+13
Leonora de Hengebach
Soren Goldheart
Orifa Sigrior
Xera
Abraham de Sforza
Sablier
Sixte V. Amala
Dorylis de Rockraven
Takhys Suladran
Kieran Ryven
Ruby Draglame
Genryusai
PNJ
17 participants
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Dragon du Razkaal
Kieran Ryven
Messages : 346
crédits : 2509
crédits : 2509
Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Neutre Bon
Rang: C
Tout le monde a le potentiel d'être une force pour la cause.
Tout le monde n'en paie pas le prix, lui, si.
Mais je ne suis pas certain que la facture soit adaptée, dans notre cas.
Je suis un Drakyn, mâle, enfermé au Razkaal, et bien parti pour y crever si je reste dans ce sentier. Celui de la sanction, de la traque, et du gardiennage perpétuel dans les murs de la Forteresse. Je porte un masque pour me protéger un minimum de cette corruption magique obscure, qui m'a donné le surnom de Vouivre. Mon esprit pourrait terminer détraqué dans un corps malade, abîmé, torturé. Une noyade perpétuelle dans les ténèbres pour corriger du connard, par palettes de dix, cent ou milles. Dans certaines situations extrêmes, la loi est inadaptée. Pour pallier cette inadaptation, il est nécessaire d’agir en dehors de la loi pour appliquer une justice naturelle. Les limiers vivent là-dedans. Ce n’est pas une vengeance. Vouloir prendre sa revanche n’est pas un mobile valable, c’est une réponse passionnelle.
Non, ce n’est pas une vengeance.
C’est une punition. Et ceux qui font souffrir les autres sauront bientôt qui je suis.
Elle est là, ma lumière. Et j'en paie le prix. Et si finalement, je n'étais pas bien différent d'Abraham sur ce coup là ? Sa réponse me court-circuite un peu, même si je reste persuadé qu'il n'avait pas besoin de toute cette attirail pour être doué. Il l'était bien plus que la norme et il aurait pu avoir le luxe de choisir la spécialisation qu'il souhaitait. Finalement, il y a peut-être une leçon d'humilité à digérer pour ma part, et rester à ma place, avec mes démons. Difficile de cacher ma moue gênée concernant la mention de Séraphin...
« Il... Lui arrive d'avoir des déviances, mais, je vous rassure, il se bat contre ça. »
Non, je n'en suis moi-même pas certain, mais fallait bien broder quelque chose pour le prévôt. J'ai cru voir un moment de latence de la part de mon ancien camarade. Un peu interdit face à la sirène. C'est quoi, de la timidité ? Je tangue la tête d'un côté, un peu intrigué, cherchant dans ses yeux une quelconque réponse, seule sa voix fébrile me donnera un semblant d'élément.
Il avait l'air déstabilisé. Là-dessus, nos échanges s'arrêtent là. Nos retrouvailles promettent d'autres rencontres maintenant que je sais qu'il est dans les parages. Et, comme je disais, une conversation avec le Lycan argenté va être nécessaire. Alors que je reste immobile comme une statue oubliée sur la place des Héros, la voix de Takhys viendra me sortir de mes pensées. Me tournant doucement dans sa direction, j'essaie d'adoucir mes traits, en vain.
« La moindre des choses pour une âme serviable. Consommez ce qu'il vous plaira, je vous l'offre. »
Sur le témoignage de son expérience lors de la bataille, mes yeux vont suivre les siens, là où l'Avatar a bien faillit nous flanquer la dérouillée du siècle.
« Vous êtes là, vous avez accompagné les sternes, et vous nous avez protégés aux remparts. C'est tout ce qu'il y a à retenir. J'étais en première ligne face à l'Avatar, c'était pas joli. »
Est-ce que je suis vraiment étonné de la prestation d'une dangereuse sirène. Non, pas tant que ça. Puis, le Séraphin revient sur la table. J'hausse un sourcil sur son rire retenu, ne sachant pas si c'est une innocente boutade ou bien une joute délibérément pensée. Mais je crois que je suis à fleur de peau aujourd'hui.
« Effectivement, le monde est bien petit. J'ai passé des années avec les deux personnes sans savoir qu'ils se connaissaient. »
Peut-être qu'il m'a lui aussi caché les desseins de la république sur son traitement. Mais je vais arrêter d'hypothétiser, l'heure est à la picole et avant que j'ouvre la bouche, une voix intrusive vient s'inviter entre mes cornes. Une voix plus chaude, désinhibée et qui aura le mérite de me faire pouffer de rire. Je travaille avec Sixte, j'ai rencontré Dosian, et il a fallu qu'ils se connaissent également tous les deux. Décidément, les Astres ont le sens de l'humour.
*Merci pour l'information Xera, on arrive.*
Un bras vient serpenter autour du mien, chaleureusement offert d'une révérence à peine visible, mais avec un rictus rempli de bêtises. J'arrive, Sixte. La grande mercenaire elfique au cœur de glace. Ha. Adaptant ma marche à celle de ma nouvelle compagne de beuverie, je flaire sans mal la chevelure et le monceau de phéromones qui se dispersent entre deux personnes. Jusqu'à voir la silhouette de Dosian.
Lui, je l'ai vu dans une cellule du Razkaal et mes respects, car son estomac a tenu le coup. Au début, en voyant évidemment cette belle gueule, l'éclat de ses yeux rappelant un renard rusé, je pensais qu'il était ce genre de tarlouze qui se plie comme une feuille entre deux supérieurs hiérarchiques, avec des pièces d'or qui n'ont rien à voir avec son salaire, des bijoux volés partout sur lui, et des rapports modifiés par ses bons soins afin de passer dans le feutré sans avoir de soucis avec l'inspection. Probablement mon regard biaisé par la corruption générale dans le pays.
Puis j'ai vu ses projectiles décollés de ses mains vers l'Avatar. Ca fait fermer le caquet. Arrivés enfin à leur niveau, ma main vacante se pose sur le bras de Takhys, toujours enroulé au mien.
« Messieurs dames, je vous présente Takhys. Une ancienne connaissance. Dosian, on se revoit pour la première fois dans de meilleures conditions. Pas de tortures, pas de Titans. Juste une place et... Apparemment de la bonne compagnie. »
Mes yeux traversent la Messagère avec un regard si intense que je pourrais chercher son âme par la peau des fesses.
« Comment ça va, Madame Bonne compagnie ? J'avais pas vu ce surnom entre "messagère aguerrie" et "mercenaire mortelle". Ça sonne différent, mais ça sonne bien. »
Et moi, simple Drakyn heureux, observe toute la crédibilité qu'elle a mis deux ans à construire, s'effondrer sous mes yeux comme un château de cartes. Avec toutes les images qui vont avec. Des bisous, des câlins et probablement des tirages de cheveux.
« On se trouve un coin à boire avant que mes sinus meurent noyés dans ce bain de phéromones ? »
Parce que, je n'ai pas encore bu. Et il fait très soif.
Tout le monde n'en paie pas le prix, lui, si.
Mais je ne suis pas certain que la facture soit adaptée, dans notre cas.
Je suis un Drakyn, mâle, enfermé au Razkaal, et bien parti pour y crever si je reste dans ce sentier. Celui de la sanction, de la traque, et du gardiennage perpétuel dans les murs de la Forteresse. Je porte un masque pour me protéger un minimum de cette corruption magique obscure, qui m'a donné le surnom de Vouivre. Mon esprit pourrait terminer détraqué dans un corps malade, abîmé, torturé. Une noyade perpétuelle dans les ténèbres pour corriger du connard, par palettes de dix, cent ou milles. Dans certaines situations extrêmes, la loi est inadaptée. Pour pallier cette inadaptation, il est nécessaire d’agir en dehors de la loi pour appliquer une justice naturelle. Les limiers vivent là-dedans. Ce n’est pas une vengeance. Vouloir prendre sa revanche n’est pas un mobile valable, c’est une réponse passionnelle.
Non, ce n’est pas une vengeance.
C’est une punition. Et ceux qui font souffrir les autres sauront bientôt qui je suis.
Elle est là, ma lumière. Et j'en paie le prix. Et si finalement, je n'étais pas bien différent d'Abraham sur ce coup là ? Sa réponse me court-circuite un peu, même si je reste persuadé qu'il n'avait pas besoin de toute cette attirail pour être doué. Il l'était bien plus que la norme et il aurait pu avoir le luxe de choisir la spécialisation qu'il souhaitait. Finalement, il y a peut-être une leçon d'humilité à digérer pour ma part, et rester à ma place, avec mes démons. Difficile de cacher ma moue gênée concernant la mention de Séraphin...
« Il... Lui arrive d'avoir des déviances, mais, je vous rassure, il se bat contre ça. »
Non, je n'en suis moi-même pas certain, mais fallait bien broder quelque chose pour le prévôt. J'ai cru voir un moment de latence de la part de mon ancien camarade. Un peu interdit face à la sirène. C'est quoi, de la timidité ? Je tangue la tête d'un côté, un peu intrigué, cherchant dans ses yeux une quelconque réponse, seule sa voix fébrile me donnera un semblant d'élément.
Il avait l'air déstabilisé. Là-dessus, nos échanges s'arrêtent là. Nos retrouvailles promettent d'autres rencontres maintenant que je sais qu'il est dans les parages. Et, comme je disais, une conversation avec le Lycan argenté va être nécessaire. Alors que je reste immobile comme une statue oubliée sur la place des Héros, la voix de Takhys viendra me sortir de mes pensées. Me tournant doucement dans sa direction, j'essaie d'adoucir mes traits, en vain.
« La moindre des choses pour une âme serviable. Consommez ce qu'il vous plaira, je vous l'offre. »
Sur le témoignage de son expérience lors de la bataille, mes yeux vont suivre les siens, là où l'Avatar a bien faillit nous flanquer la dérouillée du siècle.
« Vous êtes là, vous avez accompagné les sternes, et vous nous avez protégés aux remparts. C'est tout ce qu'il y a à retenir. J'étais en première ligne face à l'Avatar, c'était pas joli. »
Est-ce que je suis vraiment étonné de la prestation d'une dangereuse sirène. Non, pas tant que ça. Puis, le Séraphin revient sur la table. J'hausse un sourcil sur son rire retenu, ne sachant pas si c'est une innocente boutade ou bien une joute délibérément pensée. Mais je crois que je suis à fleur de peau aujourd'hui.
« Effectivement, le monde est bien petit. J'ai passé des années avec les deux personnes sans savoir qu'ils se connaissaient. »
Peut-être qu'il m'a lui aussi caché les desseins de la république sur son traitement. Mais je vais arrêter d'hypothétiser, l'heure est à la picole et avant que j'ouvre la bouche, une voix intrusive vient s'inviter entre mes cornes. Une voix plus chaude, désinhibée et qui aura le mérite de me faire pouffer de rire. Je travaille avec Sixte, j'ai rencontré Dosian, et il a fallu qu'ils se connaissent également tous les deux. Décidément, les Astres ont le sens de l'humour.
*Merci pour l'information Xera, on arrive.*
Un bras vient serpenter autour du mien, chaleureusement offert d'une révérence à peine visible, mais avec un rictus rempli de bêtises. J'arrive, Sixte. La grande mercenaire elfique au cœur de glace. Ha. Adaptant ma marche à celle de ma nouvelle compagne de beuverie, je flaire sans mal la chevelure et le monceau de phéromones qui se dispersent entre deux personnes. Jusqu'à voir la silhouette de Dosian.
Lui, je l'ai vu dans une cellule du Razkaal et mes respects, car son estomac a tenu le coup. Au début, en voyant évidemment cette belle gueule, l'éclat de ses yeux rappelant un renard rusé, je pensais qu'il était ce genre de tarlouze qui se plie comme une feuille entre deux supérieurs hiérarchiques, avec des pièces d'or qui n'ont rien à voir avec son salaire, des bijoux volés partout sur lui, et des rapports modifiés par ses bons soins afin de passer dans le feutré sans avoir de soucis avec l'inspection. Probablement mon regard biaisé par la corruption générale dans le pays.
Puis j'ai vu ses projectiles décollés de ses mains vers l'Avatar. Ca fait fermer le caquet. Arrivés enfin à leur niveau, ma main vacante se pose sur le bras de Takhys, toujours enroulé au mien.
« Messieurs dames, je vous présente Takhys. Une ancienne connaissance. Dosian, on se revoit pour la première fois dans de meilleures conditions. Pas de tortures, pas de Titans. Juste une place et... Apparemment de la bonne compagnie. »
Mes yeux traversent la Messagère avec un regard si intense que je pourrais chercher son âme par la peau des fesses.
« Comment ça va, Madame Bonne compagnie ? J'avais pas vu ce surnom entre "messagère aguerrie" et "mercenaire mortelle". Ça sonne différent, mais ça sonne bien. »
Et moi, simple Drakyn heureux, observe toute la crédibilité qu'elle a mis deux ans à construire, s'effondrer sous mes yeux comme un château de cartes. Avec toutes les images qui vont avec. Des bisous, des câlins et probablement des tirages de cheveux.
« On se trouve un coin à boire avant que mes sinus meurent noyés dans ce bain de phéromones ? »
Parce que, je n'ai pas encore bu. Et il fait très soif.
Citoyen de La République
Sixte V. Amala
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Info personnage
Race: Elfe (mi-ange)
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: D
Sixte se fendit d’un sourire à l’expression qu’affichait le brun. Elle aurait pu revêtir la même mais peut-être pas pour les mêmes raisons. Plutôt parce qu’elle ne se souvenait que trop bien de l’odeur pestilentielle du marécage d’étrons qu’ils avaient foulés ou encore de la gigantesque araignée qui leur avait barré la route. Son meilleur souvenir restait sans doute le moment où elle avait désaxée la nuque d’Akhos jusqu’à l’arracher d’entre ses épaules. Elle regrettait seulement de ne pas avoir ramené sa tête à Goldheart pour le forcer à augmenter sa prime.
- J’ai un peu du mal à te plaindre, tu m’excuseras. Le railla-t-elle.
Ce fut Xera, qui coupa court à sa moquerie. Cette journée qui n’avait pas si mal commencée était étrangement en train de s’assombrir. La tête légèrement penchée sur le côté, les yeux ronds comme des soucoupes, Sixte se tourna lentement vers Xera à qui elle lança un regard qui, à lui seul, trahissait les pensées qui l’habitait. En trois cents ans d’existence, elle avait déjà eu son lot de moments gênants et d’humiliation mais celui-ci venait sans peine de se hisser dans son top trois. Ses yeux papillonèrent un instant avant qu’elle ne hausse les sourcils pour lancer un regard confus en direction dudit amant. Ce qu’elle perçu chez lui, si ce n’était de la surprise, semblait être de l’agacement. Pourquoi ? Elle plissa légèrement les yeux à la manière d’un chat. L’herboriste n’était guère fine, c’était un fait. Mais cela était-il si terrible ? La demi-sang fronça les narines. Il y avait bien pire à travers tout le Sekaï, ou même en République, qu’elle. Pancrace éluda la question et Sixte en fit de même, non sans en garder un goût amer ; ils auraient des choses à ce dire. Plus tard.
- M’est d’avis qu’ils ont pas ramenés les grands crus sur la place, dit-elle, - Mais rien ne nous empêche de nous tirer. Je crois que les politicards en ont terminé avec leur bla-bla interminable et moi j’ai fait acte de présence. Elle ponctua sa phrase par un haussement d’épaule. L’instant suivant, fendant la foule avec une jeune femme à son bras, Kieran les rejoignit.
- On se connait. Répondit Sixte en hochant simplement la tête en guide de salutation. Se connaître était un bien grand mot, elles s’étaient croisés lors du combat, sur les remparts et si elles n’avaient guère eut le temps d’échanger des politesses, elles avaient combattus au coude à coude ce qui en un sens était un lien plus profond que bien d’autres. Ce qui la surprit un peu plus cependant fut que drakyn et humain ce soit déjà côtoyé. Quoi qu’il n’était pas si incongru que le Razkaal et les Officiers n’aient à travailler ensemble. Toutefois, quelque chose lui soufflait que cela n’augurait rien de bon et son pressentiment se confirma la seconde suivante. Dès que ses yeux croisèrent ceux de Kieran. Elle y lu, comme dans un livre ouvert, l’amusement mais elle ne put l’empêcher d’ouvrir la bouche.
- Bien et toi ? Sixte se fendit d’un sourire qui transpirait l'hypocrisie. - Moi j’avais pas vu “Mes tarifs viennent de doubler pour le dragon du Razkaal” entre “va te faire foutre” et “je t’emmerde”. Elle fusilla Kieran du regard et tourna les talons en grommelant. - J'ai d'autres chats à fouetter, buvez pour moi. Xera, Takhys, au plaisir de vous recroiser. Kieran. elle leva son majeur à son attention. Pancrace quant à lui n’eut droit qu’à un regard, mais il valait mille mots.
- J’ai un peu du mal à te plaindre, tu m’excuseras. Le railla-t-elle.
Ce fut Xera, qui coupa court à sa moquerie. Cette journée qui n’avait pas si mal commencée était étrangement en train de s’assombrir. La tête légèrement penchée sur le côté, les yeux ronds comme des soucoupes, Sixte se tourna lentement vers Xera à qui elle lança un regard qui, à lui seul, trahissait les pensées qui l’habitait. En trois cents ans d’existence, elle avait déjà eu son lot de moments gênants et d’humiliation mais celui-ci venait sans peine de se hisser dans son top trois. Ses yeux papillonèrent un instant avant qu’elle ne hausse les sourcils pour lancer un regard confus en direction dudit amant. Ce qu’elle perçu chez lui, si ce n’était de la surprise, semblait être de l’agacement. Pourquoi ? Elle plissa légèrement les yeux à la manière d’un chat. L’herboriste n’était guère fine, c’était un fait. Mais cela était-il si terrible ? La demi-sang fronça les narines. Il y avait bien pire à travers tout le Sekaï, ou même en République, qu’elle. Pancrace éluda la question et Sixte en fit de même, non sans en garder un goût amer ; ils auraient des choses à ce dire. Plus tard.
- M’est d’avis qu’ils ont pas ramenés les grands crus sur la place, dit-elle, - Mais rien ne nous empêche de nous tirer. Je crois que les politicards en ont terminé avec leur bla-bla interminable et moi j’ai fait acte de présence. Elle ponctua sa phrase par un haussement d’épaule. L’instant suivant, fendant la foule avec une jeune femme à son bras, Kieran les rejoignit.
- On se connait. Répondit Sixte en hochant simplement la tête en guide de salutation. Se connaître était un bien grand mot, elles s’étaient croisés lors du combat, sur les remparts et si elles n’avaient guère eut le temps d’échanger des politesses, elles avaient combattus au coude à coude ce qui en un sens était un lien plus profond que bien d’autres. Ce qui la surprit un peu plus cependant fut que drakyn et humain ce soit déjà côtoyé. Quoi qu’il n’était pas si incongru que le Razkaal et les Officiers n’aient à travailler ensemble. Toutefois, quelque chose lui soufflait que cela n’augurait rien de bon et son pressentiment se confirma la seconde suivante. Dès que ses yeux croisèrent ceux de Kieran. Elle y lu, comme dans un livre ouvert, l’amusement mais elle ne put l’empêcher d’ouvrir la bouche.
- Bien et toi ? Sixte se fendit d’un sourire qui transpirait l'hypocrisie. - Moi j’avais pas vu “Mes tarifs viennent de doubler pour le dragon du Razkaal” entre “va te faire foutre” et “je t’emmerde”. Elle fusilla Kieran du regard et tourna les talons en grommelant. - J'ai d'autres chats à fouetter, buvez pour moi. Xera, Takhys, au plaisir de vous recroiser. Kieran. elle leva son majeur à son attention. Pancrace quant à lui n’eut droit qu’à un regard, mais il valait mille mots.
Citoyen de La République
Pancrace Dosian
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L’arrivée de Kieran était pas enthousiasmante, même accompagné de Takhys -toujours dans les bons coups, enfin, je veux pas avoir l’air indiscret ou donner au drakyn des qualités que j’connais pas-, et ça s’améliore pas dès qu’il ouvre la bouche. J’plisse les yeux, et j’regarde Sixte partir sèchement, en me laissant avec un regard que j’ai du mal à décrypter sur le coup. J’ai pas spécialement envie de m’y attarder non plus, d’une pasque ça commence à bien me gonfler, cette affaire, et de deux pasque j’pense qu’il vaudra mieux y repenser à tête réfléchie plus tard.
J’pose la bouteille par terre, sans même faire mine de la tendre à quelqu’un d’autre, puis j’la pousse du pied pour la renverser. C’est mesquin, mais j’en ai rien à foutre.
« Dites donc, c’est le rassemblement des débiles, c’est ça ? Faut qu’on vous laisse entre vous ? Nan pasque c’est bien de savoir des choses, de découvrir des trucs sur les gens. C’est excitant, quand on est tortionnaire au Razkaal, pas vrai ? »
J’dis ça en pointant du doigt Kieran.
« C’est sûr que y’a pas le petit plaisir d’enfoncer des clous dans la colonne vertébrale des gens et de leur arracher les ongles, mais, plus qu’un métier, c’est une passion, un sacerdoce ? On pourrait croire qu’en vivant dans cette prison moisie, on apprendrait la valeur du silence. Faut croire que non. »
Puis j’me tourne vers la rousse.
« T’es sûre que t’as pas descendu deux-trois bouteilles avant de nous rejoindre, toi ? Ou alors c’est maladif de baver tout ce qui te passe par la tête à tort et à travers ? »
Je hausse les épaules, je lève les mains au ciel en roulant les yeux.
« Vous avez pas éduqué par votre mère, d’apprendre à fermer vos claque-merdes ? Cela dit, j’suppose que c’est pas facile, quand c’est la soeur de votre père, hein, j’comprends. Allez, à la revoyure. »
Puis j’leur tourne le dos, et j’me fonds dans la foule, avec un dernier :
« Putain. »
J’sais même pas si j’ai envie de chercher Sixte, qui serait pas bien dure à retrouver si je m’en donnais la peine. J’crois qu’il vaut mieux que je cuve le monceau d’émotions négatives que j’me coltine, et que j’me pose les questions dont j’me suis rendu compte qu’elles étaient sans réponse et jamais verbalisées jusqu’à y’a trois minutes trente. Et le meilleur moyen d’avoir une discussion sérieuse avec soi-même que j’connaisse, c’est d’être accompagné par une personne qui répond pas, qui questionne pas, et qui encaisse juste. A savoir : un tavernier.
Pas que j’cherche les solutions au fond du godet -encore que-, mais ça m’permet d’effeuiller les couches de l’oignon jusqu’à toucher le coeur.
Faut ce qu’il faut, et ça permet de remettre les vêtements et l’armure ensuite, pour pas se faire trop égratigner par le monde extérieur, cette saloperie qu’attend que la meilleure occasion de nous la mettre à l’envers, comme il vient de le démontrer.
Citoyen de La République
Ruby Draglame
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crédits : 2921
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Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Chaotique bon
Rang: C
L’ancienne officière de la grande armée ne voulait pas répondre aux questions sur la situation vécue sur l’île Kaizoku. Toutefois, elle pouvait encore une fois utilisé son pouvoir psychique pour répondre sincèrement et oralement pour rétorquer en synthétisant. Elle commençait par :
« j’ai participé à ce conflit ente les pirates et les républicains malgré moi. L’origine de ma présence là-bas est liée à mon ancien phare qui était la seule rentrée d’argent que j’avais pour régler ma dette envers la République. Cette sanction est due au fait que j’ai voulu faire justice dans une forêt avec des créatures protégées. Je ne veux pas en dire plus surtout dans ce moment solennel. »
La sœur hématite, prenait le verre et elle en profitait pour parler de manière discrète. Elle lançait dans l'esprit de la valkyrie :
« Le masque je poste actuellement est fait que j’ai voulu porter l’aide à l’actuelle consule de la République. Toutefois, j’ai été imprudente et j’ai reçu une sanction de la part de l’ennemi avec une attaque élémentaire de lave. Tu connais ce proverbe qui dit que la mort est plus préférable que certaines douleurs. J’ai réussi partiellement à récupérer mes membres perdus, mais il reste encore des traces sur mon visage. J’attrape plus facilement le froid et j’ai tenté de me soigner avec l’aide d’une guérisseuse. Néanmoins je ne sais pas si son remède fonctionne sur moi. »
Elle reprenait une conversation normale, quand elle finissait son verre et elle demandait à son tour :
« Que comptes-tu faire maintenant ou plutôt que vas-tu faire après ce moment de recueillement? »
La sœur Hématite décidait de lui dire ses plans pour le futur de manière magique encore une fois :
« je compte rembourser ma dette, dès que celle-ci est faite alors je partirai définitivement la République. Cette inondation a complètement détruit les tombes de mes parents. Ils sont définitivement partis vers le monde des cendres. Toutefois, j’ai encore une mission à opérer et une autre dette à honorer. La première consiste à découvrir le leg laissé par mes parents et il semble que je vais partir dans d’autres contrées. La seconde est malheureusement liée à la pègre en quelques sort à cause d’une créature ou plutôt un petit être du nom de Klak-Klak. Si tu le croises en chemin, n’essaie pas de le côtoyer avec toi. Il te causera de multiples incidents qui pourront te créer d’autres ennemis comme la pègre. »
Elle s’arrêtait cette discussion et elle attendait la réponse de l’espionne républicaine sur son futur. Elle regardait les autres tables qui se remplissaient et elle remarquait celle avec la petite blonde en compagnie d’autres combattants. La sœur hématite avait une petite idée du futur d’un des combattants et notamment le politicien au nom de Goldheart. Il allait avoir une investigation sur la mort de la présidente de la République. L’ancien ne officière de la grande armée se demandait si Orifa allait participer ou pas à cette enquête. Elle n’avait pas demandé son passé, car celui-ci était derrière et elle voulait entendre les perspectives d’Orifa. Néanmoins, elle se doutait que celle-ci n’allait pas lui dire une vérité ou plutôt une indication cachée à travers une phrase anonyme.
Ruby pensait partir pour Justice, car c’était la cité la plus proche et elle ne pouvait par perdre du temps pour rembourser sa dette envers la République. Elle espérait avoir une conseil concernant cette cité, car elle devait maintenant considérer les options. L’espionne républicaine pouvait peut-être lui donner d’autres options. Elle servait un autre verre et elle écoutait les propos de la Valkyrie quand elle commençait à bouger ses lèvres.
« j’ai participé à ce conflit ente les pirates et les républicains malgré moi. L’origine de ma présence là-bas est liée à mon ancien phare qui était la seule rentrée d’argent que j’avais pour régler ma dette envers la République. Cette sanction est due au fait que j’ai voulu faire justice dans une forêt avec des créatures protégées. Je ne veux pas en dire plus surtout dans ce moment solennel. »
La sœur hématite, prenait le verre et elle en profitait pour parler de manière discrète. Elle lançait dans l'esprit de la valkyrie :
« Le masque je poste actuellement est fait que j’ai voulu porter l’aide à l’actuelle consule de la République. Toutefois, j’ai été imprudente et j’ai reçu une sanction de la part de l’ennemi avec une attaque élémentaire de lave. Tu connais ce proverbe qui dit que la mort est plus préférable que certaines douleurs. J’ai réussi partiellement à récupérer mes membres perdus, mais il reste encore des traces sur mon visage. J’attrape plus facilement le froid et j’ai tenté de me soigner avec l’aide d’une guérisseuse. Néanmoins je ne sais pas si son remède fonctionne sur moi. »
Elle reprenait une conversation normale, quand elle finissait son verre et elle demandait à son tour :
« Que comptes-tu faire maintenant ou plutôt que vas-tu faire après ce moment de recueillement? »
La sœur Hématite décidait de lui dire ses plans pour le futur de manière magique encore une fois :
« je compte rembourser ma dette, dès que celle-ci est faite alors je partirai définitivement la République. Cette inondation a complètement détruit les tombes de mes parents. Ils sont définitivement partis vers le monde des cendres. Toutefois, j’ai encore une mission à opérer et une autre dette à honorer. La première consiste à découvrir le leg laissé par mes parents et il semble que je vais partir dans d’autres contrées. La seconde est malheureusement liée à la pègre en quelques sort à cause d’une créature ou plutôt un petit être du nom de Klak-Klak. Si tu le croises en chemin, n’essaie pas de le côtoyer avec toi. Il te causera de multiples incidents qui pourront te créer d’autres ennemis comme la pègre. »
Elle s’arrêtait cette discussion et elle attendait la réponse de l’espionne républicaine sur son futur. Elle regardait les autres tables qui se remplissaient et elle remarquait celle avec la petite blonde en compagnie d’autres combattants. La sœur hématite avait une petite idée du futur d’un des combattants et notamment le politicien au nom de Goldheart. Il allait avoir une investigation sur la mort de la présidente de la République. L’ancien ne officière de la grande armée se demandait si Orifa allait participer ou pas à cette enquête. Elle n’avait pas demandé son passé, car celui-ci était derrière et elle voulait entendre les perspectives d’Orifa. Néanmoins, elle se doutait que celle-ci n’allait pas lui dire une vérité ou plutôt une indication cachée à travers une phrase anonyme.
Ruby pensait partir pour Justice, car c’était la cité la plus proche et elle ne pouvait par perdre du temps pour rembourser sa dette envers la République. Elle espérait avoir une conseil concernant cette cité, car elle devait maintenant considérer les options. L’espionne républicaine pouvait peut-être lui donner d’autres options. Elle servait un autre verre et elle écoutait les propos de la Valkyrie quand elle commençait à bouger ses lèvres.
Dragon du Razkaal
Kieran Ryven
Messages : 346
crédits : 2509
crédits : 2509
Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Neutre Bon
Rang: C
Faut croire qu'une pseudo catastrophe massive retournant toute une nation n'a pas suffit. Les gens continueront de se frotter violemment, et pour rien.
Alimenter les conflits ne sera jamais ma came, et je garderai toutes mes pensées pour moi. Le regard rivé sur notre chère blonde, pensant blindée et suffisamment âgée pour passer au-dessus de ma boutade qui n'avait rien de vulgaire dans ma bouche, je récolterais le fruit de ce que j'ai toujours éviter de faire ; la taquiner. Des années. Des, longues, années, à essuyer des insultes anti-Reikoise, ou bien sur mon poids, mon gabarit, et je suis étonné qu'elle n'aie pas eu d'inspiration sur la couleur de ma peau, mes écailles ou bien ma queue dorsale. Se battre côtes à côtes, la protéger d'un Lanconda, ou risquer ma vie pour la chercher dans un océan d'araignées, me donnait de la confiance pour tenter de faire quelque chose de plus... Intime.
Moins partenarial, plus amical.
Qu'on avait passé un cap. Alors, voilà finalement le contrat de notre relation ; Drakyn silencieux et docile, Mercenaire insultante, mais payée. Je travaille donc avec une adolescente de plusieurs siècles. C'est ce constat, contrairement à ses mots, qui font disparaître mon sourire et mon regard amusé.
L'amertume commence à gagner de la place dans ma gorge, alors que je continue de l'observer jusqu'à ce qu'elle décanille du périmètre, un majeur en joue sur ma direction. Puis, la déception, une fois qu'elle est définitivement partie. Peut-être que j'avais placé trop d'espoir après ces évènements, peut-être que j'ai imaginé que nos nationalités et nos natures respectives n'étaient plus des obstacles.
Faut croire que je me suis fourvoyé. J'ai confondu ses années entières de mauvaises piques et de joutes comme des lignes codées pour exprimer la stabilité de notre relation. Un bel équilibre. En fait, elle était juste sincère. Je finis par hausser les épaules, résigné. La vie continue.
« Hm. Je vois. Bonne route, et bonne continuation, Sixte. »
Les vulgarités et les gestes déplacés sont le langage d'une alerte, je l'ai toujours interprété comme ça. L'expression de sentiments difficiles à refouler. Je la pardonne. Elle est en colère, elle doit probablement souffrir et elle porte en elle et sur elle des marques qu'elle n'a jamais demandé. Mais je ne lui laisserais pas l'occasion de me manquer de respect à nouveau, maintenant que je sais qu'elle est sérieuse. Et en parlant de langage grossier, c'est une bouteille qui tombe au sol qui m'interpelle.
Et, oui, le spectacle prépubère ne s'arrête pas là. L'odeur des phéromones dégagent, pour être remplacée par l'acné, la sueur du gros ronchon, l'égo, et, certainement la frustration. Après tout, il passe à côté d'une soirée picole et plus si affinité avec sa jouvencelle.
Et, le voilà, qu'il s'agite, gesticule, dans tous les sens en plus. Les yeux bougent, les mains se lèvent, les vulgarités s'enchaînent, d'un geste très attendrissant, il essaie de rentrer dans ma tête, ma vie, et mes désirs. Je ne sais pas si je dois rire ou le prendre au sérieux.
« J'en prends note, Capitaine, j'ignorais que j'étais tout ça. »
Puis il remue tout ce qui est possible de remuer tandis que je cligne doucement des yeux. Ca serait dommage de le freiner dans son élan, il part tellement loin, il faut dire. Moi, puis Xera. J'hausse un sourcil sur la "valeur du silence", comme si quelque chose en avait quelque chose à cirer sur la tension de son paquet trois pièces envers une personne qu'il désire. Ma méthode de travail, en le voyant omettre délibérément que cette questionnette a fait sortir tout l'organigramme de l'Assemblée et de leurs ambitions. Que le gouvernement a été prévenu et que les défenses ont pu se dresser à temps. Et je n'ai pas souvenir d'avoir eu la bosse au pantalon lorsque j'abîmais notre chère Princesse de cœur. Prêt à déformer la réalité pour se défendre. Je voyais qu'il tentait avec toute la bonne volonté du monde de... Déféquer son malaise sur nous.
Et pour terminer la chanson...
« Ah, mes parents, aussi. Je ne le savais pas non plus, merci beaucoup. »
Suis-je bête, c'était sûr. Quand la colère double le manque d'argument, on se lance sur l'arbre généalogique. Un rictus moqueur me trahit. Puis de nouveau, j’hausse les épaules.
« Bon courage, monsieur Dosian, la vie est dure, mais ça va aller. » Que je salue en levant la main.
Ce qu'il y a à retenir : absolument rien, je n'ai pas le temps de voir des garnements rougir pour une histoire de sexe, le monde s'en cogne et on a du travail. Si ce n'est que la bêtise humaine, l'égo, m'impressionneront toujours. Le grain de culpabilité viendra s'installer quand... Je verrais cette bouteille, bien vide. Je me sépare alors de Takhys pour récupérer le récipient, un léger fond se balade tout seul avec sa honte, un peu comme notre couple préféré. Portée à sa propriétaire, je déposerais quelques pièces dans la paume de l'herboriste.
« Etant l'auteur de cette crise d'adolescence généralisée, acceptez ce modeste présent. Si cela, vous a "refroidis" à l'idée d'aller lever le coude, sachez que moi non. »
Je finis par ouvrir la voie, d'un pas lent, attendant une réponse. Un dernier regard vers les cercueils, le chaos ambiant de la ville, le souvenir de dizaines et de dizaines de morts à cause de cette attaque. Le climat avait ses nuances, vraies ou fausses, mais au moins les gens sont encore là pour le dire. Ils vivent, et mieux que ça... Ils prennent le luxe de se quereller. Quel gâchis.
« Dans le cas où vous prenez votre route, je vous dis à bientôt. » Que je salut d'une légère révérence.
Qu'elles viennent ou pas, je compte boire.
Alimenter les conflits ne sera jamais ma came, et je garderai toutes mes pensées pour moi. Le regard rivé sur notre chère blonde, pensant blindée et suffisamment âgée pour passer au-dessus de ma boutade qui n'avait rien de vulgaire dans ma bouche, je récolterais le fruit de ce que j'ai toujours éviter de faire ; la taquiner. Des années. Des, longues, années, à essuyer des insultes anti-Reikoise, ou bien sur mon poids, mon gabarit, et je suis étonné qu'elle n'aie pas eu d'inspiration sur la couleur de ma peau, mes écailles ou bien ma queue dorsale. Se battre côtes à côtes, la protéger d'un Lanconda, ou risquer ma vie pour la chercher dans un océan d'araignées, me donnait de la confiance pour tenter de faire quelque chose de plus... Intime.
Moins partenarial, plus amical.
Qu'on avait passé un cap. Alors, voilà finalement le contrat de notre relation ; Drakyn silencieux et docile, Mercenaire insultante, mais payée. Je travaille donc avec une adolescente de plusieurs siècles. C'est ce constat, contrairement à ses mots, qui font disparaître mon sourire et mon regard amusé.
L'amertume commence à gagner de la place dans ma gorge, alors que je continue de l'observer jusqu'à ce qu'elle décanille du périmètre, un majeur en joue sur ma direction. Puis, la déception, une fois qu'elle est définitivement partie. Peut-être que j'avais placé trop d'espoir après ces évènements, peut-être que j'ai imaginé que nos nationalités et nos natures respectives n'étaient plus des obstacles.
Faut croire que je me suis fourvoyé. J'ai confondu ses années entières de mauvaises piques et de joutes comme des lignes codées pour exprimer la stabilité de notre relation. Un bel équilibre. En fait, elle était juste sincère. Je finis par hausser les épaules, résigné. La vie continue.
« Hm. Je vois. Bonne route, et bonne continuation, Sixte. »
Les vulgarités et les gestes déplacés sont le langage d'une alerte, je l'ai toujours interprété comme ça. L'expression de sentiments difficiles à refouler. Je la pardonne. Elle est en colère, elle doit probablement souffrir et elle porte en elle et sur elle des marques qu'elle n'a jamais demandé. Mais je ne lui laisserais pas l'occasion de me manquer de respect à nouveau, maintenant que je sais qu'elle est sérieuse. Et en parlant de langage grossier, c'est une bouteille qui tombe au sol qui m'interpelle.
Et, oui, le spectacle prépubère ne s'arrête pas là. L'odeur des phéromones dégagent, pour être remplacée par l'acné, la sueur du gros ronchon, l'égo, et, certainement la frustration. Après tout, il passe à côté d'une soirée picole et plus si affinité avec sa jouvencelle.
Et, le voilà, qu'il s'agite, gesticule, dans tous les sens en plus. Les yeux bougent, les mains se lèvent, les vulgarités s'enchaînent, d'un geste très attendrissant, il essaie de rentrer dans ma tête, ma vie, et mes désirs. Je ne sais pas si je dois rire ou le prendre au sérieux.
« J'en prends note, Capitaine, j'ignorais que j'étais tout ça. »
Puis il remue tout ce qui est possible de remuer tandis que je cligne doucement des yeux. Ca serait dommage de le freiner dans son élan, il part tellement loin, il faut dire. Moi, puis Xera. J'hausse un sourcil sur la "valeur du silence", comme si quelque chose en avait quelque chose à cirer sur la tension de son paquet trois pièces envers une personne qu'il désire. Ma méthode de travail, en le voyant omettre délibérément que cette questionnette a fait sortir tout l'organigramme de l'Assemblée et de leurs ambitions. Que le gouvernement a été prévenu et que les défenses ont pu se dresser à temps. Et je n'ai pas souvenir d'avoir eu la bosse au pantalon lorsque j'abîmais notre chère Princesse de cœur. Prêt à déformer la réalité pour se défendre. Je voyais qu'il tentait avec toute la bonne volonté du monde de... Déféquer son malaise sur nous.
Et pour terminer la chanson...
« Ah, mes parents, aussi. Je ne le savais pas non plus, merci beaucoup. »
Suis-je bête, c'était sûr. Quand la colère double le manque d'argument, on se lance sur l'arbre généalogique. Un rictus moqueur me trahit. Puis de nouveau, j’hausse les épaules.
« Bon courage, monsieur Dosian, la vie est dure, mais ça va aller. » Que je salue en levant la main.
Ce qu'il y a à retenir : absolument rien, je n'ai pas le temps de voir des garnements rougir pour une histoire de sexe, le monde s'en cogne et on a du travail. Si ce n'est que la bêtise humaine, l'égo, m'impressionneront toujours. Le grain de culpabilité viendra s'installer quand... Je verrais cette bouteille, bien vide. Je me sépare alors de Takhys pour récupérer le récipient, un léger fond se balade tout seul avec sa honte, un peu comme notre couple préféré. Portée à sa propriétaire, je déposerais quelques pièces dans la paume de l'herboriste.
« Etant l'auteur de cette crise d'adolescence généralisée, acceptez ce modeste présent. Si cela, vous a "refroidis" à l'idée d'aller lever le coude, sachez que moi non. »
Je finis par ouvrir la voie, d'un pas lent, attendant une réponse. Un dernier regard vers les cercueils, le chaos ambiant de la ville, le souvenir de dizaines et de dizaines de morts à cause de cette attaque. Le climat avait ses nuances, vraies ou fausses, mais au moins les gens sont encore là pour le dire. Ils vivent, et mieux que ça... Ils prennent le luxe de se quereller. Quel gâchis.
« Dans le cas où vous prenez votre route, je vous dis à bientôt. » Que je salut d'une légère révérence.
Qu'elles viennent ou pas, je compte boire.
Légende du Razkaal
Seraphin du Razkaal
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Info personnage
Race: Lycanthrope
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Mauvais
Rang: B
Journal du Limier
Liberty, Place des Héros
Au sein de la ville de Liberty, marquée par les cicatrices d'une bataille récente, le Limier-Cerbère se tient, blessé mais inébranlable, au premier rang d'une cérémonie teintée de deuil et de commémoration. Son corps est l'écho vivant de la lutte acharnée contre des forces surhumaines, chaque bandage, chaque appui sur sa canne, une réminiscence de sa confrontation avec Akhos et l'avatar de Kaiyo. Dans le silence qui accompagne les discours, il est assailli par le souvenir du moment où il a imploré Kaiyo de lui octroyer sa puissance, qui à ses yeux lui revenait de droit. Une demande audacieuse, et surtout observée par de nombreux yeux, dont l'importance semble se diluer dans le tumulte de ses propres réflexions.
Les murmures à son sujet se perdent dans l'immensité de la place, mais il reste indifférent, du moins en apparence. Près de lui, la présence de la Dame de Hengebach apporte une tranquillité contrastée. Son esprit vacille entre la gratitude pour sa compagne et un sentiment de culpabilité corrosif. L'idée qu'il aurait pu la perdre dans la bataille, sans avoir été à ses côtés, lui est insupportable. Sa réflexion s'égare vers les visages familiers qui peuplent l'assemblée.
Kieran, son ami indéfectible, dont la bravoure ne cesse de l'impressionner.
Son oncle, figure de perplexité, à qui Seraphin n'ose adresser la parole.
Mortifère, l'usurpateur de ce qui aurait dû lui revenir de droit.
Soren, porteur de haine, dont les ambitions semblent se cristalliser autour de la vengeance.
Xera, la Fae guérisseuse, sans qui Seraphin aurait probablement succombé à ses blessures.
Takhys, la mystérieuse sirène, et leurs aventures surréalistes.
Sixte, la mercenaire au passé voilé, et Pancrace, avec qui les collaborations passées ont laissé un goût amer.
C'est finalement le visage de sa belle qui capte son attention totale. La douce pression de sa main dans la sienne le ramène à l'instant présent, à cette communion silencieuse entre eux. Il s'interroge sur ses pensées, sur ce qu'elle peut ressentir après tout ce qu'ils ont traversé. Après un moment suspendu, où le monde extérieur semble se dissoudre, c'est par un simple signe de tête qu'il lui propose doucement de quitter les lieux. Ensemble, ils se lèvent, leur départ marquant la fin d'un chapitre tumultueux, prêts à affronter ensemble les pages encore vierges de leur avenir.
Les murmures à son sujet se perdent dans l'immensité de la place, mais il reste indifférent, du moins en apparence. Près de lui, la présence de la Dame de Hengebach apporte une tranquillité contrastée. Son esprit vacille entre la gratitude pour sa compagne et un sentiment de culpabilité corrosif. L'idée qu'il aurait pu la perdre dans la bataille, sans avoir été à ses côtés, lui est insupportable. Sa réflexion s'égare vers les visages familiers qui peuplent l'assemblée.
Kieran, son ami indéfectible, dont la bravoure ne cesse de l'impressionner.
Son oncle, figure de perplexité, à qui Seraphin n'ose adresser la parole.
Mortifère, l'usurpateur de ce qui aurait dû lui revenir de droit.
Soren, porteur de haine, dont les ambitions semblent se cristalliser autour de la vengeance.
Xera, la Fae guérisseuse, sans qui Seraphin aurait probablement succombé à ses blessures.
Takhys, la mystérieuse sirène, et leurs aventures surréalistes.
Sixte, la mercenaire au passé voilé, et Pancrace, avec qui les collaborations passées ont laissé un goût amer.
C'est finalement le visage de sa belle qui capte son attention totale. La douce pression de sa main dans la sienne le ramène à l'instant présent, à cette communion silencieuse entre eux. Il s'interroge sur ses pensées, sur ce qu'elle peut ressentir après tout ce qu'ils ont traversé. Après un moment suspendu, où le monde extérieur semble se dissoudre, c'est par un simple signe de tête qu'il lui propose doucement de quitter les lieux. Ensemble, ils se lèvent, leur départ marquant la fin d'un chapitre tumultueux, prêts à affronter ensemble les pages encore vierges de leur avenir.
torture, blessure, infirmité, supplice psychologique, mort etc...
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Citoyen de La République
Orifa Sigrior
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Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
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L'Ere de l'Indépendance
Voilà qui était assez surprenant il fallait bien l’avouer, Orifa savait que la république n’était pas tendres avec des braconniers mais là c’était assez grave comme punition. La version officielle avait quand même un peu plus de classe due au fait que c’était au nom de la république. Pour la Valkyrie c’était pas vraiment choquant ce qu’avait fait Ruby, toute créatures étaient vouées à mourir et au vu des atrocités que les êtres humanoïdes étaient capable de faire entre eux … Tuer une créature protégée, à quoi bon ? Il y avait tellement de crimes bien pires que ça et pourtant qui restaient malheureusement impunis alors pour 2 - 3 créatures ça n’avait pas vraiment d’impact ou alors est ce qu’on mettait la vie d’un animal au-dessus d’un humanoïde ? Chacun avait sa hiérarchisation des priorités et si c’était celle de la république alors elle n’allait clairement pas contredire la République là-dessus.
- Tu as dû souffrir énormément pour te retrouver dans un état pareil … Je te plains crois moi … J’espère que tu vas pouvoir l’intégralité de tes facultés après ces soins …
Sachant que la Valkyrie prenait grand soin de son corps, si elle se retrouvait à devoir porter un masque contre sa volonté le restant de ses jours, il y avait peu de chance qu’elle accepte de rester en vie de la sorte.
Mais la question lui posait un état de conscience assez intéressant … Maintenant qu’est-ce qu’elle allait pouvoir faire ? C’était compliqué de le savoir avec la mort de Mirelda, elle perdait son dernier attachement à la république tout comme sa raison de vivre. Comme un flash, une information qu’elle avait oublié depuis bien longtemps commença à refaire surface. La présidente avait en sa possession le dernier acte qui pouvait faire le lien entre l’ancienne et sa nouvelle vie, avec ça entre ses mains plus personne ne pourrait la maintenir captive. Toute la république était sens dessus dessous, c'était le meilleur moment pour récupérer ce qui lui revenait de droit ! Surtout avant que les prochaines élections ne puissent se terminer.
Son air de recueillement commença à faire apparaître un petit sourire, elle avait enfin un nouvel objectif, à court terme certes mais un objectif tout de même.
- La pègre n’est pas vraiment un problème quand on a les bons contacts je peux te l’assurer. Personne ne s’attaque à moi dans la basse ville. Au pire une petite fouille surprise dans leurs commerces à le don de leur faire comprendre qui je suis.
Pourtant elle gardait dans un coin de la tête le nom de Klak-Klak prudence est mère de sûreté.
- Pour l’instant, je vais chercher les meurtriers de la présidente puis … J’aviserais, l’avenir me dira ce que je deviendrais. Qui sait peut-être que je rejoindrais également le rang des personnes recherchées.
Le SCAR avait montré son incapacité dans l’affaire de l’attaque de Liberty il y avait une chance que cela retombe sur le personnel actuel qu’importe l’efficacité que la personne avait pu avoir ces dernières années. Le passé était la preuve vivante qu’il ne suffisait pas de montrer ses capacités, devant la rage populaire, personne n’était à l’abri.
- Si tu veux payer ta dette envers la république, pourquoi pas rejoindre le SCAR ? Pas en tant qu'agent pour l’instant, mais en tant qu’informatrice ? Tu serais bien payé.
- Tu as dû souffrir énormément pour te retrouver dans un état pareil … Je te plains crois moi … J’espère que tu vas pouvoir l’intégralité de tes facultés après ces soins …
Sachant que la Valkyrie prenait grand soin de son corps, si elle se retrouvait à devoir porter un masque contre sa volonté le restant de ses jours, il y avait peu de chance qu’elle accepte de rester en vie de la sorte.
Mais la question lui posait un état de conscience assez intéressant … Maintenant qu’est-ce qu’elle allait pouvoir faire ? C’était compliqué de le savoir avec la mort de Mirelda, elle perdait son dernier attachement à la république tout comme sa raison de vivre. Comme un flash, une information qu’elle avait oublié depuis bien longtemps commença à refaire surface. La présidente avait en sa possession le dernier acte qui pouvait faire le lien entre l’ancienne et sa nouvelle vie, avec ça entre ses mains plus personne ne pourrait la maintenir captive. Toute la république était sens dessus dessous, c'était le meilleur moment pour récupérer ce qui lui revenait de droit ! Surtout avant que les prochaines élections ne puissent se terminer.
Son air de recueillement commença à faire apparaître un petit sourire, elle avait enfin un nouvel objectif, à court terme certes mais un objectif tout de même.
- La pègre n’est pas vraiment un problème quand on a les bons contacts je peux te l’assurer. Personne ne s’attaque à moi dans la basse ville. Au pire une petite fouille surprise dans leurs commerces à le don de leur faire comprendre qui je suis.
Pourtant elle gardait dans un coin de la tête le nom de Klak-Klak prudence est mère de sûreté.
- Pour l’instant, je vais chercher les meurtriers de la présidente puis … J’aviserais, l’avenir me dira ce que je deviendrais. Qui sait peut-être que je rejoindrais également le rang des personnes recherchées.
Le SCAR avait montré son incapacité dans l’affaire de l’attaque de Liberty il y avait une chance que cela retombe sur le personnel actuel qu’importe l’efficacité que la personne avait pu avoir ces dernières années. Le passé était la preuve vivante qu’il ne suffisait pas de montrer ses capacités, devant la rage populaire, personne n’était à l’abri.
- Si tu veux payer ta dette envers la république, pourquoi pas rejoindre le SCAR ? Pas en tant qu'agent pour l’instant, mais en tant qu’informatrice ? Tu serais bien payé.
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
Citoyen de La République
Xera
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Info personnage
Race: Fae (Mi-humaine)
Vocation: Mage soutien
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Pourquoi ? Pourquoi beaucoup de gens étaient ils gênés par une chose tout à faire naturel, comme le sexe, ou le sentiment amoureux ? Sixte après lui avoir fait les gros yeux, ce qui fit ni chaud ni froid à la demi-fae, se défoula sur Kieran. Bon Xera avait compris que ces deux-là se connaissaient professionnellement depuis un moment et avaient donc un passif. La blonde elfe prit congé, son amant prit la suite et visiblement, l’officier Dosian était celui qui avait le plus de difficulté à être confronté à ses propres sentiments.
La rousse le laissa déverser sa colère, les insultes ne l’atteignaient pas, elle n'allait pas se laisser pourrir sa première véritable soirée de détente depuis la nuit de l’attaque de l’assemblé par un ado attardé qui cachait son manque de confiance en soi, ainsi que ses frustrations en insultant les autres.
Mais alors gâcher du bon alcool, ça clairement, elle ne pouvait pas laisser passer ce genre de chose. Alors qu’il continuait à déverser son fiel, Xera fit appel à son lien avec la magie de l’eau pour récupérer le liquide qui se déversait sur le sol. Dans le même temps, elle se contenta de sourire face au flot d’insultes de Dosian, mais l’herboriste n’allait pas oublier l’officier et se jura de venger d’une manière ou d’une autre. C’était puéril aussi comme réaction, mais Xera n’avait jamais eu la prétention d’être parfaite.
Kieran resta stoïque et poli, la guérisseuse se contenta de rester silencieuse, sans le coup de la bouteille, elle aurait conseillé à l'officier républicain de bouger ses fesses et de courir après Sixte. Le drakyn récupéra la bouteille qu’il redonna à la rousse et lui glissa même quelques pièces dans la paume de sa main.
-J'accepte seulement pour payer ma tournée, mais avant ….
Xera libéra sa deuxième main en glissant les pièces dans son sac, puis la plaça devant elle paume ouverte vers le haut et rassembla l’alcool déversé sur le sol avec sa magie. L’hydromel s'agrège pour former une boule de liquide doré en lévitation. Enfin, elle reversa le liquide tant convoité dans la bouteille, une fois l’opération terminée Xera tendit la bouteille en direction de la sirène.
- Désolé, pour le spectacle Takhys, enchanté de faire ta connaissance, pour ma part, je n'ai pas envie de m’arrêter, c'est ma première véritable soirée de relâche depuis l’attaque de l’assemblé et je compte bien honorer nos morts en profitant de la vie.
La demi-fae glissa ensuite un bras sous celui de Takhys pour l'entraîner à la suite du Drakyn.
La rousse le laissa déverser sa colère, les insultes ne l’atteignaient pas, elle n'allait pas se laisser pourrir sa première véritable soirée de détente depuis la nuit de l’attaque de l’assemblé par un ado attardé qui cachait son manque de confiance en soi, ainsi que ses frustrations en insultant les autres.
Mais alors gâcher du bon alcool, ça clairement, elle ne pouvait pas laisser passer ce genre de chose. Alors qu’il continuait à déverser son fiel, Xera fit appel à son lien avec la magie de l’eau pour récupérer le liquide qui se déversait sur le sol. Dans le même temps, elle se contenta de sourire face au flot d’insultes de Dosian, mais l’herboriste n’allait pas oublier l’officier et se jura de venger d’une manière ou d’une autre. C’était puéril aussi comme réaction, mais Xera n’avait jamais eu la prétention d’être parfaite.
Kieran resta stoïque et poli, la guérisseuse se contenta de rester silencieuse, sans le coup de la bouteille, elle aurait conseillé à l'officier républicain de bouger ses fesses et de courir après Sixte. Le drakyn récupéra la bouteille qu’il redonna à la rousse et lui glissa même quelques pièces dans la paume de sa main.
-J'accepte seulement pour payer ma tournée, mais avant ….
Xera libéra sa deuxième main en glissant les pièces dans son sac, puis la plaça devant elle paume ouverte vers le haut et rassembla l’alcool déversé sur le sol avec sa magie. L’hydromel s'agrège pour former une boule de liquide doré en lévitation. Enfin, elle reversa le liquide tant convoité dans la bouteille, une fois l’opération terminée Xera tendit la bouteille en direction de la sirène.
- Désolé, pour le spectacle Takhys, enchanté de faire ta connaissance, pour ma part, je n'ai pas envie de m’arrêter, c'est ma première véritable soirée de relâche depuis l’attaque de l’assemblé et je compte bien honorer nos morts en profitant de la vie.
La demi-fae glissa ensuite un bras sous celui de Takhys pour l'entraîner à la suite du Drakyn.
La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
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Takhys avait toujours le sourire aux lèvres, se contentant de rester silencieuse, son bras accroché à celui plus musclé de son cavalier du moment. Quand la jeune blonde la salua, la tavernière le lui rendit, avec un large sourire avenant.
"C'est exact. " rajouta-t-elle pour entamer un début de conversation qui se coupera court par le départ de Sixte. Elle salua au passage Xera, qui était là, à écouter le revirement étrange et tendu des individus présents.
Quand elle posa ses yeux sur Pancrace, elle l'avait croisé plus joyeux, plus professionnel. Cette bataille avait miné bien des âmes et des cœurs. Ou alors, avait-elle raté quelque chose avec l'officier républicain ? En même temps, il devait avoir une belle liste de connaissances au sein de Courage et plus encore dans les forces républicaines. Et puis, le Drakyn ne s'était pas retrouvé avec eux, dans les parages de Magic. Chose certaine était que le beau brun aux yeux mordorés ne tarissait pas ses mots, en causant à Kieran, puis en le pointant du doigt. La Sirène eut peine à garder son léger sourire, apprenant bien des choses de l'écailleux auquel elle était accrochée. Dommage que la bouteille qu'il avait eue à côté de lui ait eu à faire les frais.
Tant que ce n'était que la bouteille après tout. Il y en aura bien d'autres dans les parages, avec tout le bordel qu'avait provoqué cet assaut. Toujours muette, elle se contenta donc d'observer et d'écouter. Elle tendit un point le regard vers Kieran, voyant quelques sentiments marquer son visage. Quand il s'exprimait, il restait simple et concis, mais elle percevait la pointe de sarcasme bien piquante derrière. Ça promettait.
Le Drakyn finit par se libérer de la Sirène pour aller ramasser la malheureuse bouteille et tendre un paiement à celle qui était la précédente propriétaire. Ou vendeuse ? Elle l'observa, se préparant à le suivre, quand elle crut reconnaître la silhouette de Seraphin. Ah ! Il était bien en vie visiblement. Elle ne put s'empêcher de sourire d'une bien étrange manière quand elle comprit où se portait son attention. C'était bien les mâles humains cela. Le réconfort ne se trouvait pas quand les fonds de bouteilles après tout.
La rouquine, qui avait récupéré la bouteille, comptait bien ne pas perdre le précieux breuvage. Takhys l'observa, impressionnée par le petit jeu de magie qu'usa l'herboriste pour récupérer l'hydromel qui s'était répandu par terre. Takhys se retint de rire en prenant la bouteille ainsi sauvée.
"Cela promet d'être un cru exceptionnel maintenant ! Je devrais apprendre à manier ce genre de magie, juste pour tester certaines façons de préparer les bières. " gloussa-t-elle. "Ravie également de faire ta connaissance, et tu n'en fais donc pas. Cette bataille n'a pas été facile. C'est normal qu'ils soient un peu... Soupe au lait. Comme tu le dis si bien, profitons de cette soirée !
Elle rit quand Xera glissa son bras sous le sien et l'entraîna à la suite de Kieran.
"Attendez-nous, on arrive nous aussi ! "
"C'est exact. " rajouta-t-elle pour entamer un début de conversation qui se coupera court par le départ de Sixte. Elle salua au passage Xera, qui était là, à écouter le revirement étrange et tendu des individus présents.
Quand elle posa ses yeux sur Pancrace, elle l'avait croisé plus joyeux, plus professionnel. Cette bataille avait miné bien des âmes et des cœurs. Ou alors, avait-elle raté quelque chose avec l'officier républicain ? En même temps, il devait avoir une belle liste de connaissances au sein de Courage et plus encore dans les forces républicaines. Et puis, le Drakyn ne s'était pas retrouvé avec eux, dans les parages de Magic. Chose certaine était que le beau brun aux yeux mordorés ne tarissait pas ses mots, en causant à Kieran, puis en le pointant du doigt. La Sirène eut peine à garder son léger sourire, apprenant bien des choses de l'écailleux auquel elle était accrochée. Dommage que la bouteille qu'il avait eue à côté de lui ait eu à faire les frais.
Tant que ce n'était que la bouteille après tout. Il y en aura bien d'autres dans les parages, avec tout le bordel qu'avait provoqué cet assaut. Toujours muette, elle se contenta donc d'observer et d'écouter. Elle tendit un point le regard vers Kieran, voyant quelques sentiments marquer son visage. Quand il s'exprimait, il restait simple et concis, mais elle percevait la pointe de sarcasme bien piquante derrière. Ça promettait.
Le Drakyn finit par se libérer de la Sirène pour aller ramasser la malheureuse bouteille et tendre un paiement à celle qui était la précédente propriétaire. Ou vendeuse ? Elle l'observa, se préparant à le suivre, quand elle crut reconnaître la silhouette de Seraphin. Ah ! Il était bien en vie visiblement. Elle ne put s'empêcher de sourire d'une bien étrange manière quand elle comprit où se portait son attention. C'était bien les mâles humains cela. Le réconfort ne se trouvait pas quand les fonds de bouteilles après tout.
La rouquine, qui avait récupéré la bouteille, comptait bien ne pas perdre le précieux breuvage. Takhys l'observa, impressionnée par le petit jeu de magie qu'usa l'herboriste pour récupérer l'hydromel qui s'était répandu par terre. Takhys se retint de rire en prenant la bouteille ainsi sauvée.
"Cela promet d'être un cru exceptionnel maintenant ! Je devrais apprendre à manier ce genre de magie, juste pour tester certaines façons de préparer les bières. " gloussa-t-elle. "Ravie également de faire ta connaissance, et tu n'en fais donc pas. Cette bataille n'a pas été facile. C'est normal qu'ils soient un peu... Soupe au lait. Comme tu le dis si bien, profitons de cette soirée !
Elle rit quand Xera glissa son bras sous le sien et l'entraîna à la suite de Kieran.
"Attendez-nous, on arrive nous aussi ! "
Citoyen de La République
Ruby Draglame
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Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Chaotique bon
Rang: C
L’ancienne officière de la grande armée écoutait avec attention les réponses de l’espionne républicaine. Toutefois, elle fut surprise quand elle entendait les propos sur la pègre et la proposition d’embauche. La sœur hématite ne répondait pas de suite sur le moment et elle envisageait les possibilités. Si la rousse masquée répondait pour être employée dans le renseignement pour la République, alors elle devait le faire via la magie dans l’esprit de la Valkyrie. Elle regardait avec seul orifice de son masque si une personne les écoutait et elle devait conseiller Orifa d’apprendre à communiquer dans l’esprit des gens. Elle voulait parler plus en détails pour la pègre, mais ce sujet était aussi délicat, car la rousse masquée pensait être surveillée par celle-ci.
La sœur devait en avant tout voir ce que la pègre allait lui demander comme service pour payer sa dette envers celle-ci. Néanmoins, elle avait l’intuition que le contenu de la lettre de ses parents décédés allait sûrement obliger à voyager. La rousse devait hiérarchiser entre la pègre, le scar et la lettre d’héritage. Ruby avait une réponse officielle qui dirigeait les oreilles vers une direction, mais officieusement elle l’indiquait ses intentions et autres questions. La femme rousse masquée voulait commencer par la discussion officielle et elle lançait :
« Je ne veux pas t’impliquer dans mes problèmes et je pense que je peux me débrouiller pour ce concerne la pègre. Quand à ta proposition je ne peux pas l’accepter, car comme je l’ai dit j’ai une mission à honorer. Néanmoins, tu peux laisser un mot sur un bout de papier pour que l’on se revoie quand j’aurai fini. Je pense t’écrire pour t’inviter dans ma prochaine résidence, et comme je l’ai dit elle sera à l’extérieur de la République. Je pense partir la cité Justice. Celle-ci est la plus proche et je pense rebondir sur mes pieds là-bas. Mais tu peux m’écrire ton adresse où je peux t’envoyer mon courrier dans le futur. Qu’en dis-tu ? Sinon mets-moi les bonnes adresses pour justice, je peux te paierai un verre quand on se verra là-bas."
La rousse masqué avec un seul orifice reprenait la conversation mais cette fois dans l’esprit de l’espionne républicaine. Elle commençait par un conseil utile pour le futur d’Orifa dans le milieu des ombres :
« Premièrement, pense à maîtriser la communication à travers l’esprit Orifa, cela te saura très utile. Toutefois, utilise-le parcimonie et avant assure-toi de connaître physiquement la personne avec tu veux communiquer. Néanmoins, dans un groupe sous un commande ce pouvoir de l’esprit te permettra de mieux gérer des hommes dans un combat ou dans une situation tendue. Je tiens à préciser que ce pouvoir est aussi facilement détectable. La prochaine fois, que l’on se parlera cette distance dans la même cité. Tu me diras comme aujourd’hui, sauf nous nous verrons pas physiquement. Maintenant revenons à tes demandes, je vais voir à quoi consiste mon héritage laissé par mes parents morts. Je pense poursuivre avec ma dette envers la pègre et après cela je veux bien coopérer avec le scar. Tu me parles de contacts au sein de la pègre et la basse ville, mais je ne vois pas dans quelle cité. Tu peux m’en dire plus, et maintenant disons que je ne vais pas à Justice, mais plutôt Courage. Tu peux me donner plus détails via le papier que je vais te passer tout à l’heure. Tu pourras mettre une sorte de sceau pour que personne ne puisse l’ouvrir mis à part moi. Je te dis ça au cas où j’ai affaire aux autorités et elles voudront chercher les traîtres. Sinon fais un courrier avec un message caché que les contacts comprendront quand ils liront celle-ci. »
La sœur Hématite demandait lettre et deux bouts papiers à un civil qui dessinait ce moment solennel. Elle lui remettait et elle attendait sa réponse officielle. L’ancienne officière de la grande armée décidait de ne pas lire les futures écrits de l’espionne républicaine.
La sœur devait en avant tout voir ce que la pègre allait lui demander comme service pour payer sa dette envers celle-ci. Néanmoins, elle avait l’intuition que le contenu de la lettre de ses parents décédés allait sûrement obliger à voyager. La rousse devait hiérarchiser entre la pègre, le scar et la lettre d’héritage. Ruby avait une réponse officielle qui dirigeait les oreilles vers une direction, mais officieusement elle l’indiquait ses intentions et autres questions. La femme rousse masquée voulait commencer par la discussion officielle et elle lançait :
« Je ne veux pas t’impliquer dans mes problèmes et je pense que je peux me débrouiller pour ce concerne la pègre. Quand à ta proposition je ne peux pas l’accepter, car comme je l’ai dit j’ai une mission à honorer. Néanmoins, tu peux laisser un mot sur un bout de papier pour que l’on se revoie quand j’aurai fini. Je pense t’écrire pour t’inviter dans ma prochaine résidence, et comme je l’ai dit elle sera à l’extérieur de la République. Je pense partir la cité Justice. Celle-ci est la plus proche et je pense rebondir sur mes pieds là-bas. Mais tu peux m’écrire ton adresse où je peux t’envoyer mon courrier dans le futur. Qu’en dis-tu ? Sinon mets-moi les bonnes adresses pour justice, je peux te paierai un verre quand on se verra là-bas."
La rousse masqué avec un seul orifice reprenait la conversation mais cette fois dans l’esprit de l’espionne républicaine. Elle commençait par un conseil utile pour le futur d’Orifa dans le milieu des ombres :
« Premièrement, pense à maîtriser la communication à travers l’esprit Orifa, cela te saura très utile. Toutefois, utilise-le parcimonie et avant assure-toi de connaître physiquement la personne avec tu veux communiquer. Néanmoins, dans un groupe sous un commande ce pouvoir de l’esprit te permettra de mieux gérer des hommes dans un combat ou dans une situation tendue. Je tiens à préciser que ce pouvoir est aussi facilement détectable. La prochaine fois, que l’on se parlera cette distance dans la même cité. Tu me diras comme aujourd’hui, sauf nous nous verrons pas physiquement. Maintenant revenons à tes demandes, je vais voir à quoi consiste mon héritage laissé par mes parents morts. Je pense poursuivre avec ma dette envers la pègre et après cela je veux bien coopérer avec le scar. Tu me parles de contacts au sein de la pègre et la basse ville, mais je ne vois pas dans quelle cité. Tu peux m’en dire plus, et maintenant disons que je ne vais pas à Justice, mais plutôt Courage. Tu peux me donner plus détails via le papier que je vais te passer tout à l’heure. Tu pourras mettre une sorte de sceau pour que personne ne puisse l’ouvrir mis à part moi. Je te dis ça au cas où j’ai affaire aux autorités et elles voudront chercher les traîtres. Sinon fais un courrier avec un message caché que les contacts comprendront quand ils liront celle-ci. »
La sœur Hématite demandait lettre et deux bouts papiers à un civil qui dessinait ce moment solennel. Elle lui remettait et elle attendait sa réponse officielle. L’ancienne officière de la grande armée décidait de ne pas lire les futures écrits de l’espionne républicaine.
Citoyen de La République
Orifa Sigrior
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Info personnage
Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal mauvais
Rang: C
L'Ere de l'Indépendance
Un échange par lettre ? Voilà qui était cruellement dangereux surtout pour pouvoir envoyer des informations sur le SCAR, mais après tout pourquoi pas ? Ruby n’était pas du genre à faire des erreurs de la sorte à première vue surtout au vu de la précaution qu’elle prenait pour éviter de se faire remarquer. Parler à travers l’esprit était cruellement intéressant pourtant comme la demoiselle au masque l’avait indiqué ce n’était clairement pas parfait et c’était le genre de chose qui pouvait se retourner contre elle. Une méthode de communication qui pouvait clairement être un avantage considérable et pourtant à double tranchant car il était totalement possible de se faire repérer à cause de ça. Au final à part la communication via le langage des signes ou alors par lettre chiffrée, il n’y avait pas vraiment de méthode infaillible.
Gardant dans un coin de la tête la possibilité d'acquérir une telle compétence elle préféra se concentrer sur la suite de leur échange, avoir une personne capable de travailler pour le SCAR n’était clairement pas une mauvaise chose surtout si cette personne était de confiance. Récupérant le bout de papier ainsi que le crayon il n'était pas très simple de savoir exactement quoi écrire, au final tout le monde dans la pègre de Courage devait la connaître, son surnom n’était pas forcément légendaire mais plutôt craint par beaucoup. Le genre de force que l’on veut éviter d’avoir contre soi.
Passant une main sous sa cape pour récupérer un petit couteau autour de sa cuisse, la pointe de ce dernier fit une petite entaille en haut de son pouce, laissant plusieurs gouttes de sang apparaître. Avec son index elle fit en sorte de remplir son pouce de rouge avant de le poser de 50° sur la gauche. Faisant la même chorégraphie pour cette fois remettre son pouce à 50° sur la droite faisant comme une sorte de cœur. Avec le crayon elle dessina un cercle autour avant de remettre le papier devant la demoiselle.
- Je n'ai pas besoin de mot pour que l’on comprenne cette marque. Peut-être que les nouveaux clans ne le connaîtront pas mais les vieux je peux t'assurer que personne ne viendra t’embêter. Pour l’adresse, tu peux écrire au QG du SCAR à Liberty elle me sera transmise sans faute.
Buvant rapidement le reste de son verre avant de se relever tout en gardant ses mains sur la table pour s’incliner en direction de sa partenaire.
- Merci pour ces conseils, je vais en tenir compte. En-tout-cas ce masque te va à ravir tu devrais le garder ça fait mystérieux a la prochaine et n’oublie pas de m’écrire.
Tournant les talons en remettant sa capuche l’air sombre et déterminée elle retourna dans les ombres, il fallait maintenant faire payer ceux qui avaient tué la présidente.
Gardant dans un coin de la tête la possibilité d'acquérir une telle compétence elle préféra se concentrer sur la suite de leur échange, avoir une personne capable de travailler pour le SCAR n’était clairement pas une mauvaise chose surtout si cette personne était de confiance. Récupérant le bout de papier ainsi que le crayon il n'était pas très simple de savoir exactement quoi écrire, au final tout le monde dans la pègre de Courage devait la connaître, son surnom n’était pas forcément légendaire mais plutôt craint par beaucoup. Le genre de force que l’on veut éviter d’avoir contre soi.
Passant une main sous sa cape pour récupérer un petit couteau autour de sa cuisse, la pointe de ce dernier fit une petite entaille en haut de son pouce, laissant plusieurs gouttes de sang apparaître. Avec son index elle fit en sorte de remplir son pouce de rouge avant de le poser de 50° sur la gauche. Faisant la même chorégraphie pour cette fois remettre son pouce à 50° sur la droite faisant comme une sorte de cœur. Avec le crayon elle dessina un cercle autour avant de remettre le papier devant la demoiselle.
- Je n'ai pas besoin de mot pour que l’on comprenne cette marque. Peut-être que les nouveaux clans ne le connaîtront pas mais les vieux je peux t'assurer que personne ne viendra t’embêter. Pour l’adresse, tu peux écrire au QG du SCAR à Liberty elle me sera transmise sans faute.
Buvant rapidement le reste de son verre avant de se relever tout en gardant ses mains sur la table pour s’incliner en direction de sa partenaire.
- Merci pour ces conseils, je vais en tenir compte. En-tout-cas ce masque te va à ravir tu devrais le garder ça fait mystérieux a la prochaine et n’oublie pas de m’écrire.
Tournant les talons en remettant sa capuche l’air sombre et déterminée elle retourna dans les ombres, il fallait maintenant faire payer ceux qui avaient tué la présidente.
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
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