tunique et de le soulever en l’air. Ses crocs se plantèrent dans la gorge de son assaillant et cherchèrent l’artère.
    Ce n’était plus un guerrier qui se tenait debout mais une bête féroce qui finit par arracher la gorge de sa victime, laissant le sang jaillir et couler sur le sable.
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  • Jeu 9 Fév - 11:03

    Le chef a bien parlé d'enfant ? Avec ce vent, je ne suis pas sûr de ce que j'ai entendu. Ce serait plus qu'un simple clan guerrier, une tribu à part entière. J'arrive près de l'orc blanc qui démolissait littéralement un des bandits, posant toujours la même question. Je fais quelques tours avec mon épée, la faisant siffler en reculant vers l'orc pendant que les pillards se placent tout autour de nous. J'essaye de lui glisser.

    - Je vous en laisse en vie, j'imagine.

    L'orc ne répond pas et se frappe le torse avant d'avancer vers l'ennemi. Je reprends mes moulinets en me dirigeant vers l'autre côté du cercle d'ennemi. L'orc commence à déchaîner sa violence faisant voler le premier des hommes et frappant les autres à portée de son bras manquant.

    Je m'arrête face au groupe de cadavre en devenir et me place dans une position d'escrime grossière, il me semble que le maître d'armes appelé ça en sixte. Devant leur manque d'initiative, je leur lance paré de mon faux sourire.

    - Du nerf, mes lapinous... Si vous ne voulez pas vous battre, répondez au moins à la question de mon ami.

    Le premier adversaire s'avance, suivit d'un autre.

    - Regardez-moi la jolie petite paire de fillettes, si c'est pas fragile.

    Je déplace mes appuis qui s'enfoncent légèrement dans le sable, pendant qu'il charge sous la colère. Je lance ma lame à la rencontre des leurs. Le bruit du fer commence à s'élever. D'abord, je frappe la lame du premier avant d'intercepter elle du deuxième, il ne s'attend pas à ce que ma botte décrive un arc de cercle pour cueillir sa cheville, lui faisant perdre son équilibre. Je finis de le déséquilibrer par un coup du plat de mon épée pour lui exploser le nez. Son épée tombe dans le sable en même temps que son propriétaire. Dans la continuité du combat, je me redresse avec un coup de taille entaillant profondément ses cuisses. Il s'effondre aux cuisses profondément. Il s'effondre en hurlant. D'un pas en arrière, je me replace devant les autres. Cette fois, les bandits emplirent de courage, se jettent sur moi à quatre. Je recule en déviant les armes de plusieurs moulinets rapides, leur laissant la confiance du nombre, attendant une ouverture pour frapper. Je ne sais pas s'ils se rendent compte qu'à ce nombre ils se gènent plus qu'autre chose. Je jette un œil sur l'orc, et le voit aux prises avec un soldat l'égorgeant à coups de dents. J'ai finalement un point commun avec les orcs.

    - Bon, on accélère ?

    Mon sourire devient un peu plus cruel, et le voit perdre un peu de leur confiance. D'une frappe large, je casse leur élan. Je ne frappe que le vide, mais cela instaure une distance entre nous. Je fonce sur celui du milieu, dans un signe de main lace un sort d'illusion toujours doublet par l'invisibilité partiel, qui inverse le sens du coup. Les hommes me voient lever le bras pour frapper vers le bas, la réalité est que cela part du bas pour finir par la tête. Ma lame visuelle travers le fer de l'ennemi pour faire gicler le sang, que ma lame phantomatique découpant le bandit. Mon pied pars à gauche frappant le bandit le plus proche en plein dans les parties. L'élan de ce coup me permet de continuer sur moi-même et de frapper du pommeau les côtes d'un autre qui s'enfonce dans un craquement puissant.

    Avant qu'ils ne réagissent, le premier est mort, les deux autres sont au sol.

    Je garde mon sourire cruel face au dernier qui me fait face. Il a perdu toute son arrogance, les pillards ne sont pas habitués à tomber sur des gens entraînés.

    Je reprends l'initiative, nos épées se croisent, je m'abaisse, de ma main gauche, j'attrape son poignet et le retourne. L'homme se retrouve, dos plaqué contre moi, ma lame sur sa gorge.

    - Alors, une réponse ?

    Le reste de bandits n'osent pas bouger, ne sachant pas quoi faire. Il commence à se douter qu'ils n'ont aucune chance finalement.

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    Anonymous
  • Ven 17 Fév - 15:48


    Le reste du groupe orc arriva aux centre du camp. Certains allèrent pour planter à plusieurs reprises ceux qu’Anno avait maitrisé. Un des orcs, dans la fougue de la bataille, alla même pour frapper l’humain mais il se ravisa attend, comprenant que celui-ci était avec eux.

    -On les a vendu il y trois jours, à des marchands d’esclaves… Ils avaient besoin d’ouvriers pour les mines du Nord.

    L’homme qu’Anno interrogeait se mit à bégayer en voyant les silhouettes massifs autour de lui. Malheureusement pour ce pillard, un grand malheur attendait ceux qui savaient. Les orcs coulèrent un regard vers Razaäl qui jeta le cadavre en sa possession au sol, comme une vulgaire poupée de chiffon. Il exécuta un signe de la tête significative. Les orcs exécutèrent les captifs misent à part le prisonnier d’Anno.
    Le sang alla se mêler aux sables du désert.

    Le chef de clan expira tout doucement avant de poser son regard sur Anno puis de regarder autour de lui. Il attrapa de son unique main un des crochets utilisaient par les pillards en guise d’arme avant de le glisser dans sa bouche, serrant la mâchoire pour le maintenir.  Il avança alors d’un pas lent vers le survivant et vient lui saisir le nuque. D’un regard, il incita le vampire pour que ce dernier se retire.

    L’orc commença alors à trainer le malheureux dans le sable. Ce dernier gémissait et hurla tandis que les orcs autour de lui vinrent exercer de légère incision avec leur lame sur son corps, à mesure qu’il était trainé.

    -Seuls les guerriers peuvent mourir dignement…

    Une main se posa sur l’épaule d’Anno. Un des orcs de la troupe l’incita à suivre le mouvement.

    -Viens avec nous et sois témoin, Anno, fils d’Eskiah.

    Une fois dans la tente, Razaäl lacha l’homme avant de venir arracher son haut. Il était maintenant au dessus de lui tandis que le reste des orcs rentrèrent dans la tente. Instinctivement, un d’entre eux se détacha du groupe pour se placer derrière le pillard, le maintenant, avec le dos redressait.
    Razaäl récupéra le crochet dans sa bouche et le planta dans la poitrine du pillard. La douleur de l’homme était elle que des tressaillements le frappèrent.

    -Ahhh ! Pitié ! Arrêtez !

    Razaäl fit ressortir l’extrémité du crochet de la poitrine du voleur avant de regarder les autres orcs. Une nouvelle fois, Razaäl n’eut pas à parler pour se faire comprendre et un des orcs récupéra une corde. S’approchant de son chef et du prisonnier, l’orc attacha la corde au crochet avant de la passer par dessus une des poutres qui maintenait la tente debout.

    -Taches de ne pas hurler…

    -Non ! Quoi !? Arrêtez ! Pitié, je n’ai fais que suivre les instructions ! Je voulais faire de mal à personne ! J’envoies une partie de ce que je gagne à mes enfants à Taisen ! Pitié !

    Le regard du malheureux se posa ensuite sur Anno.

    -Pitié ! On est pareil toi et moi ! Dis leurs, fais quelque cho’….AHHHHHH !!!!!

    Les orcs tirèrent tandis que Razaäl reculait pour contempler son œuvre. L’humain se releva sous la tension de la corde avant de finalement quitter le sol. Son torse fut tendu et le crochet commença à déchirer une partie des muscles du malheureux. Les tremblements recommencèrent et le faciès du voleur fut déformé par la douleur. Il hurlait à plein poumon sous la douleur mais dans cette tempête, personne ne pouvait l’entendre.
    Ses cris furent bientôt accompagner par ceux des guerriers orcs, où plus exactement, par leur plainte.

    -Trouves cette mine, Anno, fils d’Eskiah… Et je te couvrirais de pierres précieuses...
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  • Lun 27 Fév - 12:31

    Tout se déroule vite, trop vite. Les orcs nous rejoignent exécutant la plupart les blessés, pris dans leurs fureurs, un des orcs s’avance vers moi pour me frapper au même titre que les autres bandits. Il s’arrête avant que je n’aie à agir. L’homme que je tiens se met enfin à répondre à la question tant répétée par l’orc. Il lui donne l’information que les non-combattants qu’il cherche ont étaient vendues pour travailler dans une mine des terres du nord.

    D’un signe de tête, toute la violence des orcs se déchaîne sur les prisonniers. Seul reste celui que je tiens et qui se met à trembler comme une feuille. Je me place près de son oreille et lui murmure.

    - Je pense que tu auras le droit à un rôle important dans le spectacle qui va se dérouler.

    Le chef des orcs récupère un crocher et vient se planter devant moi. Il pose sa main sur la nuque de l’homme. Je relâche mon étreinte et recule d’un pas en m’inclinant légèrement, écartant les bras.

    Il le traîne dans le sable de sa puissance d’orc, à chaque fois qu’il croise un autre orc, le prisonnier se fais lacérer une fois de plus. Un des barbares pose sa main sur mon épaule, je resserre la main sur mon arme. Je n’ai pas totalement confiance en eux, je ne reste qu’un humain face à une tribu, mais le chef m’invite à les suivre pour être témoin. Je ne sais pas de quoi, mais cela s’annonce intéressant.

    C’est à la suite du chef que nous rejoignons une tente, restant dans mon silence. À l’intérieur, je me place un peu à l’écart des hommes pendant que les orcs commence leurs tortures. Je croise les bras et affiche mon éternel sourire. Je regarde attentivement le spectacle, la torture et les cris de l’homme. Il essaye de me faire pitié en disant que je suis pareil que lui. S’il savait. Oui, nous sommes des monstres tous les deux, ne respectant que peu la vie d’autrui. Puis les orcs levèrent le malheureux par le crochet. Il tremble, pleure. À ce moment, l’odeur du sang me monte à la tête, je tourne le regard cherchant quelque chose sur quoi me raccrocher, me concentrer. Il y a un sac avec quelques provisions, je regarde ce qu’il contient et attrape une pomme. Je retourne à ma place en la faisant sauter au creux de ma main et finis par croquer dedans, espérant calmer une faim qui réclame autre chose.

    L’homme continue de hurler, pendant que les ors rejoignent le bruit avec leurs plaintes. Je continue de manger ma pomme tranquillement, essayant d’y donner toute ma concentration.

    Quand leurs spectacles est finit, l’orc pale se tourne vers moi et me donne l’ordre de trouver la dite mine. Si j’y arrive, il veut me couvrir de richesse, cela pourrait être intéressant, mais à quoi cela sert d’être riche pour un immortel qui ne survit que par ce que l’on ne peut acheter.

    - Je verrais ce que je peux faire, mais je ne le ferais pas pour l’argent.

    Je continue de manger ma pomme tranquillement, j'avais maintenant du boulot et aller devoir trainer dans ce coin froid du pays que j'adore.

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