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    Alerte : Défense de Sable-d'Or [Event] - Page 6 JvNj4PH
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  • Mer 24 Mai - 11:14
    Zombieland
    Feat Des morts et des vivants


    Surprise...

    Comme sans beaucoup de combattants éparpillés à travers le village, tu avais entendu les détonations assez loin de ta position. Un véritable choc s'était fait sentir, se répandant dans l'air comme une traînée de poudre et venant à faire vibrer l'espace d'un instant chaque cellule de ton corps. Pestant intérieurement, n'ayant pas eu l'occasion de contempler de ton regard sadique le spectacle de destruction, tu fus néanmoins étonnée par le reste des évènements. Des goules, ils en surgissaient toujours plus, des plus véloces, des plus habiles, des plus intelligentes... Vous vous épuisiez à tord sur des créatures qui ne semblaient pas pouvoir être entravées définitivement.

    Nul besoin de préciser à quel point cette situation t'irritée au plus haut point et provoquait chez toi un profond sentiment de solitude.

    Voulant ainsi prendre les devants, tentant d'avoir une approche différente de celle que tu avais eu jusqu'ici, tu vins à piailler une nouvelle fois très fort, suffisamment pour couvrir le son du chaos ambiant aux oreilles de la rousse au sol. Naturellement, tu cherchais à attirer son attention alors que tu vins à ralentir pour voler presque à ras le sol à son niveau.

    - Toi, continuer... à tuer les goules... Moi inspecter les... Portes avec l'autre.  

    L'autre... Difficile de lui accorder un nom puisqu'elles ne s'étaient jamais présentées. Et même si cela avait été le cas, tu aurais été bien incapable de les différencier. Pour toi, tout les humains se ressemblaient et étaient semblables à des insectes... Pouvait-on vraiment savoir si deux fourmis étaient jumelles entre elles ?

    Qu'importe... Reprenant le contrôle des airs, tu venais à te diriger vers les portes, la seule zone que jusqu'ici vous n'aviez pas prit la peine d'inspecter. Après tout, l'assaut semblait se dérouler du côté opposé à vous, hormis l'apparition des goules cherchant à se frayer un chemin depuis les souterrains, il n'y avait rien de bien alarmant à signaler... Tu n'étais pas du genre prudente, ni même méfiante, bien souvent, c'était ta trop grande confiance en toi qui pouvait coûter ta perte. Mais pas cette fois-ci. Si tu voulais régler ton problème rapidement, il te fallait être efficace.

    Ne prévenant pas alors ta passagère, tu vins à tourner sur toi même, la faisant chuter au passage dans les airs avant de la rattraper avec tes serres au niveau de ses épaules. Déposant celle-ci dans les hauteurs au niveau de la porte Sud, tu ne te perdis pas en monologue interminable...

    - Cherche... Crie si... tu trouves. 

    Un simple coup d'oeil vers elle pour s'assurer qu'elle avait saisi avant de survoler l'autre côté des portes Sud. Avec un peu de chance, tu viendrais à trouver la source de ce fléau infini qui commençait à submerger les profondeurs du village. Heureusement, avec les déflagrations provoquées par les deux sœurs et l'agitation générale, tu pus naturellement guider ta vision par la multitude de lumière qui abondait sur le petit village du Reike. Il te suffit d'un peu de chance pour mettre un terme à ce jeu qui n'était plus amusant.

    Résumé:

    CENDRES
    Noble du Reike
    Noble du Reike
    Zéphyr Zoldyck
    Zéphyr Zoldyck
    Messages : 264
    crédits : 469

    Info personnage
    Race: Humain
    Vocation:
    Alignement: Loyal neutre
    Rang: B - Oreille
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t1330-zephyr-zoldyck-termineehttps://www.rp-cendres.com/t2145-chronologie-de-zephyr#18202
  • Mer 24 Mai - 14:18
    Lorsque Zéphyr saute de l’épaule du géant, l’homme effectue un saut de l’ange avant de faire une roulade dans les airs et d’atterrir les deux pieds au sol. Indifférent au bruit sourd des ogres qui tombent derrière lui, il accorde au contraire un sourire en coin à Kahl. Si ça le change de son quotidien ? C’est peu dire. D’habitude, l’assassin agit en toute discrétion. Quand il s’agit de tuer, il préfère le faire d’un coup propre, direct, létal ; et s’il doit utiliser le poison plutôt que la lame, ses victimes meurent généralement quand elles sont toutes seules, afin qu’il n’y ait pas de scandales et de soupçons inutiles. Se mêler à une bataille comme celle-ci ne joue pas en sa faveur et ne met pas en avant son style de combat, mais quand le Reike est attaqué, on n’a pas parfois pas le temps d’agir en finesse. Le tout est de ne pas faire de son manque de force un handicap. Contrairement aux Dévoreurs, le maître-espion ne peut pas écraser une tête de zombie d’une seule main. Alors il met à profit son agilité et sa vitesse pour faire à sa façon le plus de victimes. Dans l’immédiat, il s’en est pris à deux géants, mais il surveille du coin de l’oeil l’Oni, qui arrive à décapiter l’une des abominations par la seule force de sa mâchoire.

    - Vous ne vous en sortez pas mal non plus, lâche l’Oreille d’un ton appréciateur. Mais j’avoue que votre style est plus approprié aux circonstances. En comparaison, vous arrivez à... L’homme s’interrompt alors qu’il évite in extremis un bras qui essaie de s’emparer de sa gorge. D’un geste fluide, le duelliste dégaine son sabre et coupe le membre atrophié au niveau de l’avant-bras. Puis il reprend, comme s’il n’avait jamais été interrompu. ... Vous arrivez à être beaucoup plus dévastateur que moi.  

    Mais il faut dire aussi que sa mission est autre. Le membre de la Main n’a pas rejoint l’escadron grise pour maximiser les dégâts, même si cet objectif reste essentiel. Son rôle est avant tout de découvrir si possible l’origine de l’attaque, et juste avant de laisser les ogres s’entretuer, il a bien repéré un petit détail au cœur de la mêlée.

    Du regard, Zéphyr cherche où se trouve Alasker alors qu’il démembre et tue, encore et encore. Il finit par repérer l’imposant lycanthrope au milieu de la cohue, et l’assassin s’apprête à accélérer dans sa direction quand une détonation l’interrompt.

    Interloqué, le combattant tourne la tête vers les remparts alors qu’une série d’explosion retentit vers les murailles.
    Il n’y a pas besoin d’être devin pour comprendre ce qu’il se passe.
    La dévastation a été trop forte. Le bruit trop puissant. L’impact trop intense pour que leurs fortifications résistent convenablement au souffle qui n’a épargné ni soldats, ni morts-vivants.
    Sable d’Or tombe, au moins pour la partie Nord.
    La horde s’engouffre désormais dans les failles et un juron s’échappe des lèvres de Zéphyr. Instinctivement, ses pieds se tournent vers la ville et il s’apprête à se diriger vers la cité quand quelqu’un qu’il connaît bien l’interrompt.

    Après tout, ce n’est rien moins que son clone qui le ramène à ses priorités les plus urgentes.

    - Non. J’y vais. Va trouver Al’. On a tous les deux vus quelque chose au-dessus de la mêlée et il faut vérifier ce qu’il en est.

    Un grognement lui répond mais le maître-espion ne proteste pas. Au contraire, il réaligne convenablement ses pensées, et ne tarde pas à prendre la parole.

    - Si tu vois un Dunnark ou Dey. Préviens-le qu’il y a sans doute quelque chose au-delà de l’armée de morts-vivants.

    Sans doute. Parce qu’il peut très bien s’agir d’une fausse piste et rien n’est jamais acquis, sur un champ de bataille.

    Son double, en tout cas, se contente d’un bref mouvement de tête, avant de démarrer sans dire un mot. Le maître-espion, lui, se contente de tourner la tête là où il a vu la dernière fois le bras droit de la Griffe, et il finit par repérer à nouveau le guerrier vermillon. Entre eux, évidemment, il y a une myriade d’ennemis, mais l’Oreille se faufile, tranche, anéantit la plupart de ses ennemis. Finalement, il se dégage un chemin jusqu’au dirigeant des Dévoreurs.

    - Tout au Nord, au-delà de la cohue. Il y a une anomalie. Je ne sais pas dire ce que c’est, ma vue n’est pas suffisante pour déterminer ce dont il s'agit. Mais ça peut être l’origine de la menace. Ou une magie de dissimulation. On n’a rien à perdre à aller voir, si cela peut arrêter cette hécatombe. Tu viens avec moi ?

    Un léger silence avant qu’il n’ajoute :

    - J’ai envoyé mon double vers les remparts. Je peux encore générer un clone pour nous épauler. Voire même deux. Mais je ne pense pas qu’il soit sage d’en créer au-delà, pour ne pas diminuer de trop ma vitesse et mon agilité.

    Résumé:


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  • Mer 24 Mai - 15:46
    L'audace de la femelle libérée
    Alerte : Défense de Sable-d'Or [Event] - Page 6 3110

    Alerte : Défense de Sable-d'Or [Event] - Page 6 Signas

    Dans la pénombre étouffante de la demeure du régent, Mordred observait la scène d'un regard acéré. Le chaos se répandait tel une sombre mélodie dépourvue de rythme, ébranlant l'harmonie fragile qui persistait encore parmi les rescapés. Les plaintes des blessés résonnaient, mêlées aux cris de la foule paniquée. Les ténèbres de la guerre avaient trouvé leur chemin jusque dans cette forteresse précaire, menaçant d'éteindre le dernier souffle d'espoir.

    Tout autour de lui, les civils et soldats, majoritairement adeptes du culte Schierak, cherchaient des réponses, des signes divins qui pourraient guider leurs pas dans cette nuit sans lueur. Les étoiles semblaient pâlir, témoin silencieux de leur désarroi. Mordred, lui, gardait ses yeux rivés sur le voile du destin qui se déchirait au-dessus d'eux. Une inspiration embrasa son esprit, alimentant l'élan de sa volonté.

    Tel un forgeron invoquant le feu primordial, Mordred s'avança au cœur de l'assemblée. Son visage, anguleux et ténébreux, émergea de l'ombre alors qu'il ôtait son masque, dévoilant les traits d'un homme marqué par la détermination. Les yeux d'ébène, tels des astres incandescents, balayèrent l'assistance en quête d'un écho favorable.

    Alerte : Défense de Sable-d'Or [Event] - Page 6 03_20012

    "Écoutez-moi, disciples de l'Empire, et prêtez l'oreille à la symphonie de mon verbe. Le destin, tel un archet invisible, trace les lignes de notre existence. Mais sommes-nous condamnés à demeurer les marionnettes de ce ballet macabre ? Je vous dis que non ! Le pouvoir de changer les notes de cette partition funeste réside en chacun de nous."

    Sa voix, aux intonations envoûtantes, s'éleva, enveloppant les âmes en détresse. Les mots qu'il prononçait semblaient tissés de brume dorée, porteurs d'une promesse insaisissable. Il voulait que son verbe les subjugue, que sa présence les magnétise, qu'ils écoutent, captivés, leurs yeux rivés sur le blanc de son habit immaculé.

    "Regardez autour de vous, chers fidèles. Dans cette nuit de tourments, ne voyez-vous pas le souffle céleste qui guide nos pas ? La lueur éthérée qui se dépose délicatement sur nos épaules ? Elle est là, prête à nous éclairer, à nous montrer la voie. Elle réside dans l'unité que nous formons, dans notre capacité à transcender nos peurs et à nous soutenir mutuellement."

    Pendant que Mordred parlait, ses complices se mouvaient en silence, manipulant adroitement les miroirs dissimulés dans l'ombre. La lueur vacillante des torches se reflétait dans ces surfaces polies, amplifiant leur éclat, donnant l'illusion d'un halo divin. Leur souhait ? Que le regard émerveillé des adeptes étreints par une fébrilité mystique ne vienne témoigner de la réussite de leur subterfuge.




    Thème musical

    "Unissons nos voix, nos cœurs, nos espoirs, et l'harmonie retrouvée illuminera nos pas. En ce moment sombre, nous sommes les maîtres de notre destinée, les artisans d'une symphonie qui transcendera l'horreur des ténèbres. Que notre foi envers le Soleil, la Lune et les Etoiles nous guide et nous fortifie, car nous sommes les gardiens d'une mélodie capable de déjouer les dissonances de ce monde tourmenté !"

    Après avoir tissé son éloquente parole, Mordred s'éleva tel un phare solitaire, guidant les âmes égarées vers un horizon encore incertain. Son regard, empreint d'une lueur intense, balaya la foule avec une bienveillance dissimulée. Il était le veilleur dans l'ombre, l'avatar de la lumière qui émergeait des ténèbres.

    Dans un dernier souffle de conviction, il déclara : "Mes chers, laissez briller en vous l'éclat divin de l'espoir. Élevez vos voix vers les cieux, pour que la symphonie de notre résilience résonne jusqu'aux étoiles elles-mêmes. Ensemble, nous triompherons de l'obscurité."

    Ainsi parla Mordred, tel un prophète forgeant sa propre destinée dans la forge des mots. Son corps fin et élancé se fondit dans l'ombre mouvante de la demeure, emportant avec lui l'espoir fragile d'un avenir meilleur, mais trompeur.

    Alerte : Défense de Sable-d'Or [Event] - Page 6 Signas

    Résumé :

    Mordred, tel un manipulateur subtil, déploie son talent d'orateur (sans pouvoir, pas le choix !) et sa présence charismatique pour influencer l'assemblée. A l'aide d'un jeu de lumière provoqué par ses complices qui manipulent avec silence les miroirs présents, il illumine ainsi sa robe nacrée afin de s'élever comme un avatar de lumière, porteur de la bonne auspice du culte du Schierak (faut lire Sad ). Son souhait, créer l'illusion d'un signe divin grâce à une mise en scène subtile avec ces miroirs. L'objectif est clair : manipuler les croyances des disciples du culte Schierak et les guider vers un avenir radieux, même au cœur de l'obscurité.
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  • Mer 24 Mai - 16:22
    Alerte : Défense de Sable d'Or
    Invasion venue d'outre-tombe


    Pourquoi les choses devaient-elles à chaque fois empirer ?! Broken Goat avait l’impression de vivre dans un cauchemar. Il aurait tellement voulu se réveiller sur sa natte avec comme seuls sons, les clapotis de l'eau, l'agitation de Kyouji dans ce qu'elle avait de plus ordinaire, les chants des animaux nocturnes et les ronflements paisibles de Bakt. En règle générale, Turu s’absentait la nuit afin d’aller chercher de quoi se nourrir. C’était une créature au mode de vie largement nocturne ou crépusculaire privilégiant le repos la journée, surtout l’après-midi. Le cobe avait vraiment envie que tout cela se termine. Mais au vu des soldats qui reculaient et des morts-vivants qui gagnaient du terrain, cela semblait très compromis. Peu à peu, l’hybride craignait ne pas survivre à cette nuit en enfer. Un de ses collègues de Kyouji avait rejoint les rangs des morts-vivants. Une famille allait-être orpheline d’un père. Car Broken Goat avait plusieurs fois entendu cet homme parler de ses enfants, comment ils grandissaient, leurs progrès à l’école ainsi que leurs vocations futures. Mais il ne verrait jamais ce qu’ils allaient devenir.

    Chaque fois qu’ils trouvaient une solution, les choses ne faisaient qu’empirer. Cela avait de quoi décourager, même un Broken Goat qui avait gagné pourtant peu avant une nouvelle énergie. Mais déjà, elle s’épuisait. Surtout avec les attaques psychiques de la chose. Sa vie en tant qu’être libre aura été courte. Alors que les civils étaient sur le point d’être exposés et que les effectifs de soldats en état de combattre s’épuisaient, les oreilles du Cobe se tournèrent en direction des ruelles un peu plus loin. Des sons intrigants, des cris, pas de peur, de désespoir, de morts vivants. Non, c’était ceux d’individus déterminés à en découdre. Puis de nouveaux soldats parés d’armures noires et rouges déferlèrent sur les cadavres ambulants, agissant sur eux comme un rouleau-compresseur. Les morts étaient décimés par ces troupes avec une facilité déconcertante. Cela redonna du courage aux troupes déjà présentes qui étaient à bout de souffle. Avec les Serres, les choses étaient devenues un peu plus simples. Et ainsi, les macchabés furent repoussés dans les eaux. Si Broken Goat voyait leur aide comme inespérée, il se sentait également un peu misérable à côté de ces gens.

    Tandis qu’un mage avait dressé une barrière de protection contre les attaques psychiques de la créature, Broken Goat soufflait un peu et remettait son armure. Il repensait aux paroles de Bakt tout en regardant les soldats d’élite en armure complète arrivés récemment. Ce n’était pas parce que des talents n’étaient pas valorisés qu’ils ne comptaient pas. Mais dans cette situation, le cobe en doutait un peu. Surtout en voyant que ces types avaient réussi aisément là où les soldats du port avaient eu beaucoup de mal. Clairement, ils ne jouaient pas dans la même cour. Mais pour un homme comme eux, combien avaient échoué. Etrange paradoxe de la loi du plus fort, vue comme une formule de succès, où pour un vainqueur, nombreux étaient les perdants. Et autre paradoxe, ces Serres étaient dépendantes des plus faibles, ne serait-ce que pour être nourris et équipés. Sans eux, ils n’iraient pas bien loin. Mais au Reike, on valorisait avant tout les guerriers comme eux. Le cobe ne cessait de repenser aux paroles de Bakt disant que quelque chose de non-valorisait n’était pas pour autant sans importance.

    L’ancien esclave contemplait l’eau devenu un endroit plus tellement sûr. Les Serres Pourpres maintenaient sans difficultés les morts-vivants dans l’eau et formaient un cordon de sécurité autour des civils et des soldats ordinaires et autres conscrits. La situation stabilisée, des hommes furent détachés afin d’aller traquer la créature responsable des attaques psychiques. Broken Goat avait récupéré son cheval qui s’en était miraculeusement sorti. Mais il semblait un peu nerveux et perturbé. L’hybride ne pouvait pas vraiment lui en vouloir. Cet animal en avait vu des vertes et des pas mûres et il était prêt à le laisser tranquille si c’était nécessaire. Même si se retrouver perché sur une monture le rassurait.

    Sous la pression de ses collègues restants, Broken Goat alla accompagner à contrecœur les hommes chargés de traquer la créature. Il avait finalement laissé le cheval avec ceux chargés de défendre le port. Cette bête en avait assez vu.

    Les soldats chargés de débusquer l’être responsable des attaques psychiques s’étaient séparés en plusieurs groupes de recherche avec au moins un membre des Serres Pourpres afin de gérer efficacement les morts-vivants. C’était l’un d’eux qui ouvrait la marche au sein de celui de Broken Goat. Il repoussait les cadavres avec une efficacité déconcertante. Grâce à son ouïe très fine d’antilope, le cobe cherchait l’origine des murmures. Il était un peu en retrait, ne sachant pas vraiment où se mettre, surtout au vu des soldats d’élite. Un type se plaignit des sons de ses sabots. Chose assez ironique quand les hommes en armure de métal des Serres Pourpres étaient d’avantage plus bruyants avec les cliquetis de leur accoutrement. Mais il était plus facile de s’en prendre à un esclave en manque d’expérience, race honnie et espèce-proie qui plus est, qu’à un soldat d’élite tuant les morts-vivants avec grande aisance. Un type qui en plus, se vantait de son courage. Le cobe soupira et ses oreilles se dressèrent de nouveau à la recherche d’un son. Un léger murmure qui devint plus précis.

    Comme si la créature avait compris que les nouveaux venus n’étaient pas là pour rigoler et qu’en leur présence, les choses seraient bien différentes, elle n’avait pas relancé d’attaque depuis. Un soulagement pour Broken Goat déjà usé par les attaques psychiques auxquelles il était très sensible en tant qu’hybride. Apparemment, ces derniers compensaient par un résistance physique. Le cobe en doutait vu qu’en tant que proie, il était sensible à la douleur. C’était un outil de survie, un signal pour fuir le plus loin possible en cas d’attaque. Les murmures se précisèrent. C’est alors que Broken Goat heurta avec la pointe de sa lance une casserole suspendue à une des maisons en brique crue et aux murs blanchis par la chaux, mais maculés de sang. Un peu plus loin, on pouvait voir un pâté de maisons multicolores. Le bruit métallique résonna, un son désagréable. Les murmures changèrent, comme si leur émetteur était perturbé. Un des soldats fit une remontrance envers l’antilope pour son bruit.

    Broken Goat pensait que la créature devait un minimum se concentrer pour lancer une attaque. Pourquoi ne pas chercher à miner sa concentration. Le cobe repensa aux sons de marteau du forgeron. C’était un bruit bien désagréable et cette casserole avec la lance n’était pas vraiment plus doux pour les oreilles. Il prit la casserole et la montra aux autres alors qu’ils se rapprochaient de l’origine des murmures.


    - Nous…utiliser… bruit… pour déconcentrer truc qui fait mal à tête… Lui… devoir concentrer…

    Les hommes soupirèrent, ne croyant pas vraiment à un tel plan. Il crut même entendre un ricanement venant du soldat d’élite à l’armure noire. Le cobe garda la casserole sous le coude tout en baissant la tête. Il pourrait peut-être tester quand ils seraient face à la créature, mais en y repensant, il déconcentrerait aussi les soldats. Le groupe se stoppa. Ils sentaient qu’ils s’approchaient. Mais était-ce bien sûr ou une simple illusion. Jusqu’à maintenant, toutes recherches de l’insaisissable être s’étaient révélées infructueuses.

    CENDRES

    Résumé:
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  • Mer 24 Mai - 18:40
    Du sol l’explosion ne fut ‘que’ une onde de choc violente soulevant poussière et éléments les plus volatiles de la citée passant dans un souffle chaud au milieu des ruelles, un souffle chaud bien loin de déranger l’élémentaire s’acharnant à combattre les créatures dégageant elle-même une température bien plus haute. Du ciel la situation fut quelque peu différente. L’onde de choc fut en tout point identique de même que le souffle provoqué cependant, en plus, du coin de l’œil Miya pu constater une colonne de flammes s’élevant vers le ciel alors que les remparts semblaient littéralement disparaître sous l’impact emmenant avec eux tout une partie du quartier nord et du marché. Incapable de quitter des yeux la scène elle regarde les pierres retomber sur la ville dans une pluie funeste. Dents serrés, elle s’accroche à sa monture qui descend vers sa sœur, profitant de sa remontée pour lui glisser quelques mots.

    Il y a des complications.
    - Ça nous concerne ?
    - Ça pourrait.
    - On continue de chercher ?
    - Non, maintenant il va falloir trouver.

    D’un signe de tête, Shaïna acquiesce avant de se retourner vers la ruelle. Les ordres sont simples, la mise en place est loin de l’être. Elles savent toutes les deux le rôle qu’elles ont à jouer dans cette situation, même si Boréas ne leur avait rien dit les tâches auraient été répartie de la sorte. Pour la première fois depuis plusieurs minutes l’élémentaire s’arrête, regardant la zone. Des foyers de flammes, des trous dans le sol, des créatures s’en échappant… Et elle seule comme rempart. Mais servir de rempart n’est plus suffisant. Jusqu’à maintenant elle pouvait se permettre de gérer les problèmes les uns après les autres, limiter ses flammes pour limiter les risques. Pas la solution la plus efficace mais une solution lui offrant un bon entre-deux entre défense de la ville et attaque des créatures. Mais l’équilibre du nord est rompu, la situation peut rapidement empirer maintenant que les soldats ne peuvent plus bénéficier de l’efficace protection des murs de pierres. Prendre son temps n’est plus une option, un choix doit être fait, attaque ou défense, il faut que la balance penche d’un côté. Et en ce qui concerne la défense d’autrui l’élémentaire n’est pas la personne la plus apte du champ de bataille pour remplir ce rôle. Une situation dont elle a parfaitement conscience.

    Reprenant sa course, elle rejoint le premier tunnel nouvellement formé. Une giclée de lave vient accueillir les mains raclant le sol et les zombies partiellement sortis. En quelques secondes le ménage est fait, pour l’instant du moins plus aucune créature ne tente de sortir de la plaie béante ouverte dans le sol. Inspirant profondément, Shaïna tend les mains devant elle, paume vers le ciel. Elle n’aime pas cet exercice, la maîtrise magique est quelque chose qui convient bien mieux à sa sœur. Mais Miya n’est pas là, elle est occupée à inspecter les remparts, à chercher la source de cette agitation dans l’espoir de pouvoir définitivement mettre un terme à cette source de problèmes. Lentement une sphère de lave apparaît dans ses mains grossissant doucement. Après quelques instants, quand elle juge que sa création a atteint une taille idéale, elle s’abaisse, la faisant rouler dans la galerie. La sphère occupe une bonne portion du corridor et elle a été modelée pour garder sa forme plusieurs minutes. Quand bien même elle perdrait sa consistance, cela résulterait en une flaque de magma ralentissant toujours les opposants. Et avec le temps, le magma durcissant devrait combler l’entrée. En théorie.

    Une fois la sphère déposée, Shaïna s’attaque aux autres puits, nettoyant d’abord l’entrée avant de déposer sa création à l'intérieur et passer à la suite. Elle suit ainsi les différentes ouvertures dans la partie sud de la ville, nettoyant les rues quand elle rencontre de nouvelles créatures si les ouvertures la force parfois à revenir sur ses pas elle en profite pour injecter un nouveau souffle de lave dans les tunnels dont elle vient de s’occuper. Deux précautions valent mieux qu’une et même si ces exercices et le maintien de sa magie depuis plusieurs longues minutes commencent à la fatiguer, elle continue, courant d’une ouverture à l’autre, ne prêtant pas attention au sol pour une autre raison que l’apparition des puits, quand bien même ses interventions commenceraient à faire doucement chauffer le sable du quartier sud vers des températures qu’il n’est pas censé atteindre.

    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

    Pendant ce temps Miya continue son inspection de la zone sud, arpentant les remparts. De temps en temps la rouquine s’arrête, regardant en contrebas à la recherche d’un détail avant de passer à la suite. Après un aller-retour sur la muraille, elle s’attarde un instant sur les quelques soldats et citoyens présents au pied de la porte. Cette pensée n’est pas agréable et la fait grimacer mais un traître peut se cacher n’importe ou, si quelqu’un décidait d’ouvrir la porte Sud il ne faudrait qu’un instant pour que la situation passe de préoccupante à désastreuse. C’est avec cette pensée en tête qu’elle continue d’inspecter la zone surveillant avec attention les mouvements humains. Sa première pensée lors de son affection au Sud de la ville était la responsabilité que cela implique. Loin du front mais responsable de la dernière ligne de défense, de la porte de sortie au cas où la bataille serait perdue, au cas où les événements pousseraient l’armée à devoir se replier. Une place importante, une grande responsabilité dont sa sœur n’a pas encore pris conscience. Une responsabilité encore plus grande maintenant que le nord est tombé.
    Résumé & pouvoirs:
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  • Mer 24 Mai - 20:51
    Il se redressa sur le toit un petit peu avant la déflagration, observant le cou de la créature tomber sur le sol avec sa tete. Mort. Parfait. Si ceux de l'autre coté arrivaient a passer derrière, ce rempart naturel allait etre d'un grand secours quand a la stratégie de gagner du temps de l'elfe. Mais ce qui arriva ensuite lui détourna l'attention vers l'est, la ou il eu l'impression que le monde s'embrasait.

    Pas le temps de réfléchir, il n'attendit même pas de voir le résultat pour ce douter de ce qu'il en était. Il fallait bouger, tenir cette position n'avait plus aucun sens. Ils allaient se faire prendre a revers ou par le coté. Tout ça pour ça, il se demandait bien comment un rempart de cette hauteur et cette robustesse avait pu voler en éclat. C’était une catastrophe. Beaucoup de gens était sur le point de mourir.

    Une seule idée lui traversa la tete. Il devait s'assurer que les moyens d'évacuations n'etaient pas tombés. Sinon, la ville et ses derniers survivants etaient perdu et il n'aurait plus qu'a chercher une porte de sortie lui meme. Il nettoya son sabre avant de partir a l'opposé de l'explosion, vers l'ouest. Vers le port.

    En chemin, il croisa un bon nombre d'escouade, de survivant divers qui essayaient de s'en sortir. Il descendit dans la rue se battre épaule contre épaule contre une escouade de jeunes volontaires qui n'avaient plus pour seul carburant que le courage et l'instinct de survie. Ils avaient étés diminués de moitié durant les affrontements. Il parvint a découper un mort juste avant qu'il ne fasse d'un bras son repas du soir. Il n'en aurait plus aucun aprés que le coté de sa tete se fasse embrocher par l'une des dagues que l'elfe utilisait pour tuer les plus petites créatures plus rapidement.

    - Vers le port, il n'y a plus rien a sauver par la bas.

    Il les poussa en avant et quand ils furent assez éloigné du plus gros de la vague, les dépassa en remontant sur les toits pour gagner en visibilité. De partout, ça affluait ici et la, pour fuir ou pour mener le combat dans des espaces plus propice a la défense.

    Il sentit l'odeur de la mer avant de la voir, a peine apparente par dessus la putréfaction et la mort ambiante. Il n'avait pas énormément a faire, car visiblement, la situation était encore sous contrôle. Il sauta dans la rue et signala sa présence en prenant un petit groupe de mort a revers, facilitant le travail de sape que les lignes défensives s’évertuaient a travailler.

    Puisque les murailles etaient tombés, il ne restait plus qu'a sauver le maximum de monde et a fuir. Il n'etait pas du genre a mourir pour l'Empire. Il avait d'autres choses a faire de sa vie.




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  • Mer 24 Mai - 21:29
    image rp

    Message 4

    • Salutations, camarades.

    D'un mouvement de ses deux mains, le facies de porcelaine qui le couvrait disparu, révélant aux troupes le visage d'Afosios. Entre ses dents, pendait le petit pendentif qu'Ayshara lui avait un jour offert et qui lui donnait par là les mêmes pouvoirs que les siens. Tous le connaissait, ce symbole qui faisait de son porteur une extension physique de la souveraine. Et aucun n'aurait jamais l'audace de s'y opposer. Avec le masque tombait également la règle sainte des allitérations. Tombant dès lors dans les bras de Morgoth, il placa ses mains autour de son visage, semblant près à l'embrasser.

    • Votre arrivée fut providentielle ! Mon doux chevalier noir, un jour je vous passerais la bague au doigt. Un bel anneau en or pour Morgoth, ce serait parfait.

    Sur cette petite insolence, son visage se durcit, devenant aussi sérieux que ne l'exigeait la situation. Plus que tout, il devait prendre la parole, la monopoliser, afin de dicter ses ordres. Ne pas leur laisser le temps de poser des question, ni même de réfléchir à la situation. La Griffe ne serait certainement pas heureuse de découvrir le mensonge d'Afosios, alors que ce dernier venait de l'amputer d'une partie de ses soldats d'élite. Aussi l'Arlequin devait-il faussement prouver qu'à défaut de leur apporter une réponse claire sur la position de l'insondable adversaire, il maitrisait néanmoins la situation.

    • La créature n'est pas seule. Comme nous aurions dut nous en douter, trois sbires la seconde dans ses attaques contre notre peuple. Ils ont tous profités d'un instant d'inattention de ma part pour s'enfuir. Je n'ai pas vu où la créature allait, mais ses acolytes ont laissés des traces visibles de leur fuite.

    Il désigne les trois zones principale entourant le port. De belles maisons colorés, à présent vides de vie, portaient en elles les espoirs de Sable d'Or et d'Afosios. En effet, ce quartier irisé, expressif, serait absolument parfait pour une demeure de villégiature ! Il disposait d'une belle vue sur le port, offrait des opportunités de rénovations uniques et, mieux que tout, le prix de l'immobilier venait de chuter. Ce serait une erreur monumentale que de ne pas profiter de l'occasion. "Afosio-Polis", ce serait un nom proprement parfait pour renommer la zone, une fois que le monstre qui y stationnait serait exterminé. Ou "Afofo Town" ? Oh, peu importe, là n'était pas l'urgence. Son pieu mensonge devait continuer.

    • Nous devons agir au plus vite pour les rattraper. Vous, là ! Il désigne la quinzaine de garde désormais sous ses ordres. Divisez-vous en trois groupe de cinq et décidez d'un chef pour chaque. Il restera en communication avec le télépathe et le tiendra informé de vos avancées et découvertes. Avancez prudemment, je ne tolèrerais pas que cette chose infame ne prenne la vie d'un seul autre fier soldat du Reike. Je vais me positionner sur les hauteurs pour surveiller les alentours et vous préviendrais si je détecte quelconque trace d'ennemi. Exécution !

    Broken Goat arrive sur ces entrefaites, semblant grandement épuisé des divers affrontements qu'il dut mener, tant physiquement que mentalement. L'Arlequin démasqué ne pouvait nier que sa volonté de participer aux recherches avait beau être admirable au vu de son état, elle était surtout dangereuse, autant pour lui que pour les soldats. Il n'était pas rompu au combat et se montrerait un adversaire des plus inutiles. Pourtant, on voyait bien dans les yeux de la demi-bête une ardeur sans faille qui ne souffrirait aucun refus. Il n'était pas dans les droits d'Afosios que de refuser à un guerrier le privilège du combat. Aussi lui adressa t-il un sourire sincère avant de se tourner vers les Serres et le magicien qui les accompagnait.

    • Vous, le mage, voyez si vous pouvez aider notre ami hybride. Il a sûrement subit d'important dommage suite aux attaques de la créature et plus que nous tous ici, il mérite notre soutien. Comportez-vous à son égard de la même manière que vous vous comporteriez envers un camarade.

    Les directives ainsi données, l'homme-cobe se joignit à l'un des groupe et la traque débuta. Afosios disparu sur les toits de ses futures acquisitions immobilières et entama sa surveillance, observant autant les rues qui cerclaient les demeures où enquêtaient les différentes groupes de recherches que le mage qui faisait la liaison entre chacun d'entre eux et lui-même. Il ne restait plus qu'à attendre. Sitôt le moindre signe de la chose serait-il mis en évidence que le nobliau se jettera en cette direction.

    Patience, pourriture, patience ... L' heure de ton glas sonne.

    Heureusement pour toi, ce glas aura la plus douce des apparences, car elle portera le visage le plus beau de tout le Sekai.

    Qu'est-ce que ... Un Elfe se dirigeait en leur direction ? Voila qui devenait intéressant. Attendons de voir s'il apportait avec lui le salut ou la damnation.



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  • Mer 24 Mai - 23:25
    Astryd demanda quelle était les aptitudes de Brak avant de le voit user de ses marteau et de comanter qu'il semblait avooir une affinité avec ses marteaux. Mais avant que Brak ne puisse répondre tout en continuatn de la protéger elel et le groupe la situation évoluait rapidement.

    alors que la situation sur els remparts semblait presque se stabiliser a défaut de s'améliorer et que les pesteux commencait a flamber et exploser, Très vite la situation cependant dérappa sérieusement quand l'explosion des pesteux se transforma en réaction en chaine se raprochant de plsu en plus des murs pour au final les faire s'efondre en plusieur endroit.
    Brak du à Tagar de ne pas être blessé davantage et au dernier moment dan sun geste insctinctif de survie Brak se replia autant qu'ilel put derière le bouclier former par son ami Tagar.

    Après l'explosion et les nouvelles breches par lesquelles les mrts deferlèrent dans la zone nord est de la ville. rester sur les rempart ne servait plus a rien puisque les zombis venais mainteant de toutes parts autant se replier et d'aileur c'est ce que fit Tagar en alant vers le sud et les rues tout en posant sut un toit et refaisan tune boule de métal pour ecraser els zombis dan sles rues.

    belel initiative s'il en est mais Brak avait bien vu l'épuisement de Tgaar sur son visage il était un excelent mage a 'ne point douter mais moins habitué que lui aux champs de batailel ou aux arènes. Brak ne pouvait humainement PAS laisser son meilleur ami a moitié épuisé ainsi exposé alors sans attendre Brak s'envola à sa suite pour le couvri ouvrant bien les neuneuils et volant juste au dessus de la boule. son but terasser les zombis ayant échappé à la boule qui se relevait.

    usant de se deux marteaux Brak les lança dan sune suite de lancé rapide en un genre de bombardement usant pour ce faire de son lancer légendaire du dragon permetant a ses amrteaux d'ateindre leur cible (les zombis) et de revzenir ensuite dans ses paluches. Brak coupla ses lancer de marteau avec sa grande force. Brak prenait particulièrement a ce QU'AUCUN zombie de n'approche de Tagar


    résumé :

    _ Brak après l'enchainement d'explosion s'envole à al suite de Tagar en basse altitude juste au dessu de la boule de tgaar dan sles rues.
    _ Brak lance ses marteaux avec force de sa prouesse d'arme de lancer sur les zombis écahpant à ala boule
    _ Brak fait particulièrement attention a ce qu'AUCUN zombis ne s'approche de Tagar

    utilisation des pouvoirs :

    vol palier 1 : plusieurs fois
    force palier 1 : 2 fois
    prouesse d'arme : lancer de marteaux du dragon : 1 fois
    force palier 2 : 1 fois


    voix et thème de Brak'Trarg:


    Bric à Brak (inventaire de Brak'Trarg:


    Alerte : Défense de Sable-d'Or [Event] - Page 6 W84111
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  • Jeu 25 Mai - 15:43




    Zaïn abaissa alors son regard vers sa tenue azur et constata avec horreur qu'elle n'avait plus rien de bleu. Le tissus était entaché de toutes parts de tâches de sangs et d'autres fluides, le haut était troué au niveau de l'épaule, des fils pendaient et s'effilochaient, tandis que les coutures de l'entrejambe avaient lâchées. Même le meilleur couturier et le meilleur savon combinés ne parviendraient pas à récupérer cette tenue. Mais il n'eut pas le temps de se morfondre sur son état déplorable, une explosion retentit, puis une seconde et une troisième avant qu'une quatrième ne suive. Zaïn n'eut pas à chercher d'où provenaient les déflagrations. Il vit immédiatement les porte-peste mêlés à la horde exploser à la chaine, balayant une bonne partie des morts environnants, mais s'approchant surtout dangereusement de la muraille.

    L'hybride sentit littéralement le roussi arriver pour lui et se jeta d'un bond de plusieurs mètres derrière le bouclier que Tagar eu le temps de former. C'était moins une, lorsqu'il se retourna, à l'abris, il pu voir l'emplacement où il se tenait la seconde passée se faire pulvériser par des flammes et s'effondrer. S'en était fini de Sable-d'Or, les murailles étaient tombées pour de bon. Le replis fut sonné presque immédiatement et Tagar mena l'opération en bon leader qu'il était. Ses gardes et lui-même, accompagnés des quelques soldats et archers survivants, se ruèrent au bas des vestiges de remparts, perçant la poussière et les gravats pour courir en direction des nouvelles lignes de défense.

    Zaïn leur emboita le pas, non sans jeter un regard dans le ciel pour s'assurer que la tâche rouge de sa bien-aimée y était toujours en sécurité, se mêlant à la voute céleste. Il se devait de survivre pour elle. Il le fallait. Ne pouvant voler comme Brak le fit, il suivit le groupe de Tagar, courant derrière sa boule de métal. L'hybride fermait la marche en filant des coups de pieds aux morts qui tentaient de les poursuivre.

    Tout se passait pour le mieux jusqu'à ce que le cadavre d'Ariane, une garde de Tagar, se releva à ses côtés, le prenant de surprise. La défunte se jeta sur lui, lui agrippant le jambe et le faisant trébucher. Dans sa chute, il écrasa de tout son poids la mort-vivante. Mais il n'eut pas le temps de se relever, la horde fut sur lui dans l'instant. Une bonne vingtaine de zombies se jetèrent sur lui jusqu'à ce que Zaïn fut totalement recouvert d'une masse grouillante. De l'extérieur, il était impossible de le discerner à présent, il avait été noyé dans la masse. Mais sous le tas de zombies, coincé, Zaïn avait renforcé tout son corps, évitant les morsures et les lames que les morts lui assénait. Leurs dents et leurs dagues se brisaient contre sa peau, mais ses réserves de mana ne tiendraient pas longtemps et alors il serait empalé de toute part.

    L'hybride-renard ne voyait plus rien, il suffoquait, écrasé et presque broyé par la horde qui tentait de percer son armure. Il ne pensait même plus à sa tenue tachée et déchirée, il ne pouvait tout simplement plus réfléchir, et ses vêtements étaient réduits en lambeaux de toute façon. Soudain, sans réfléchir, il laissa libre cour à sa rage. Un poing serré s'éleva de sa masse, avant de disparaitre de nouveau dedans pour aller s'abattre violemment contre le sol dans un coup dont la puissance propulsa en arrière tous les zombies alentours !

    Le sol se fissura, se craquela dans un cratère de plusieurs mètres de diamètres, broyant les morts sous d'immenses gravats, les maisons environnantes de fendirent et s'effondrèrent sur la masse grouillante dans des volutes de poussière. La déflagration ne laissa plus que Zaïn, les vêtements déchirés, à moitié nu, les cheveux ébouriffés et imprégnés de poussière, le poings serré, recouvert de sang. Il se releva et s'extirpa d'un bond du cratère. La horde approchait déjà, et s'il ne voulait pas se faire submerger par le nombre, il se devait de courir.

    Mais dans quelle direction ? il avait perdu la trace de Tagar et de son groupe. Il était dans une ruelle sombre, ne sachant où se diriger. Par dépit, il décida de courir tout droit avant d'apercevoir la demeure du régent derrière ses murs, à une centaine de mètres. Courant le plus vite possible, il se dirigea vers la forteresse. Soudain, il s'arrêta. Face à lui, deux soldats clopinaient, bras-dessus, bras-dessous. L'un avait la jambe tordue dans un sens peu conventionnel et l'autre avait tout simplement plus de mollet. Mais ce n'étaient pas des morts-vivants, juste des soldats revenant de la muraille, tentant de rallier la demeure du régent malgré leurs blessures.

    Zaïn s'arrêta à leurs niveau et sans demander leur avis, ils n'avaient pas le temps de palabrer, il les souleva pour les porter sur son dos, chacun sur une épaule. Il repris alors sa course vers la demeure du régent, parvenant à passer les portes sans encombres. Il laissa les deux blessés aux soins des brancardiers. Zaïn porta machinalement sa main à sa ceinture, là où normalement il avait une petite poche avec une fiole de rhum pour les moments difficiles...

    - Fait chier ! Y'a un zombie qui m'a chipé ma gnôle ! Pesta-t-il, tapant le sol du pied.

    Soudain, ses yeux s'écarquillèrent quand ils se posèrent sur sa dulcinée qui l'avait suivit depuis les cieux.

    - Kilanna ! Appella-t-il, soulagé.

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  • Jeu 25 Mai - 19:25
    Elle était revenue vers les remparts... Ou ce qu'il en restait, se rendant bien visible aux yeux de Tagar, afin qu'il puisse modifier ses instructions s'il l'estimait nécessaire. Mais visiblement, ce ne fut pas le cas. Il se contenta de se replier, ses pouvoirs et le géant vert veillant sur lui. Bien. Elle n'allait pas s'ajouter à ce groupe, elle ne ferait que déranger ses membres. Alors, il lui fallait... Attendez. N'était-ce pas l'Oreille, en bas ? Que faisait-il ici ?

    Ou alors, peut-être était-ce un clone. Peut-être le même que celui qui avait bien failli lui ôter la vie lors de leur première rencontre... Elle sourit à cette pensée. La situation était bien différente, à présent. Elle se posa donc face à lui, prenant garde à ne pas le surprendre.

    - Bonjour, vous me reconnaissez ? Kilanna. Si vous êtes venu par ici, j'imagine que quelques informations ne seront pas de trop. Ce que je peux vous dire, c'est que ce cher Tagar a été très efficace contre les assaillants. Les remparts n'ont pas tenu, parce que nous avons dû éliminer des... Des espèces de maladies ambulantes qui explosaient à l'impact. Des bombes vivantes... Mortes... Enfin bref. Dans tous les cas, les remparts n'existent plus, notre groupe s'est dispersé. Je ne sais pas si ces informations vous aident pour quoi que ce soit, mais c'est ce que je peux vous dire. J'étais là-haut, j'ai pu tout observer.

    Elle avait pointé le ciel. Soudain, son attention fut détournée par une voix qu'elle connaissait bien. S'excusant auprès de son interlocuteur, elle reprit son vol, bien décidée à aider Zaïn, qu'elle ne perdait pas de vue. Plus il disparaissait, plus elle accélérait. Néanmoins, ce ne fut pas suffisant. Et lorsqu'il se libéra, elle se retrouva projetée au loin par le souffle de sa puissance. Elle avait beau battre des ailes, elle ne pouvait résister. Finalement, elle abandonna et se retrouva au sol au milieu des morts... Morts ? L'étaient-ils vraiment, cette fois ?

    Par prudence, elle reprit la voie des airs. Ses ailes commençaient à fatiguer, elle allait vite devoir changer de stratégie. Néanmoins, elle ne voulait plus lâcher son renard avant d'être certaine qu'il était indemne. Et s'il finissait par la tuer... Soit. Elle ne résisterait pas. De toutes façons, elle ne se pensait pas capable de lui survivre. Le sort qu'ils encouraient tous, ici, était bien pire que la mort...

    Alors, elle le suivit jusqu'au bout. Lorsque ceux qu'il recueillit semblèrent étonnés de sa présence, elle ne ralentit pas. Lorsqu'il entra dans la demeure, d'un coup d'aile, elle lui emboîta le pas. Elle ne s'arrêta qu'à l'intérieur, se posant définitivement, du moins, elle l'espérait. Jamais elle n'avait été si heureuse de replier ses ailes. Alors, elle se rua sur son compagnon, ignorant complètement les potentielles autres personnes. Elle l'inspecta de manière aussi précise que possible.

    - Oh pitié, dis-moi que tu n'as rien...
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  • Ven 26 Mai - 1:46
    Attaque de Sable d'Or

    HAHAHAHAHAH HAHAHAHAHAH HAHAHAHAHAH HAHAHAHAHAH HAHAHAHAHAH H
    Le soudain afflux de fragments d’âmes est étourdissant. Lorsque les déflagrations retentissent c’est une montée brusque d’adrénaline et de torpeur qui envahit l’air, comme une trainée de poudre similaire aux explosions en chaîne qui remontent brutalement vers les remparts de Sable d’Or. Cet ascendant momentané de terreur laisse sa place à la panique lorsque les pierres sont projetées dans toutes les directions, les murs qui volent en éclats ne sont pas seulement ceux des fortifications qui tombent face à l’assaut des morts. C’est aussi ceux qui protégeaient les derniers espoirs des habitants de l’autrement paisible bourgade qui se rendent compte que rien ne pourra les soustraire au trépas terrible qui les attends. Ce sont ceux des militaires qui se résignent à l’évidence fataliste qu’il leur sera impossible de tenir leur serment de gardiens du peuple face à l’avancée inarrêtable des marches-morts. Cette panique éphémère laisse sa place à un sentiment bien plus amer dans les esprits, bien plus corrosif encore que la perte de tout ce qui est perdu, c’est le fait de renoncer à ce qui ne l’est pas encore. Le désespoir. D’ordinaire c’est une graine qui s’installe et effrite lentement les portes des psychées en effaçant toute pertinence de la joie de vivre. Là, c’est un sentiment plus viral, plus toxique, il étouffe les moindres pensées, fait baisser les bras aux citadins qui ne sont plus animés que par leur pulsions les plus primales de survie, mais ils ne voient pas comment ils pourront se tirer d’un tel carnage. Ils se bercent d’illusions en se rattachant à l’appétissante vision onirique d’un salut au bout de la ligne, mais au bout de ladite ligne, voici ce qu’il en est réellement:

    Les ruelles sont jonchées de cadavres qui n’ont pas le temps d’effleurer le repos éternel, ils sont rappelés à Sekaï pour entraîner amis et familles dans l’au-delà à leur tour.
    Certains corps trahissent leurs présences en dessous des gravats des remparts en faisant dépasser un bras ou une jambe ensanglantée dont les orteils recommencent à s’agiter.
    Les flammes des explosions ingurgitent les restes des maigres barricades, léchant les maisons encore debout de manière menaçante.
    Les zombies dominent les rues, la horde s’engouffrent dans les failles et remplis les allées principales d’un tapis de mort-vivants si bien qu’on ne voit plus le sol.
    Les rescapés hurlent, marqués par la folie et les traumatismes tant physiques que psychologiques, ils se ruent à l’abri derrière les lignes de replis, talonnés de près par l’armée des morts.

    Usant une nouvelle fois de sa téléportation pour faire échapper son hôte à la masse grouillante qui bouge comme une seule créature, Violence perche Mojian sur le toît d’une des rares bâtisses encore debout dans le quartier du marché. Là, à l’abri dans les hauteurs, le corps de l’ancien chasseur de monstre regarde la masse informe de marcheurs déferler sur la ville pareil à un tsunami qu’aucune digue ne peut contenir. Un tel spectacle arrache des rires à l’Incarnation de la Guerre. C’est ça, C’EST ÇA! OUI, C’EST CE QU’ELLE EST! Rarement s’était-elle autant sentie exultante depuis la fin de la guerre des Titans, mais là elle retrouvait cette sensation jubilatoire de pure euphorie sanguinaire. Le pantin reste immobile, le dos courbé, les bras ballants vers le sol et les genoux à demi-arqués tandis que la lame dans sa main repose contre les tuiles et qu’elle observe le massacre.

    Ce cours moment de plaisir ne dure qu’un instant, car bientôt Mojian est rejoint sur le toit par deux chasseurs supplémentaires. Ceux ci possèdent visiblement une agilité suffisante et une intelligence légèrement supérieure pour pouvoir se hisser en haut du perchoir d’où Violence profite du panorama. Le Démon et son hôte se retournent donc pour faire face aux monstres nécrotiques qui ne perdent pas de temps, ils se ruent sur elle, glaive et lance à la main. Le corps de Mojian se balance en arrière dans un angle impossible pour esquiver l'empennage, réceptionné contre les tuiles par des bras de la Multitude qui apparaissent sur le métal de l’armure noire, en dessous de la cape, pour arrêter sa chute puis lui redonner l’impulsion nécessaire pour se redresser. En remontant ainsi, la marionnette empoigne le manche de l’arme d’hast au passage et tire dessus, guidant sa propre épée dans le crâne du premier chasseur. Le glaive rouillé du second glisse sur la brassière droite de Mojian avant de s’encastrer dans le pli de la coudière, faisant sauter celle-ci pour révéler le bras en dessous. Alors que Violence relâche sa prise sur le chasseur mort pour de bon et laisse son corps inerte tomber du toit, l’armée de mort en dessous piétine le corps de leur défunt confrère et éparpillent ses ossements de leur marche avide presque immédiatement. Elle redirige l’attention de la Sphère derrière le casque vers l’autre chasseur qui entrouvre déjà la mâchoire pour mordre dans le membre exposé, mais le Démon profite du geste pour planter les doigts gauches de son hôte dans les orbites vides et pourris de son adversaire, immobilisant le mort-vivant dans sa lutte mano à mano.

    C’est là, aux prises avec son adversaire que la Sphère capte un détail étrange, un homme apparaît à une dizaine de mètres de sa position dans une petite allée, sa présence s’est juste manifestée d’un seul coup mais la senseur magique n’a pas repéré de téléportation. Le guerrier en armure noire et aux ailes de sang manie ses deux lames et enchaîne mises à terre de mort-vivants avant de diriger son regard vers les remparts. Reportant son attention sur le macabé qui claque des dents dans le vide depuis un moment, le Démon retire ses doigts du crâne de son adversaire pour saisir le pommeau de l’épée toujours enfoncée dans la clavicule de son hôte, la dégaine et tranche net le crâne du réanimé. Lorsqu’enfin la Sphère cherche à nouveau le chevalier d’ébène, il n’est nul part à l’horizon.

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    VIOLENCE
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  • Ven 26 Mai - 5:11
    La pression que suscitait le combat   était bien présente. De partout se battait, le chaos était partout. Les morts évoluaient, et il avançait vite. Nous faisions notre possible pour nous en tirer, il fallait gagner, si Sable d’Or tombe, qu’elle serait la prochaine cible de ce releveur de Mort.  La nécromancie, c’était ce que j’ai toujours détesté dans mes lectures. Cet art occulte et typiquement lâche, il fallait être une ordure pour oser tourmenter les morts de la sorte. La haine devant ce genre de personne décupler mes coups, fougueuse je frapper essayant de tuer le plus possible de revenant, pour moi, plus on en anéantissait, plus on arrivait à les sauver, ces gens allait avoir un réel repos. Epée, lance , tout armes étaient bonne pour accomplir ma tâche violente.

    - Ne retenez aucun de vos coups mes amis…Dites-vous qu’une fois mort ! Ils auront un repos éternel ! Chose qu’on leur a honteusement dérobé !  

    Ma lame pourfendait tout ce qui passait à ma portée tandis qu’ils s’agglutinaient sur le mur de bouclier l’pce d’un instant je crus qu’il avait tenu mais, lorsque les flèches enflammées se libèrent une volée ardente. Quelque seconde puis une énorme détonation suivie d’autres, en un instant des portions de la muraille volèrent en éclats. L’explosion suscita une réaction en chaine. Mon regard se figea en voyant, trois archers au loin happée par une déflagration et projetée avec les débris.  La main tremblante, un constat vint alors, un échec …Une culpabilité certaines, comment mon ordre à t’il pu entrainer cela. Le visage figé, c’est Egath qui m’hurlait de partir, d’abandonner la portion e muraille où nous tenions.   Acquiesçant je fis sonner le cor, trois coups distincts. La poussière est là , partout, les explosions furent violentes.  

    - On se replis jusqu’au ligne arrière !    

    La réaction enchaine fit voler une autre portion en éclat.   La man gauche cramponnée à la lance, la droite à mon épée nous nous replions alors jusqu’ai ligne arrière. Des lancers adoptant un postier défensif couvraient notre retraite, sur le chemin je tuais le plus de mort possible. La Griffe nous vient dis de Nous replier, c’était ce que nous faisions. Tagar, le garde royal et moi ainsi que la garde personnelle du noble magicien, nous tachions de rallier les lignes arrières.  Il fallait que l’empire envoi plus d’hommes, sans cela nous ne tiendrons pas jusqu’au bout.

    - Avancez en rang sérés, ils ne doivent pas nous atteindre !  

    Je suivais toujours Tagar et le garde royale pour se replier sur les lignes arrière avec Tagar et le garde.  A chaque pas que je faisais,   à chaque cris  que j’entendais, les remord et la culpabilité de mon cuisant échec me dérangeait .

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  • Ven 26 Mai - 11:11
    Dans toutes les langues qu'a appris Oyun au cours de sa vie, il n'y a pas assez de jurons pour retranscrire ce qu'elle voudrait pouvoir exprimer.

    Mais elle a l'habitude. Le champ de bataille ne laisse pas la place au deuil - chez un soldat d'élite, il doit évoquer la rage de vaincre, et la force de se relever encore et toujours, la capacité à accuser le choc des imprévus. On comptera les morts quand tout sera fini, et on lèvera une pinte pour chacun d'entre eux, et on ramènera le Bleu dans une brouette, une fois encore.

    Un râle similaire à un grondement bestial émane du tas de décombres où git l'orc après avoir essuyé le souffle de l'explosion. Elle déplace les morceaux de bois et le drap du cadavre d'étal dans lequel elle s'est échouée, et se relève péniblement. Lentement, pour ménager ses articulations. Elle ne ressent peut-être pas la douleur physique, mais ce n'est pas pour autant qu'elle est incassable.

    Quand même, quel bordel.

    Ses sens sont encore perturbés par l'explosion. Plutôt que de réutiliser sa magie pour voir dans l'obscurité, elle active son senseur magique, qui lui permet de repérer rapidement les signatures magiques encore actives et de donner un coup de main aux soldats qui ont du mal à se relever. Celle du mage, de l'humain, de la naine, de tous ceux qui travaillaient à renforcer les murs, sont évidemment inexistantes - au moins, ils n'auront pas laissé de dépouille corrompue derrière eux.  Vu l'odeur putride qui traîne après la déflagration, c'était une explosion magique similaire à celle qui a ébréché les murs, mais bien plus puissante. Une chance que personne ne montre de signe d'empoisonnement ou de contagion pour l'instant. Il faudra rester alerte.

    L'ennemi n'attend pas que tout le monde ait retrouvé ses repères : les plus lents sont déjà piétinés par les mort-vivants qui s'engouffrent dans le passage. Oyun récupère sa hallebarde et invoque un carquois de javelots, qu'elle place dans son dos. Elle est prête.

    C'est l'heure de la retraite stratégique. Elle cherche les signatures magiques à sa droite et à sa gauche, pour distinguer celles qui sont les plus isolées - les camarades qui ont besoin d'aide. L'une d'entre elles retient son attention, et elle n'a pas de mal à reconnaître, même de loin, celui qui l'a attaquée un peu plus tôt. Le soldat sans brassard. Avec une… aura démoniaque ? Il faudra qu'elle le mentionne dans son rapport. L'entité n'est probablement pas venue ici pour rien, après tout. A moins que ce soit une alliée improbable…

    Une faible lueur à quatre heures la force à se retourner, et elle pare de justesse l'attaque d'un chasseur. Ces mort-vivants là semblent plus doués au combat que leurs homologues sans équipement. L'odeur de nécromancie déjà présente dans l'air s'intensifie. Elle repousse le macchabée avec le plat de sa lame et profite d'avoir brisé son élan pour le trancher en deux. Puis viennent deux autres, et encore un autre. La place du marché est submergée par les morts et les nouveaux hommes arrivés en renfort. Ceux qui sont toujours debout reprennent du poil de la bête lorsqu'une silhouette familière et ravageuse  se distingue parmi eux. Oyun elle-même sourit faiblement : la Griffe est venue les assister dans leur repli.

    Elle calcule ses coups et ses pas pour être sûre de ne pas perdre de terrain, et reculer petit à petit vers le sud. Abattre les revenants, même les plus rapides, n'est qu'un obstacle facile à repousser, malgré le fait qu'ils aient l'avantage du nombre. Leur chair est faible face à l'acier reikois. Les "chasseurs", par contre, montrent bien plus de résistance. Et même pire : de compétence. Elle reconnaît un de ses lances, précédemment abandonnée dans un macchabée, dans les mains de l'un d'entre eux. L'orc réunit son mana pour l'invoquer, et le désarmer à temps pour qu'une sœur d'armes prenne l'avantage sur lui. Elle place la lance couverte de tripes dans son dos.

    De son côté, elle plante sa lame dans le torse d'un chasseur, pour en mettre à terre un autre. Elle a l'avantage d'être naturellement forte, et de ne pas sentir ses muscles endoloris, et elle compte bien en profiter. Elle aligne les proies en armure et saute à pieds joints dessus, projetant tout autour d'elle de la chair putréfiée et des éclats de fer rouillé. Il fallait bien qu'elle se défoule sur quelque chose à un moment, quand même.

    Lorsqu'elle atteint la ligne de front, elle demande immédiatement la position de l'officier télépathe le plus proche, vers lequel elle court à toute vitesse. Une fois arrivée, elle attend son tour pour lui faire son rapport rapide mais efficace : il y a un démon dans les rangs dont il faut confirmer l'identité, l'explosion a été causée par un type d'ennemi qui pourrait à nouveau ressurgir, certains des mort-vivants arrivant par l'Est sont armés, équipés et plus agiles que les autres. Elle rajoute une estimation du nombre d'alliés tombés autour des remparts pendant l'explosion, quelques détails sur la destruction du marché et les positions stratégiques qui y restent, puis s'en va.

    Oyun se dirige maintenant plus vers le sud, et légèrement à l'ouest, et continue de tuer en attendant de nouveaux ordres.


    CENDRES

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    Anonymous
  • Ven 26 Mai - 12:01
    Les murs de la crypte s'effondrèrent dans un terrible fracas sur les malheureux cadavres qui s'apprêtaient à en sortir, te laissant un bref instant d'extase tandis que tu utilisais le reste de la vapeur accumulé pour balayer les quelques morts se rapprochant de la carriole où tu te trouvais. Tandis que la fumée s'élevait et disparaissait au grès des vents, tu jubilais de ta réussite incertaine, sautillant de joie et applaudissant ta performance en laquelle tu ne croyais qu'à moitié. Le courage dont tu fus preuve avait été récompensé et tu en remerciais tes maîtres en les étoiles. Néanmoins, ce moment d'allégresse s'arrêta bien vite lorsque, en atterrissant après un énième bond, ton piédestal vibra, une roue s'étant légèrement délogée, et pencha d'un coup sur son arrière, te laissant glisser sans que tu ne parviennes à te rattraper. Aussi vite qu'un clignement de cil, tu finis les fesses sur les pavés de la rue, juste à côté des restes de l'un de ces trop nombreux agresseurs de la tombe.

    "Diantre, cela m'apprendra à faire preuve de vantardise. . . " La douleur de ton arrière-train était bien légère, surtout en comparas des blessés et mourant de la demeure du régent. D'ailleurs, cela te permit de te reconcentrer sur ce qui importait vraiment, point une futile réussite qui ne servait qu'à repousser une tragique inéluctabilité. Aussi, tu te relevas en vitesse, courant à nouveau avec bien moins de vigueur qu'auparavant vers l'hôpital improvisé, t'esquivant des quelques cadavres ambulants continuant à tourner dans les rues et autour de la demeure, tu empruntas l'arrière-cour, puis le salon qui fit office de cocotte-minute, et t'enfonças dans les divers couloirs verrouillés jusqu'à la porte qui devait être gardée. Là, comme annoncé au moment de ton premier départ, tu entamas le code secret servant à déterminer qu'il s'agissait bien de toi.

    Nulle réponse. Diablerie, pourtant tu entendais avec aisance le brouhaha qui en provenait, sans doute t'avaient ils oublié. Ou bien te croyaient ils mort ?

    Une seconde fois, tu toquas à la porte dans ce rythme irrégulier qui te signait et, cette fois, une dame t'ouvrit, surprise de te voir. Elle n'était pas la soldate qui devait veiller sur cet endroit, étrange. Tu la remercias et t'infiltras dans la pièce principale, refermant la porte derrière toi et aidant la femme à barricader la porte. Comme tu priais pour que les choses se soient arrangées en ton absence ici.

    Tu n'eus guère le temps de te reposer sur tes lauriers que, déjà, les râles d'agonies et les protestations vinrent avec autant de fracas que la crypte se brisant à tes oreilles. Non, c'était pis encore tant l'un avait été aisé à régler tandis que l'autre semblait impossible. Vous étiez toujours plus submergé par les blesser, et le peu ayant la force de ne point gémir dans la douleur se montraient prêt à la révolte. Comment leur en vouloir ? Ils avaient peur, autant que toi, mais à contrario, ils n'étaient pas là de leurs pleins grès. Ils n'aspiraient qu'à retrouver la tranquillité et le calme des jours précédents, d'avant l'attaque, ils ne désiraient que leurs survies et être coincé ici, tandis que les zombies se rapprochaient toujours plus et que les remparts explosaient n'aidaient en rien à assurer un esprit apaisé.

    La panique que tu avais éliminée par ton précédent exploit revint à l'assaut, te coupant le souffle tandis qu'un nœud se reformait dans ton estomac. Ton comportement presque héroïque disparu aussitôt et tu rejoignais la populace emplie de doute, ne sachant pas par où commencer, alors tu commenças à soigner les plus démunis que tu voyais, courant à droite et gauche pour, sans nul doute, brasser davantage de vent qu'accomplir une réelle besogne. Lorsqu'un malade à la peau pâlissante et aux veines prenant des allures verdâtres se laissait voir, tu accourais vers lui, apposant tes mains contre ses chairs ouvertes et user de ta magie pour tenter d'endiguer l'infection. Mais avant d'en observer réellement le succès, déjà un autre râle t'appeler et tu y accourais, laissant tes pouvoirs faire leurs offices.

    Au centre de la pièce, le porte mort entamait une oration étrange qui se voulait unifiant. Et si ses premiers mots te paraissaient prompts à consolider le groupe, il en vint à dévier sur une pente risquée. Et les lumières ainsi que ses paroles finirent par te déplaire, à l'instar des chaînes, l'homme à présent démasqué jouait à un jeu dangereux, un jeu à double tranchant qui pourrait amplifier les airs de révoltes qui traînaient ou, au contraire, résonnait en les habitants de Sables-d'or et les soldats de la capitale, apportant un espoir de recouvrer la paix. Tu croisas les doigts que le feu ne se propage guère tout en t'attelant toujours plus à guérir vérifier bandages, à appliquer onguent et à user de tes talents pour les plus nécessiteux.

    Sans le remarquer, ton aide t'amena jusqu'à l'avant de la demeure, là où la majorité des blessés entraient. Tu terminais d'appliquer bandage à la jambe ouverte d'un soldat revenant du front lorsqu'un goliath que tu connaissais t'appelait. "Oh, sieur Tevon-Duncan, dame Launi, il me semblait bien vous avoir vu au départ d'Ikusa." Avec quelques regrets, tu mis de côté un bref instant tous les patients, bienheureux de trouver au milieu de cet océan qui te dévorait une bouée de sauvetage à laquelle te raccrochait. "Avez-vous besoin de soins ? Quelles sont les nouvelles du front ? Je suis navré d'ainsi vous presser, mais nous sommes ici débordés et je n'ai guère beaucoup de temps."

    Tel était la réalité et, par ces simples mots, tu cherchais à les pousser à rejoindre les brassards blancs dans les trop nombreux soins à prodiguer.

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